Investing.com - Les bourses européennes ont gardé le cap ce jeudi après-midi, dans l'expectative d'informations sur la situation économique des Etats-Unis, sur fond de rumeurs de fermeture des vannes imminentes de la part de leur banque centrale, profitant du reflux de l'angoisse d'une attaque imminente dirigée par eux contre la Syrie.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,30%, le CAC 40 français de 0,36%, et le DAX 30 allemand de 0,27%.
Le président Barack Obama a en effet déclaré hier avoir conclu que les autorités de Damas avaient procédé à une attaque chimique dans les faubourgs de la ville, ajoutant cependant ne pas encore avoir pris la décision de frapper ou non.
L'Allemagne avait auparavant déçu en dénombrant 7.000 nouveaux demandeurs d'emploi pour août, leur première augmentation en trois mois, bien que le taux de chômage se soit maintenu à 6,8%.
La finance restait partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 1,15%, et le français BNP Paribas 0,46%, tandis que son compatriote Société Générale encaissait 0,63%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander trébuchant de 0,65%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit empochant au contraire 1,37 et 0,47%.
A Paris, les supermarchés Carrefour engrangeaient 4,37% grâce à 4,9% de bénéfices semestriels suppléentaires.
Le secteur énergétique était par contre toujours en difficulté, Iberdrola limitant les dégâts à 0,37%, alors que Repsol et Total aggravaient leurs cas avec 1,33 et 1,38%, dans le sillage de la rechute des cours du pétrole brut.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,57%, tiré vers le haut par l'envolée de 9,14% réalisée par l'opérateur téléphonique Vodafone, suite à la confirmation de l'existence de négociations avec Verizon Communications, en vue de l'acquisition de ses parts dans la coentreprise Verizon Wireless.
La City était plus divisée, avec des rétrogradages, la Royal Bank of Scotland dérapant de 0,29% et Barclays de 0,15%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings émergeaient cependant de 1,07 et 1,16%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi partagées, Randgold Resources fondant de 2,57%, et Fresnillo de 1,71%, tandis que le mastodonte minier BHP Billiton et Evraz tiraient leurs épingles du jeu avec 0,29 et 6,98%.
Le Sergo Group était en lanterne rouge, s'effondrant de 13,47% après que la justice britannique ait révélé une enquête à son propos découlant d'accusations de fraude dans le cadre de contrats portant sur l'escorte et la garde de prisonniers.
Les perspectives des marchés américains partageaient modérément le regain d'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,10%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,23%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les données révisées concernant leur produit intérieur brut, ainsi que leur décompte hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,30%, le CAC 40 français de 0,36%, et le DAX 30 allemand de 0,27%.
Le président Barack Obama a en effet déclaré hier avoir conclu que les autorités de Damas avaient procédé à une attaque chimique dans les faubourgs de la ville, ajoutant cependant ne pas encore avoir pris la décision de frapper ou non.
L'Allemagne avait auparavant déçu en dénombrant 7.000 nouveaux demandeurs d'emploi pour août, leur première augmentation en trois mois, bien que le taux de chômage se soit maintenu à 6,8%.
La finance restait partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 1,15%, et le français BNP Paribas 0,46%, tandis que son compatriote Société Générale encaissait 0,63%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander trébuchant de 0,65%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit empochant au contraire 1,37 et 0,47%.
A Paris, les supermarchés Carrefour engrangeaient 4,37% grâce à 4,9% de bénéfices semestriels suppléentaires.
Le secteur énergétique était par contre toujours en difficulté, Iberdrola limitant les dégâts à 0,37%, alors que Repsol et Total aggravaient leurs cas avec 1,33 et 1,38%, dans le sillage de la rechute des cours du pétrole brut.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,57%, tiré vers le haut par l'envolée de 9,14% réalisée par l'opérateur téléphonique Vodafone, suite à la confirmation de l'existence de négociations avec Verizon Communications, en vue de l'acquisition de ses parts dans la coentreprise Verizon Wireless.
La City était plus divisée, avec des rétrogradages, la Royal Bank of Scotland dérapant de 0,29% et Barclays de 0,15%, tandis que Lloyds Banking et HSBC Holdings émergeaient cependant de 1,07 et 1,16%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi partagées, Randgold Resources fondant de 2,57%, et Fresnillo de 1,71%, tandis que le mastodonte minier BHP Billiton et Evraz tiraient leurs épingles du jeu avec 0,29 et 6,98%.
Le Sergo Group était en lanterne rouge, s'effondrant de 13,47% après que la justice britannique ait révélé une enquête à son propos découlant d'accusations de fraude dans le cadre de contrats portant sur l'escorte et la garde de prisonniers.
Les perspectives des marchés américains partageaient modérément le regain d'optimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,10%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,09% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,23%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec les données révisées concernant leur produit intérieur brut, ainsi que leur décompte hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.