Investing.com - Les bourses européennes restaient en berne ce mardi après-midi, le moral se trouvant plombé par les craintes concernant la gestion de la crise de la dette régionale suite à la controverse entourant le plan de sauvetage chypriote.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.33%, le CAC 40 français de 0.51%, et le DAX 30 allemand de 0.19%.
L'ambiance s'est en effet nettement assombrie après qu'il ait été annoncé que tous les clients des banques de Chypre devraient payer une taxe forfaitaire sur leurs fonds déposés en l'échange des 10 milliards d'euros de fonds de secours.
Cette décision constituait la première fois depuis le début de la crise de la dette en Europe que les épargnants se trouvaient directement sollicités pour l'obtention des aides financières.
Le moral est toutefois revenu grâce à des rumeurs selon lesquelles le gouvernement serait en train de préparer une nouvelle proposition au sujet de la taxation des comptes en banque afin d'alléger le fardeau des petits épargnants devant être votée aujourd'hui devant le parlement.
La finance était du coup sur la défensive, l'allemand Deutsche Bank plongeant de 1.78%, suivi des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1.51 et 1.97%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol BBVA sombrant de 0.92%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 0.58 et 1.03%.
Richemont s'écroulait pour sa part de 3.47%, alors qu'il se disait que Goldman Sachs pourrait en gérer la vente de 7 illions de parts dans une fourchette de 76.3 à 77.5 CHF l'unité.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a par contre frémi de 0.04%, malgré le frein de ses exploitants en berne, après qu'il ait été signalé que l'inflation au détail britannique était sans surprise passée de 2.7 à 2.8% pour le mois dernier.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi de 2.9 et 3.67%, leur rival Evraz faisant bien pire avec 4.49%.
Goldman Sachs avait auparavant dégradé son appréciation du second, passant de la neutralité au conseil de vente, estimant que les revenus du secteur allaient diminuer.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'échappaient pas à la tendance, en repli de 5.14 et 1.32%.
Il était aussi à noter qu'ARM, qui a mis au point les puces au coeur des iPhones d'Apple, subissait un revers de 3.11% après avoir révélé que son directeur général Warren East prendrait sa retraite en juillet, après presque 12 ans à ce poste.
La City était encore majoritairement morose, hSBC Holdings trébuchant de 0.01%, Lloyds Banking de 0.63% et la Royal Bank of Scotland de 0.64%, tandis que Barclays se trouvait en queue de peloton avec 1.16%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.2%.
Le centre de recherches économiques ZEW avait fait savoir en fin de matinée son baromètre du moral économique allemand avait frémi depuis 48.2 vers 48.5 pour mars, alors qu'un recul à 48 était redouté.
Celui de la zone euro a par contre plongé depuis 42.4 vers 33.4 dans le même temps, en raison des incertitudes politiques italiennes et de craintes au sujet du sauvetage de Chypre.
Les autorités américaines comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.33%, le CAC 40 français de 0.51%, et le DAX 30 allemand de 0.19%.
L'ambiance s'est en effet nettement assombrie après qu'il ait été annoncé que tous les clients des banques de Chypre devraient payer une taxe forfaitaire sur leurs fonds déposés en l'échange des 10 milliards d'euros de fonds de secours.
Cette décision constituait la première fois depuis le début de la crise de la dette en Europe que les épargnants se trouvaient directement sollicités pour l'obtention des aides financières.
Le moral est toutefois revenu grâce à des rumeurs selon lesquelles le gouvernement serait en train de préparer une nouvelle proposition au sujet de la taxation des comptes en banque afin d'alléger le fardeau des petits épargnants devant être votée aujourd'hui devant le parlement.
La finance était du coup sur la défensive, l'allemand Deutsche Bank plongeant de 1.78%, suivi des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1.51 et 1.97%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol BBVA sombrant de 0.92%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 0.58 et 1.03%.
Richemont s'écroulait pour sa part de 3.47%, alors qu'il se disait que Goldman Sachs pourrait en gérer la vente de 7 illions de parts dans une fourchette de 76.3 à 77.5 CHF l'unité.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a par contre frémi de 0.04%, malgré le frein de ses exploitants en berne, après qu'il ait été signalé que l'inflation au détail britannique était sans surprise passée de 2.7 à 2.8% pour le mois dernier.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondaient ainsi de 2.9 et 3.67%, leur rival Evraz faisant bien pire avec 4.49%.
Goldman Sachs avait auparavant dégradé son appréciation du second, passant de la neutralité au conseil de vente, estimant que les revenus du secteur allaient diminuer.
Les cuivriers Kazakhmys et Xstrata n'échappaient pas à la tendance, en repli de 5.14 et 1.32%.
Il était aussi à noter qu'ARM, qui a mis au point les puces au coeur des iPhones d'Apple, subissait un revers de 3.11% après avoir révélé que son directeur général Warren East prendrait sa retraite en juillet, après presque 12 ans à ce poste.
La City était encore majoritairement morose, hSBC Holdings trébuchant de 0.01%, Lloyds Banking de 0.63% et la Royal Bank of Scotland de 0.64%, tandis que Barclays se trouvait en queue de peloton avec 1.16%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.2%.
Le centre de recherches économiques ZEW avait fait savoir en fin de matinée son baromètre du moral économique allemand avait frémi depuis 48.2 vers 48.5 pour mars, alors qu'un recul à 48 était redouté.
Celui de la zone euro a par contre plongé depuis 42.4 vers 33.4 dans le même temps, en raison des incertitudes politiques italiennes et de craintes au sujet du sauvetage de Chypre.
Les autorités américaines comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'elles auront accordés, ainsi que celui des lancements de chantiers.