Investing.com - Les bourses européennes étaient en forte baisse ce jeudi matin, dans le sillage de résultats en demi-teinte de la part de l'Allemagne et de la France, le moral ayant déjà été plombé par les piètres résultats industriels chinois, les yeux braqués sur les performances régionales.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 dégringolait de 2,24%, le CAC 40 français de 2,18%, et le DAX 30 allemand de 2,20%.
La première évaluation de l'indice des achats manufacturiers allemands établi par le groupe de recherches économiques Markit est en effet remonté depuis 48,1 vers 49,0 pour mai, dépassant ainsi les 48,5 espérés.
Mais son équivalent pour les prestataires de services a déçu, frémissant pour passer de 49,6 à 49,8 sur le même période, au lieu des 50,0 envisagés.
Le baromètre industriel de la France bondissait pour sa part de 44,4 vers 45,5 dans le même temps, dépasant ainsi les 44,8 pressentis.
Celui du tertiaire du pays se meintenait par contre à 44,3, bien qu'une avancée jusqu'à 44,5 ait été prévue;
L'ambiance s'était déjà assombrie dans le sillage de la première évaluation de l'activité manufacturière établie par HSBC pour la Chine, donnant le pouls de l'activité industrielle, quittant les 50,4 définitifs d'avril pour se retrouver à 49,6, passant sous la barre des 50 dénotant une croissance du secteur.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande sombrant de 3,20%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec 2,82 et 3,45%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA s'écroulant de 2,74 et 2,36%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,81 et 3%.
A Londres, le FTSE 100 flanchait de 1,71%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking laissait échapper 2,75%, et HSBC Holdings 3,10%, alors que Barclays et la Royal Bank of Scotland se retrouvaient en lanternes rouges avec des revers de 3,53 et 4,49%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant fait savoir que la première comptait vendre aux enchères pour près de 8,7 milliards d'USD de titres hypothécaires sans garantie du souvernement émis avant l'éclatement de la crise financière.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 2,64 et 3,96%, Anglo American n'étant pas en reste avec 4,02%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,76%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,96% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,82%.
Les actions ont perdu de leur éclat après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait déclaré hier qu'une réduction de la voilure de son programme d'achats était possible "dès les prochaines prises de cap", en fonction des résultats économiques.
La zone euro comptait pour sa part révéler aujourd'hui les résultats de ses secteurs secondaire et tertiaire, après quoi les Etats-Unis rendront de leur côté en fin de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que le volume des ventes de logements neufs.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 dégringolait de 2,24%, le CAC 40 français de 2,18%, et le DAX 30 allemand de 2,20%.
La première évaluation de l'indice des achats manufacturiers allemands établi par le groupe de recherches économiques Markit est en effet remonté depuis 48,1 vers 49,0 pour mai, dépassant ainsi les 48,5 espérés.
Mais son équivalent pour les prestataires de services a déçu, frémissant pour passer de 49,6 à 49,8 sur le même période, au lieu des 50,0 envisagés.
Le baromètre industriel de la France bondissait pour sa part de 44,4 vers 45,5 dans le même temps, dépasant ainsi les 44,8 pressentis.
Celui du tertiaire du pays se meintenait par contre à 44,3, bien qu'une avancée jusqu'à 44,5 ait été prévue;
L'ambiance s'était déjà assombrie dans le sillage de la première évaluation de l'activité manufacturière établie par HSBC pour la Chine, donnant le pouls de l'activité industrielle, quittant les 50,4 définitifs d'avril pour se retrouver à 49,6, passant sous la barre des 50 dénotant une croissance du secteur.
La finance était en berne, la Deutsche Bank allemande sombrant de 3,20%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec 2,82 et 3,45%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA s'écroulant de 2,74 et 2,36%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 2,81 et 3%.
A Londres, le FTSE 100 flanchait de 1,71%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking laissait échapper 2,75%, et HSBC Holdings 3,10%, alors que Barclays et la Royal Bank of Scotland se retrouvaient en lanternes rouges avec des revers de 3,53 et 4,49%.
L'agence de presse Bloomberg avait auparavant fait savoir que la première comptait vendre aux enchères pour près de 8,7 milliards d'USD de titres hypothécaires sans garantie du souvernement émis avant l'éclatement de la crise financière.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant de 2,64 et 3,96%, Anglo American n'étant pas en reste avec 4,02%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le pessimisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,76%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,96% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,82%.
Les actions ont perdu de leur éclat après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait déclaré hier qu'une réduction de la voilure de son programme d'achats était possible "dès les prochaines prises de cap", en fonction des résultats économiques.
La zone euro comptait pour sa part révéler aujourd'hui les résultats de ses secteurs secondaire et tertiaire, après quoi les Etats-Unis rendront de leur côté en fin de journée leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que le volume des ventes de logements neufs.