La Bourse de Paris devrait ouvrir sans trop de changement mardi matin, les investisseurs ne voulant pas s'engager avant la publication des résultats de Goldman Sachs à l'heure du déjeuner.
Vers 8h00, le contrat futur sur l'indice CAC 40 grignote 0,5% à 4475,5 points, prémisse d'une ouverture en modeste hausse.
Depuis trois mois, le marché parisien semble quelque peu tourner en rond, alternant phases de consolidation et progressions isolées.
La séance de lundi s'est ainsi résumée à d'étroites oscillations entre 4444 et 4470 points dans un volume d'à peine 1,9 milliard d'euros.
Rien à dire d'une telle absence d'activité et de volatilité, sinon que le CAC reste arrimé à son pivot des 4444 points depuis le 4 janvier et que les acheteurs semblent de plus en plus rares.
La séance a été tout aussi soporifique à Wall Street, dont l'évolution pendant six heures et demie s'est résumée à une lente consolidation latérale, sans la moindre aspérité et sans la moindre volatilité.
Au coup de cloche final, les trois principaux indices affichaient un tarif unique de -0,3%, même si le S&P 500, en clôturant à 2126 points, n'est pas descendu menacer le seuil des 2120 points.
Les opérateurs retiendront surtout ce qui s'est passé après la clôture.
Si IBM (NYSE:IBM) n'a pas vraiment impressionné, Netflix explosait de 19% après la fermeture, le spécialiste de la vidéo à la demande ayant largement battu le consensus avec 370.000 nouveaux abonnés sur le trimestre écoulé contre 310.000 anticipés et surtout 3,2 millions d'abonnés à l'étranger contre deux millions attendus.
Les résultats de Goldman Sachs, qui seront dévoilés à la mi-journée, seront également particulièrement surveillés.
Copyright (c) 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Vers 8h00, le contrat futur sur l'indice CAC 40 grignote 0,5% à 4475,5 points, prémisse d'une ouverture en modeste hausse.
Depuis trois mois, le marché parisien semble quelque peu tourner en rond, alternant phases de consolidation et progressions isolées.
La séance de lundi s'est ainsi résumée à d'étroites oscillations entre 4444 et 4470 points dans un volume d'à peine 1,9 milliard d'euros.
Rien à dire d'une telle absence d'activité et de volatilité, sinon que le CAC reste arrimé à son pivot des 4444 points depuis le 4 janvier et que les acheteurs semblent de plus en plus rares.
La séance a été tout aussi soporifique à Wall Street, dont l'évolution pendant six heures et demie s'est résumée à une lente consolidation latérale, sans la moindre aspérité et sans la moindre volatilité.
Au coup de cloche final, les trois principaux indices affichaient un tarif unique de -0,3%, même si le S&P 500, en clôturant à 2126 points, n'est pas descendu menacer le seuil des 2120 points.
Les opérateurs retiendront surtout ce qui s'est passé après la clôture.
Si IBM (NYSE:IBM) n'a pas vraiment impressionné, Netflix explosait de 19% après la fermeture, le spécialiste de la vidéo à la demande ayant largement battu le consensus avec 370.000 nouveaux abonnés sur le trimestre écoulé contre 310.000 anticipés et surtout 3,2 millions d'abonnés à l'étranger contre deux millions attendus.
Les résultats de Goldman Sachs, qui seront dévoilés à la mi-journée, seront également particulièrement surveillés.
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