Un biais négatif prévaut sur les places européennes (stabilité à Paris, mais -0,5% à Francfort et -1,1% à Londres), dans l'attente de la conclusion ce soir de la réunion du comité de politique monétaire de la Fed (FOMC).
'Par quelques mots, éventuellement, les membres prépareront les investisseurs à une hausse des taux directeurs en septembre, notamment en indiquant que la croissance est 'forte' et 'solide'. Mais, pour ce soir, les taux directeurs resteront inchangés', indique Aurel BGC.
En attendant ce rendez-vous, le secteur privé américain a généré 219.000 emplois en juillet à en croire le cabinet ADP, un nombre sensiblement supérieur au consensus qui était de 180.000 et en forte accélération par rapport aux 181.000 de juin.
De ce côté de l'Atlantique, l'indice PMI final pour l'industrie manufacturière de l'Eurozone se redresse timidement de 54,9 en juin à 55,1 en juillet (conforme à l'estimation flash), et reste inférieur de plus de cinq points au plus haut historique de fin 2017.
'Ce très léger rebond enregistré en juillet n'offre guère de motif de réjouissance, le secteur manufacturier de la zone euro affichant sa deuxième plus faible croissance depuis plus de 18 mois', juge Chris Williamson, chief business economist à IHS Markit.
Du côté des résultats du jour, ArcelorMittal (AS:MT) (+1,7%) reçoit un accueil favorable, mais on ne peut en dire autant de BNP Paribas (PA:BNPP) (-0,4%), Generali (MI:GASI) (-0,9%) et surtout de Volkswagen (DE:VOWG_p) (-2,4%), Rio Tinto (LON:RIO), Wolters Kluwer, Infineon (-3,2% chacun) et Veolia (PA:VIE) (-3,8%).
ThyssenKrupp (DE:TKAG) recule de 1,3% à Francfort, au lendemain du lancement par le conglomérat d'un avertissement sur résultats pour l'exercice 2017-18, après une revue de son portefeuille de projets en solutions industrielles.
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'Par quelques mots, éventuellement, les membres prépareront les investisseurs à une hausse des taux directeurs en septembre, notamment en indiquant que la croissance est 'forte' et 'solide'. Mais, pour ce soir, les taux directeurs resteront inchangés', indique Aurel BGC.
En attendant ce rendez-vous, le secteur privé américain a généré 219.000 emplois en juillet à en croire le cabinet ADP, un nombre sensiblement supérieur au consensus qui était de 180.000 et en forte accélération par rapport aux 181.000 de juin.
De ce côté de l'Atlantique, l'indice PMI final pour l'industrie manufacturière de l'Eurozone se redresse timidement de 54,9 en juin à 55,1 en juillet (conforme à l'estimation flash), et reste inférieur de plus de cinq points au plus haut historique de fin 2017.
'Ce très léger rebond enregistré en juillet n'offre guère de motif de réjouissance, le secteur manufacturier de la zone euro affichant sa deuxième plus faible croissance depuis plus de 18 mois', juge Chris Williamson, chief business economist à IHS Markit.
Du côté des résultats du jour, ArcelorMittal (AS:MT) (+1,7%) reçoit un accueil favorable, mais on ne peut en dire autant de BNP Paribas (PA:BNPP) (-0,4%), Generali (MI:GASI) (-0,9%) et surtout de Volkswagen (DE:VOWG_p) (-2,4%), Rio Tinto (LON:RIO), Wolters Kluwer, Infineon (-3,2% chacun) et Veolia (PA:VIE) (-3,8%).
ThyssenKrupp (DE:TKAG) recule de 1,3% à Francfort, au lendemain du lancement par le conglomérat d'un avertissement sur résultats pour l'exercice 2017-18, après une revue de son portefeuille de projets en solutions industrielles.
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