Les anticipations d'accélération de croissance en Allemagne ont été nettement renforcées par des rumeurs de mesures de soutien monétaire supplémentaires à l'activité en Chine (en plus du cycle de baisse des taux qui devrait se poursuivre tout au long de l'année 2015).
Les Bunds ont subi pour cette raison quelques prises de profits (+4Pts de base à 0,25%), sans compter l'appel d'air en faveur des actions qui se traduit par une flambée historique de +32% du DAX en 10 semaines et de +46% en 5 mois... un record absolu de hausse.
Les OAT restent quasi stables avec un rendement de 0,46% proche des planchers historiques.
Stabilité des 'bonos' espagnols et des BTP italiens autour de 1,16/1,17% (parité parfaite de rendement entre ces deux classes d'actifs) et nouvelle détente du '10 ans' portugais à 1,27% (qui se rapproche des T-Bonds US avec un 'spread' qui se contracte à moins de 20Pts de base alors qu'il existe un écart abyssal de notation entre ces 2 dettes souveraines).
Les T-Bonds bénéficient d'une petite embellie (-4Pts de base à 2,08%) alors que l'indice 'Empire State' de la Fed de New York s'est établi à +6,9 en mars, après +7,8 en février et contre +9 attendu.
La surprise provient de la production industrielle qui n'a progressé que de 0,1% en février alors que le consensus tablait sur +0,3%.
Cette augmentation microscopique intervient toutefois après un repli de 0,3%, alors que la Réserve fédérale avait dans un premier temps annoncé une hausse de 0,2%.
Cela s'ajoute à la litanie des statistiques décevantes publiées depuis le début du mois aux Etats Unis (exception faite de l'emploi).
De tels chiffres sont en réalité jugés très 'positifs' car ils sont susceptible d'inciter la FED à maintenir le terme patience dans le communiqué final de la réunion du comité de politique monétaire (FOMC) américaine qui sera publié jeudi.
La disparition du terme 'patience' indiquerait que la FED privilégierait le mois de juin dans son calendrier de la remontée des taux.
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Les Bunds ont subi pour cette raison quelques prises de profits (+4Pts de base à 0,25%), sans compter l'appel d'air en faveur des actions qui se traduit par une flambée historique de +32% du DAX en 10 semaines et de +46% en 5 mois... un record absolu de hausse.
Les OAT restent quasi stables avec un rendement de 0,46% proche des planchers historiques.
Stabilité des 'bonos' espagnols et des BTP italiens autour de 1,16/1,17% (parité parfaite de rendement entre ces deux classes d'actifs) et nouvelle détente du '10 ans' portugais à 1,27% (qui se rapproche des T-Bonds US avec un 'spread' qui se contracte à moins de 20Pts de base alors qu'il existe un écart abyssal de notation entre ces 2 dettes souveraines).
Les T-Bonds bénéficient d'une petite embellie (-4Pts de base à 2,08%) alors que l'indice 'Empire State' de la Fed de New York s'est établi à +6,9 en mars, après +7,8 en février et contre +9 attendu.
La surprise provient de la production industrielle qui n'a progressé que de 0,1% en février alors que le consensus tablait sur +0,3%.
Cette augmentation microscopique intervient toutefois après un repli de 0,3%, alors que la Réserve fédérale avait dans un premier temps annoncé une hausse de 0,2%.
Cela s'ajoute à la litanie des statistiques décevantes publiées depuis le début du mois aux Etats Unis (exception faite de l'emploi).
De tels chiffres sont en réalité jugés très 'positifs' car ils sont susceptible d'inciter la FED à maintenir le terme patience dans le communiqué final de la réunion du comité de politique monétaire (FOMC) américaine qui sera publié jeudi.
La disparition du terme 'patience' indiquerait que la FED privilégierait le mois de juin dans son calendrier de la remontée des taux.
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