Les Bourses européennes reculent nettement cet après-midi (-1,1% à Francfort, à Paris et à Londres), les tensions géopolitiques continuant de peser lourdement sur la tendance et faisant passer au second plan les données du jour.
'La Turquie a décidé un doublement de ses droits de douanes sur certains produits importés des Etats-Unis en représailles aux taxes américaines annoncées en début de semaine', souligne-t-on chez Wells Fargo (NYSE:WFC) Advisors.
Les prix à la consommation au Royaume Uni ont augmenté de 2,5% en rythme annuel au mois de juillet, un taux en hausse de 0,1 point par rapport à juin, soit la première accélération de l'inflation depuis novembre 2017.
'Dans la mesure où cette hausse est liée à celle des prix de l'énergie -dont nous doutons qu'elle soit durable- l'inflation devrait ralentir graduellement à l'avenir', estime-t-on cependant chez Capital Economics.
Aux Etats-Unis, les données du jour se montrent contrastées : si les ventes de détail ont augmenté de 0,5% en juillet (contre un consensus de 0,2%), la production industrielle ne s'est accrue que de 0,1% (contre un consensus de 0,3%).
Côté valeurs, Bayer (DE:BAYGN) recule de 3,3% à Francfort, pénalisé par une dégradation de conseil chez Jefferies de 'achat' à 'conserver' avec un objectif de cours ramené de 110 à 92 euros, pointant la condamnation de Monsanto (NYSE:MON).
Royal Bank of Scotland perd 1% à Londres après un accord avec le Département de la Justice sur le dossier des titres hypothécaires toxiques durant la crise de 2008, accord par lequel la banque versera 4,9 milliards de dollars.
Vestas grimpe de 4,2% à Copenhague, après l'annonce par l'équipementier éolien d'un programme de rachats d'actions pour 1,5 milliard de couronnes danoises, en marge de la publication des résultats de deuxième trimestre.
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'La Turquie a décidé un doublement de ses droits de douanes sur certains produits importés des Etats-Unis en représailles aux taxes américaines annoncées en début de semaine', souligne-t-on chez Wells Fargo (NYSE:WFC) Advisors.
Les prix à la consommation au Royaume Uni ont augmenté de 2,5% en rythme annuel au mois de juillet, un taux en hausse de 0,1 point par rapport à juin, soit la première accélération de l'inflation depuis novembre 2017.
'Dans la mesure où cette hausse est liée à celle des prix de l'énergie -dont nous doutons qu'elle soit durable- l'inflation devrait ralentir graduellement à l'avenir', estime-t-on cependant chez Capital Economics.
Aux Etats-Unis, les données du jour se montrent contrastées : si les ventes de détail ont augmenté de 0,5% en juillet (contre un consensus de 0,2%), la production industrielle ne s'est accrue que de 0,1% (contre un consensus de 0,3%).
Côté valeurs, Bayer (DE:BAYGN) recule de 3,3% à Francfort, pénalisé par une dégradation de conseil chez Jefferies de 'achat' à 'conserver' avec un objectif de cours ramené de 110 à 92 euros, pointant la condamnation de Monsanto (NYSE:MON).
Royal Bank of Scotland perd 1% à Londres après un accord avec le Département de la Justice sur le dossier des titres hypothécaires toxiques durant la crise de 2008, accord par lequel la banque versera 4,9 milliards de dollars.
Vestas grimpe de 4,2% à Copenhague, après l'annonce par l'équipementier éolien d'un programme de rachats d'actions pour 1,5 milliard de couronnes danoises, en marge de la publication des résultats de deuxième trimestre.
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