Les Bourses européennes entament du bon pied (+1,9% à Londres, +2,1% à Francfort, +1,1% à Paris) une semaine encore chargée à la fois au plan des données macroéconomiques et des publications trimestrielles d'entreprises.
Les marchés ne pâtissent pas de l'affaiblissement d'Angela Merkel qui, après des élections difficiles en Hesse dimanche, a fait part de son intention de quitter la tête de la CDU lors de sa convention du 7 décembre.
'Les marchés semblent tabler sur son maintien au poste de chancelière jusqu'aux élections de 2021', réagit Capital Economics, ajoutant que ses successeurs potentiels défendraient des politiques économiques similaires.
'Cette semaine s'annonce difficile pour les marchés avec de nombreuses publications de résultats d'entreprises et des indicateurs économiques importants, notamment aux Etats-Unis avec le rapport sur le marché du travail du mois d'octobre', prévient Aurel BGC.
'Les investisseurs seront sensibles au dynamisme des créations d'emplois, mais aussi, et surtout, au profil du salaire horaire moyen, principal coût de production de nombreuses entreprises', poursuit le bureau d'études.
Outre le rapport sur l'emploi américain vendredi, seront publiés ces jours-ci, entre autres, des estimations de croissance et d'inflation dans la zone euro, la décision de politique monétaire de la Banque d'Angleterre, et les indices PMI et ISM manufacturiers.
Au calendrier des publications d'entreprises, des groupes comme GE, Pfizer (NYSE:PFE), Coca-Cola, Facebook (NASDAQ:FB), Apple (NASDAQ:AAPL) et ExxonMobil (NYSE:XOM) aux Etats-Unis, ainsi que Volkswagen (DE:VOWG_p), Fiat Chrysler, Airbus (PA:AIR), Sanofi (PA:SASY), ING (AS:INGA) et ArcelorMittal (AS:MT) en Europe, sont attendus.
Pour l'heure, HSBC (LON:HSBA) grimpe de 5,4% à Londres, suite à la publication d'un profit avant impôt ajusté en croissance de 16% à 6,2 milliards de dollars au troisième trimestre, là où le consensus n'anticipait que 5,7 milliards.
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Les marchés ne pâtissent pas de l'affaiblissement d'Angela Merkel qui, après des élections difficiles en Hesse dimanche, a fait part de son intention de quitter la tête de la CDU lors de sa convention du 7 décembre.
'Les marchés semblent tabler sur son maintien au poste de chancelière jusqu'aux élections de 2021', réagit Capital Economics, ajoutant que ses successeurs potentiels défendraient des politiques économiques similaires.
'Cette semaine s'annonce difficile pour les marchés avec de nombreuses publications de résultats d'entreprises et des indicateurs économiques importants, notamment aux Etats-Unis avec le rapport sur le marché du travail du mois d'octobre', prévient Aurel BGC.
'Les investisseurs seront sensibles au dynamisme des créations d'emplois, mais aussi, et surtout, au profil du salaire horaire moyen, principal coût de production de nombreuses entreprises', poursuit le bureau d'études.
Outre le rapport sur l'emploi américain vendredi, seront publiés ces jours-ci, entre autres, des estimations de croissance et d'inflation dans la zone euro, la décision de politique monétaire de la Banque d'Angleterre, et les indices PMI et ISM manufacturiers.
Au calendrier des publications d'entreprises, des groupes comme GE, Pfizer (NYSE:PFE), Coca-Cola, Facebook (NASDAQ:FB), Apple (NASDAQ:AAPL) et ExxonMobil (NYSE:XOM) aux Etats-Unis, ainsi que Volkswagen (DE:VOWG_p), Fiat Chrysler, Airbus (PA:AIR), Sanofi (PA:SASY), ING (AS:INGA) et ArcelorMittal (AS:MT) en Europe, sont attendus.
Pour l'heure, HSBC (LON:HSBA) grimpe de 5,4% à Londres, suite à la publication d'un profit avant impôt ajusté en croissance de 16% à 6,2 milliards de dollars au troisième trimestre, là où le consensus n'anticipait que 5,7 milliards.
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