Les principales Bourses européennes signent des progressions sensibles ce vendredi (+1,2% à Londres et à Paris, +0,5% à Francfort), dans l'attente de la parution du rapport officiel du BLS sur l'emploi américain en novembre.
Pour l'heure, les économistes anticipent en moyenne l'annonce de 205.000 créations d'emplois non agricoles le mois dernier, ainsi qu'un maintien du taux de chômage à 3,7% et une hausse de 0,3% du salaire horaire moyen.
'Le rapport ne sera pas forcément négatif pour les perspectives de consommation, mais pourrait inquiéter les investisseurs en ce qui concerne les marges des entreprises, alors que la courbe des taux indique qu'ils anticipent que l'inflation reste basse', note Aurel BGC.
Attendue en hausse de 0,3% en consensus, la production industrielle de l'Allemagne s'est au contraire réduite de 0,5% en octobre, sous le poids d'une baisse de 3,2% de la production de biens de consommation.
'Il y a des raisons de penser que la production va se redresser dans les mois à venir', tempère Capital Economics, qui anticipe une croissance du PIB allemand de 1,5% sur l'année en cours, puis de l'ordre de 1,8% en 2019.
Toujours pour octobre, la France a vu sa production industrielle rebondir de 1,2% après une chute de 1,6% le mois précédent, et son déficit commercial se réduire à 4,1 milliards d'euros, contre 5,5 milliards en septembre.
Sur le plan des valeurs, Fresenius (DE:FREG) plonge de 16% à Francfort, après l'abandon par le spécialiste des dialyses de ses objectifs à horizon 2020, estimant qu'ils 'ne seront pas atteints au vu des attentes actuelles pour 2018 et 2019'.
KPN grimpe de 2,2% à Amsterdam, avec le soutien de Credit suisse qui relève de 'neutre' à 'surperformance' son opinion sur l'opérateur télécoms, avec un objectif de cours rehaussé de 2,65 à 3,10 euros.
Roche (SIX:ROG) avance de 1,5% à Zurich, après l'approbation par l'autorité sanitaire américaine de son Tecentriq, en combinaison avec Avastin et une chimiothérapie, pour traiter un type spécifique de cancer du poumon.
Copyright (c) 2018 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Pour l'heure, les économistes anticipent en moyenne l'annonce de 205.000 créations d'emplois non agricoles le mois dernier, ainsi qu'un maintien du taux de chômage à 3,7% et une hausse de 0,3% du salaire horaire moyen.
'Le rapport ne sera pas forcément négatif pour les perspectives de consommation, mais pourrait inquiéter les investisseurs en ce qui concerne les marges des entreprises, alors que la courbe des taux indique qu'ils anticipent que l'inflation reste basse', note Aurel BGC.
Attendue en hausse de 0,3% en consensus, la production industrielle de l'Allemagne s'est au contraire réduite de 0,5% en octobre, sous le poids d'une baisse de 3,2% de la production de biens de consommation.
'Il y a des raisons de penser que la production va se redresser dans les mois à venir', tempère Capital Economics, qui anticipe une croissance du PIB allemand de 1,5% sur l'année en cours, puis de l'ordre de 1,8% en 2019.
Toujours pour octobre, la France a vu sa production industrielle rebondir de 1,2% après une chute de 1,6% le mois précédent, et son déficit commercial se réduire à 4,1 milliards d'euros, contre 5,5 milliards en septembre.
Sur le plan des valeurs, Fresenius (DE:FREG) plonge de 16% à Francfort, après l'abandon par le spécialiste des dialyses de ses objectifs à horizon 2020, estimant qu'ils 'ne seront pas atteints au vu des attentes actuelles pour 2018 et 2019'.
KPN grimpe de 2,2% à Amsterdam, avec le soutien de Credit suisse qui relève de 'neutre' à 'surperformance' son opinion sur l'opérateur télécoms, avec un objectif de cours rehaussé de 2,65 à 3,10 euros.
Roche (SIX:ROG) avance de 1,5% à Zurich, après l'approbation par l'autorité sanitaire américaine de son Tecentriq, en combinaison avec Avastin et une chimiothérapie, pour traiter un type spécifique de cancer du poumon.
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