Après une entame d'année décevante, la Bourse de Paris semble disposée à se reprendre quelque peu ce mercredi et à commencer à rattraper le retard récemment accumulé sur Wall Street.
Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison fin de mois - grignote 0,1% à 5292,5 points, annonçant une ouverture légèrement positive.
Le marché parisien a lâché hier 0,5% pour repasser sous les 5300 points, un enfoncement qui valide une alerte à la baisse avec le comblement de plusieurs 'gaps' en ligne de mire, à commencer par celui des 5250 points datant du 20 septembre dernier.
Les stratèges de Schroders (LON:SDR) font remarquer que les valorisations à long terme des actions européennes se rapprochent désormais de leurs moyennes historiques.
'Il est donc difficile d'estimer que les valorisations sont bon marché', assènent les analystes dans une note diffusée fin 2017.
'Cependant, nous pensons que de solides performances sont possibles en 2018, à la faveur de trois facteurs: l'amélioration des marges bénéficiaires des entreprises, le recul de l'inflation et la diminution des corrélations', assure le gestionnaire d'actifs.
Reste que le marché parisien semble plus que jamais distancé par New York.
Pendant que Paris alignait une troisième séance de repli consécutif hier, les marchés d'actions américains revenaient, eux, tutoyer leurs récents records.
L'évolution de l'euro face au dollar s'annonce, en ce sens, décisive.
A ce titre, les investisseurs attendent de prendre connaissance aujourd'hui aux Etats-Unis de l'indice ISM manufacturier pour le mois dernier, que le consensus attend globalement stable.
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Vers 8h15, le contrat futur sur l'indice CAC 40 - livraison fin de mois - grignote 0,1% à 5292,5 points, annonçant une ouverture légèrement positive.
Le marché parisien a lâché hier 0,5% pour repasser sous les 5300 points, un enfoncement qui valide une alerte à la baisse avec le comblement de plusieurs 'gaps' en ligne de mire, à commencer par celui des 5250 points datant du 20 septembre dernier.
Les stratèges de Schroders (LON:SDR) font remarquer que les valorisations à long terme des actions européennes se rapprochent désormais de leurs moyennes historiques.
'Il est donc difficile d'estimer que les valorisations sont bon marché', assènent les analystes dans une note diffusée fin 2017.
'Cependant, nous pensons que de solides performances sont possibles en 2018, à la faveur de trois facteurs: l'amélioration des marges bénéficiaires des entreprises, le recul de l'inflation et la diminution des corrélations', assure le gestionnaire d'actifs.
Reste que le marché parisien semble plus que jamais distancé par New York.
Pendant que Paris alignait une troisième séance de repli consécutif hier, les marchés d'actions américains revenaient, eux, tutoyer leurs récents records.
L'évolution de l'euro face au dollar s'annonce, en ce sens, décisive.
A ce titre, les investisseurs attendent de prendre connaissance aujourd'hui aux Etats-Unis de l'indice ISM manufacturier pour le mois dernier, que le consensus attend globalement stable.
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