Marks & Spencer s'envole de 7,5% à 435 pence à Londres, salué pour la publication des comptes semestriels de la chaine de grands magasins, à l'occasion de laquelle la direction a ajusté favorablement certains objectifs annuels et relevé son acompte sur dividende.
Ainsi le groupe britannique table désormais sur une amélioration entre 150 et 200 points de base de sa marge brute en marchandise générale, et non plus de 100 points de base seulement. De plus il réduit son estimation de hausse des coûts opérationnels de +4% à +3,5%.
Sur ces bases, Marks & Spencer s'attend désormais à une génération solide de trésorerie cette année, ce qui l'amène à rehausser modestement son dividende intérimaire, de 0,2 penny pour le porter à 6,4 pence par action.
En données sous-jacentes, le bénéfice imposable a augmenté de 2,3% à 267,6 millions de livres sur le premier semestre comptable, battant ainsi de 6% environ le consensus, pour un chiffre d'affaires quasi-stable (+0,5%) à un peu plus de 4,9 milliards de livres.
Le groupe met en avant des ventes dynamiques dans l'habillement féminin et l'alimentaire, ainsi qu'une amélioration de la marge brute en marchandise générale, aidée par une moindre activité promotionnelle.
'A l'avenir, la question devrait porter sur l'équilibre entre expansion de la marge brute et croissance organique des ventes. Le consensus s'attend à ce que la direction réalise les deux au second semestre, ce qui pourrait s'avérer difficile selon nous', estime Bernstein.
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Ainsi le groupe britannique table désormais sur une amélioration entre 150 et 200 points de base de sa marge brute en marchandise générale, et non plus de 100 points de base seulement. De plus il réduit son estimation de hausse des coûts opérationnels de +4% à +3,5%.
Sur ces bases, Marks & Spencer s'attend désormais à une génération solide de trésorerie cette année, ce qui l'amène à rehausser modestement son dividende intérimaire, de 0,2 penny pour le porter à 6,4 pence par action.
En données sous-jacentes, le bénéfice imposable a augmenté de 2,3% à 267,6 millions de livres sur le premier semestre comptable, battant ainsi de 6% environ le consensus, pour un chiffre d'affaires quasi-stable (+0,5%) à un peu plus de 4,9 milliards de livres.
Le groupe met en avant des ventes dynamiques dans l'habillement féminin et l'alimentaire, ainsi qu'une amélioration de la marge brute en marchandise générale, aidée par une moindre activité promotionnelle.
'A l'avenir, la question devrait porter sur l'équilibre entre expansion de la marge brute et croissance organique des ventes. Le consensus s'attend à ce que la direction réalise les deux au second semestre, ce qui pourrait s'avérer difficile selon nous', estime Bernstein.
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