Investing.com - Les bourses européennes ont continué sur leur trajectoire positive ce mardi après-midi, suite aux bonnes nouvelles européennes, l'attention demeurant attirée par la réunion imminente de la Réserve Fédérale.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.6%, le CAC 40 français de 0.5%, et le DAX 30 allemand de 0.53%.
Il avait en effet été montré ce matin que le baromètre de l'humeur économique allemande établi par le centre de recherches ZEW avait connu une poussée inattendue en décembre, passant de -15.7 vers 6.9, et remontant en territoire positif pour la première fois depuis mai.
Celui de l'ensemble de la zone euro s'est pour sa part élevé depuis -2.6 jusqu'à 7.6 dans le même temps, éclipsant largement les 0.1 envisagés.
Les craintes découlant de l'agitation politique de l'Italie se sont quand à elles quelque peu apaisées après que le premier ministre Mario Monti se soit voulu rassurant au sujet de son éventuelle démission imminente, déclarant se concentrer sur "l'accomplissement de son mandat" avant les élections de 2013.
Les négociations à Washington destinées à contourner le problème du mur fiscal menaçant les Etats-Unis restaient aussi parmi les sujets d'inquiétude, en raison des risques que la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet à la nouvelle année ne fassent dérailler la relance économique du pays.
La finance restait largement en berne, le français BNP Paribas plongeant de 0.32%, suivi des allemands Deutsche Bank et Comerzbank avec respectivement 0.03 et 0.07%, tandis qu'à Paris, la Société Générale se démarquait avec 0.59% d'amélioration.
Mais tout n'était cependant pas désespéré, ThyssenKrupp, premier sidérurgiste d'Allemagne, bondissant de 6.22% malgré l'aveu après la clôture d'hier d'une aggravation de ses pertes nettes, passant de 1.29 à 4.7 milliards d'euros pour l'année bouclée le 30 septembre.
A Londres, le FTSE 100 a redressé la barre de 0.16%, après s'être levé du mauvais pied.
Whitbread, détenant les hôtels à tarifs serrés Premier Inn et les bars Costa Coffee se situait dans le peloton de tête, empochant 3.89% après avoir revendiqué une accélération de la croissance de ses bénéfices grâce au renforcement du marché du café national.
L'Imagination Technologies Group, spécialiste britannique de la mise au point de puces électroniques, en a aussi rajouté, encaissant 4.44% après que la Deutsche Bank AG ait mis fin à sa recommandation de neutralité en en conseillant désormais l'achat.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont repris des couleurs, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton se regonflant de 0.5 et 1.58%, suivis du cuivrier Xstrata avec 0.56%.
La City était plus hésitante, Royal Bank of Scotland laissait ainsi échapper 0.03%, et Lloyds Banking 0.64, alors que Barclays et HSBC Holdings arrachaient 0.01 et 0.44%.
Les perspectives des marchés américains tournaient à l'éclaircie: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.20%.
La nervosité restait toutefois à l'ordre du jour en raison des rumeurs d'assouplissements supplémentaires provenant de la banque centrale américaine à l'issue de sa prise de cap de demain.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.6%, le CAC 40 français de 0.5%, et le DAX 30 allemand de 0.53%.
Il avait en effet été montré ce matin que le baromètre de l'humeur économique allemande établi par le centre de recherches ZEW avait connu une poussée inattendue en décembre, passant de -15.7 vers 6.9, et remontant en territoire positif pour la première fois depuis mai.
Celui de l'ensemble de la zone euro s'est pour sa part élevé depuis -2.6 jusqu'à 7.6 dans le même temps, éclipsant largement les 0.1 envisagés.
Les craintes découlant de l'agitation politique de l'Italie se sont quand à elles quelque peu apaisées après que le premier ministre Mario Monti se soit voulu rassurant au sujet de son éventuelle démission imminente, déclarant se concentrer sur "l'accomplissement de son mandat" avant les élections de 2013.
Les négociations à Washington destinées à contourner le problème du mur fiscal menaçant les Etats-Unis restaient aussi parmi les sujets d'inquiétude, en raison des risques que la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet à la nouvelle année ne fassent dérailler la relance économique du pays.
La finance restait largement en berne, le français BNP Paribas plongeant de 0.32%, suivi des allemands Deutsche Bank et Comerzbank avec respectivement 0.03 et 0.07%, tandis qu'à Paris, la Société Générale se démarquait avec 0.59% d'amélioration.
Mais tout n'était cependant pas désespéré, ThyssenKrupp, premier sidérurgiste d'Allemagne, bondissant de 6.22% malgré l'aveu après la clôture d'hier d'une aggravation de ses pertes nettes, passant de 1.29 à 4.7 milliards d'euros pour l'année bouclée le 30 septembre.
A Londres, le FTSE 100 a redressé la barre de 0.16%, après s'être levé du mauvais pied.
Whitbread, détenant les hôtels à tarifs serrés Premier Inn et les bars Costa Coffee se situait dans le peloton de tête, empochant 3.89% après avoir revendiqué une accélération de la croissance de ses bénéfices grâce au renforcement du marché du café national.
L'Imagination Technologies Group, spécialiste britannique de la mise au point de puces électroniques, en a aussi rajouté, encaissant 4.44% après que la Deutsche Bank AG ait mis fin à sa recommandation de neutralité en en conseillant désormais l'achat.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont repris des couleurs, les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton se regonflant de 0.5 et 1.58%, suivis du cuivrier Xstrata avec 0.56%.
La City était plus hésitante, Royal Bank of Scotland laissait ainsi échapper 0.03%, et Lloyds Banking 0.64, alors que Barclays et HSBC Holdings arrachaient 0.01 et 0.44%.
Les perspectives des marchés américains tournaient à l'éclaircie: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.20%.
La nervosité restait toutefois à l'ordre du jour en raison des rumeurs d'assouplissements supplémentaires provenant de la banque centrale américaine à l'issue de sa prise de cap de demain.