Investing.com - Les bourses européennes étaient en grande forme ce mardi matin, alors que les yeux se tournaient vers les résultats américains de l'après-midi.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,34%, le CAC 40 français de 1,32%, et le DAX 30 allemand de 1,25%.
La prudence restait de mise en raison des attentes de plus en plus fortes d'une diminution des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale.
Le compte-rendu du conseil d'orientation de celle-ci avait précisé la semaine passée qu'un "certain nombre" de ses membres étaient prêts à réduire les rachats d'obligations dès juin.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,30%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,53 et 2,39%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,66 et 1,39%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,78 et 1,96%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Basilea Pharmaceutica bondissait de 2,73% après que les autorités sanitaires américaines aient octroyé pour sept ans l'exclusivité de mise sur le marché d'un de ses médicaments.
A Londres, le FTSE 100 grimpait de 1,66%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking ramassait 1,30%, et la Royal Bank of Scotland 1,77%, tandis que HSBC Holdings et Barclays se portaient en tête avec 1,83 et 2,43%.
L'agence de voyages Tui Travel était aussi de la fête après que Morgan Stanley en ait maintenu l'appréciation neutre.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre souffert, le mastodonte minier Rio Tinto fondant de 0,48%, accompagné par l'extracteur aurifère Randgold Resources avec 0,82% et Eurasian Natural Resources avec 2,12%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme général: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,65%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,74% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,97%.
Les Etats-Unis verront de leur côté leurs spécialistes de l'immobilier conclure la journée avec l'inflation des coûts des logements, qui sera accompagnée d'informations sur la confiance des consommateurs.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 1,34%, le CAC 40 français de 1,32%, et le DAX 30 allemand de 1,25%.
La prudence restait de mise en raison des attentes de plus en plus fortes d'une diminution des 85 milliards d'USD mensuels de rachats d'actifs de la Réserve Fédérale.
Le compte-rendu du conseil d'orientation de celle-ci avait précisé la semaine passée qu'un "certain nombre" de ses membres étaient prêts à réduire les rachats d'obligations dès juin.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,30%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,53 et 2,39%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 1,66 et 1,39%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 1,78 et 1,96%.
Sur le front de l'industrie pharmaceutique, Basilea Pharmaceutica bondissait de 2,73% après que les autorités sanitaires américaines aient octroyé pour sept ans l'exclusivité de mise sur le marché d'un de ses médicaments.
A Londres, le FTSE 100 grimpait de 1,66%, les établissements bancaires de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking ramassait 1,30%, et la Royal Bank of Scotland 1,77%, tandis que HSBC Holdings et Barclays se portaient en tête avec 1,83 et 2,43%.
L'agence de voyages Tui Travel était aussi de la fête après que Morgan Stanley en ait maintenu l'appréciation neutre.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont par contre souffert, le mastodonte minier Rio Tinto fondant de 0,48%, accompagné par l'extracteur aurifère Randgold Resources avec 0,82% et Eurasian Natural Resources avec 2,12%.
Les perspectives des marchés américains partageaient l'optimisme général: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,65%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,74% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,97%.
Les Etats-Unis verront de leur côté leurs spécialistes de l'immobilier conclure la journée avec l'inflation des coûts des logements, qui sera accompagnée d'informations sur la confiance des consommateurs.