Investing.com - Les bourses européennes étaient nettement sur la défensive ce lundi matin, les angoisses découlant de la situation de l'Espagne et de la Grèce se montrant tenaces à l'approche d'une réunion cruciale que les ministres des finances de l'Union Européenne sont sur le point d'entamer au Luxembourg.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a ainsi plongé de 1.31%, le CAC 40 français de 1.33%, et le DAX 30 allemand de 1.41%.
La nervosité était de mise alors qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, comptait pour sa part se rendre demain en Grèce pour la première fois depuis juillet 2007.
La visite de cette dernière coïncide avec les délibérations tenues par la troïka des bailleurs de fonds internationaux, à savoir la BCE, la Commission Européenne et le Fonds Monétaire International, à propos de l'attribution ou non au pays de la prochaine tranche d'aides.
Les valeurs avaient bondi vendredi, après qu'il ait été signalé que le nombre des demandeurs d'emploi américains avait diminué sans crier gare à sa plus basse valeur en près de quatre ans.
La finance était largement en baisse, les français BNP Paribas et Société Générale dégringolant respectivement de 1.37 et 1.94%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank n'étant pas en reste avec 1.8 et 2.06%.
La périphérie n'a pas mieux fait, les italien Unicredit et Intesa Sanpaolo dérapant de 1.36 et 2.16%, les espagnols BBVA et Banco Santander limitant les dégâts à 0.64 et 1.16%.
En France, l'afficheur publicitaire JCDecaux s'est quand à lui effondré de 3.51% après que Goldman Sachs l'ait ajouté à sa liste d'actions "à venndre en priorité" après avoir conseillé d'en acquérir.
A Londres, le FTSE 100 a sombré de 0.86%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland a du coup laissé échapper 2.24% et Barclays 2.06%, Lloyds Banking et HSBC Holdings sauvant les meubles avec 1.96 et 0.78% de moins.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas épargnés, perdadnt 1.93 et 1.76%, imités par les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 1.37 et 2.57%.
Le Cookson Group a pour sa part subi une descente aux enfers de 13.82% suite à l'aveu selon lequel les résultats annuels seraient "matériellement" inférieurs aux prédictions, après que sa branche Engineered Ceramics ait réalisé des performances inférieures aux espérances pour le troisième trimestre.
Le volume des transactions semblait devoir demeurer limité, les marchés américains n'ouvrant pas, en l'honneur de la fête de Christophe Colomb.
La zone euro révèlera de son côté aujourd'hui des informations sur la confiance des investisseurs, imitée par l'Allemagne au sujet de sa production industrielle.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a ainsi plongé de 1.31%, le CAC 40 français de 1.33%, et le DAX 30 allemand de 1.41%.
La nervosité était de mise alors qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, comptait pour sa part se rendre demain en Grèce pour la première fois depuis juillet 2007.
La visite de cette dernière coïncide avec les délibérations tenues par la troïka des bailleurs de fonds internationaux, à savoir la BCE, la Commission Européenne et le Fonds Monétaire International, à propos de l'attribution ou non au pays de la prochaine tranche d'aides.
Les valeurs avaient bondi vendredi, après qu'il ait été signalé que le nombre des demandeurs d'emploi américains avait diminué sans crier gare à sa plus basse valeur en près de quatre ans.
La finance était largement en baisse, les français BNP Paribas et Société Générale dégringolant respectivement de 1.37 et 1.94%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank n'étant pas en reste avec 1.8 et 2.06%.
La périphérie n'a pas mieux fait, les italien Unicredit et Intesa Sanpaolo dérapant de 1.36 et 2.16%, les espagnols BBVA et Banco Santander limitant les dégâts à 0.64 et 1.16%.
En France, l'afficheur publicitaire JCDecaux s'est quand à lui effondré de 3.51% après que Goldman Sachs l'ait ajouté à sa liste d'actions "à venndre en priorité" après avoir conseillé d'en acquérir.
A Londres, le FTSE 100 a sombré de 0.86%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
La Royal Bank of Scotland a du coup laissé échapper 2.24% et Barclays 2.06%, Lloyds Banking et HSBC Holdings sauvant les meubles avec 1.96 et 0.78% de moins.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton n'étaient pas épargnés, perdadnt 1.93 et 1.76%, imités par les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 1.37 et 2.57%.
Le Cookson Group a pour sa part subi une descente aux enfers de 13.82% suite à l'aveu selon lequel les résultats annuels seraient "matériellement" inférieurs aux prédictions, après que sa branche Engineered Ceramics ait réalisé des performances inférieures aux espérances pour le troisième trimestre.
Le volume des transactions semblait devoir demeurer limité, les marchés américains n'ouvrant pas, en l'honneur de la fête de Christophe Colomb.
La zone euro révèlera de son côté aujourd'hui des informations sur la confiance des investisseurs, imitée par l'Allemagne au sujet de sa production industrielle.