Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture pessimiste ce lundi, les incertitudes espagnoles nuisant au moral tandis que les observateurs surveillaient les performances américaines.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.1%.
Le premier ministre espagnol Mariano Rajoy doit en effet subir les exigences de démission de la part du chef de l'opposition faisant suite aux affirmations selon lesquelles il aurait, de même que les hauts responsables de son Parti Populaire l'ayant amené au pouvoir, bénéficié de dessous de table.
Il a toutefois nié farouchement ces accusations dans un communiqué diffusé samedi.
Mais la confiance restait bonne après qu'il ait été montré vendredi que l'activité manufacturière de la zone euro avait augmenté en janvier, tandis que son inflation et son chômage se stabilisaient, confirmant l'hypothèse du passage d'un tournant décisif.
Une étude officielle avait alors annoncé que l'économie des Etats-Unis avait créé 157 000 postes au cours du dernier mois de l'année, soit un peu moins que les 160 000 envisagés, et que le taux de chômage national avait augmenté sans prévenir, frémissant de 7.8 vers 7.9% sur la même période, mais que les nombres des embauchés hors agriculture de novembre et décembre avaient tous deux été revus en forte hausse.
Les assureurs étaient sous les feux de la rampe, alors qu'il se disait que Metlife Inc., le plus gros du pays, allait rajouter 2 milliards d'USD au portefeuille géré par William Wheeler, son chef national, ce qui pourrait laisser supposer qu'il pourrait devenir son prochain directeur général.
La finance était aussi sur le devant de la scène, Blackstone, un des plus gros gestionnaires d'investissements alternatifs, ayant avoue avoir obtenu sans le crier sur les toits l'autorisation de souscrire à des titres sécurisés, lui permettant ainsi de mettre un pied dans le territoire des banques d'affaires.
La sphère énergétique n'était pas à négliger, le pétrolier Chevron, second du secteur national, plongeant de 0.6% en pré-ouverture, après que l'UBS en ait rabaissé la recommandatio depuis l'achat vers la neutralité.
il était aussi rapporté que Permira Advisers LLP et KKR & Co. seraient en train d'étudier avec JP Morgan les options s'offrant à eux concernant le futur de leurs parts dans ProSiebenSat.1 Media, lesquelles inclueraient la possibilité d'une revente.
Les liquidateurs, qui possèdent 53% du diffuseur allemand, pourraient, d'après l'agence de presse Bloomberg, mettre fin à leur participation cette année en les cédantt à une autre compagnie ou sur le marché.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.87%, le CAC 40 français de 0.76%, le DAX 30 allemand de 0.49% et le FTSE 100 britannique de 0.69%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0.16%, mais le Nikkei 225 japonais engrangeait 0.62%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté dévoiler cet après-midi le volume des commandes passées auprès des usines.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.19%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.1%.
Le premier ministre espagnol Mariano Rajoy doit en effet subir les exigences de démission de la part du chef de l'opposition faisant suite aux affirmations selon lesquelles il aurait, de même que les hauts responsables de son Parti Populaire l'ayant amené au pouvoir, bénéficié de dessous de table.
Il a toutefois nié farouchement ces accusations dans un communiqué diffusé samedi.
Mais la confiance restait bonne après qu'il ait été montré vendredi que l'activité manufacturière de la zone euro avait augmenté en janvier, tandis que son inflation et son chômage se stabilisaient, confirmant l'hypothèse du passage d'un tournant décisif.
Une étude officielle avait alors annoncé que l'économie des Etats-Unis avait créé 157 000 postes au cours du dernier mois de l'année, soit un peu moins que les 160 000 envisagés, et que le taux de chômage national avait augmenté sans prévenir, frémissant de 7.8 vers 7.9% sur la même période, mais que les nombres des embauchés hors agriculture de novembre et décembre avaient tous deux été revus en forte hausse.
Les assureurs étaient sous les feux de la rampe, alors qu'il se disait que Metlife Inc., le plus gros du pays, allait rajouter 2 milliards d'USD au portefeuille géré par William Wheeler, son chef national, ce qui pourrait laisser supposer qu'il pourrait devenir son prochain directeur général.
La finance était aussi sur le devant de la scène, Blackstone, un des plus gros gestionnaires d'investissements alternatifs, ayant avoue avoir obtenu sans le crier sur les toits l'autorisation de souscrire à des titres sécurisés, lui permettant ainsi de mettre un pied dans le territoire des banques d'affaires.
La sphère énergétique n'était pas à négliger, le pétrolier Chevron, second du secteur national, plongeant de 0.6% en pré-ouverture, après que l'UBS en ait rabaissé la recommandatio depuis l'achat vers la neutralité.
il était aussi rapporté que Permira Advisers LLP et KKR & Co. seraient en train d'étudier avec JP Morgan les options s'offrant à eux concernant le futur de leurs parts dans ProSiebenSat.1 Media, lesquelles inclueraient la possibilité d'une revente.
Les liquidateurs, qui possèdent 53% du diffuseur allemand, pourraient, d'après l'agence de presse Bloomberg, mettre fin à leur participation cette année en les cédantt à une autre compagnie ou sur le marché.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.87%, le CAC 40 français de 0.76%, le DAX 30 allemand de 0.49% et le FTSE 100 britannique de 0.69%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0.16%, mais le Nikkei 225 japonais engrangeait 0.62%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté dévoiler cet après-midi le volume des commandes passées auprès des usines.