Investing.com - Les bourses européennes étaient en difficulté ce jeudi, malgré les bonnes nouvelles chinoises, la prudence restant de mise à l'approche de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.25%, le CAC 40 français de 0.46%, et le DAX 30 allemand de 0.01%.
L'autorité monétaire européenne semblait ne pas devoir modifier son taux directeur lors de son conseil d'orientation d'aujourd'hui, mais d'aucuns estiment qu'elle pourrait cependant évoquer la possibilité de le faire en cours d'année.
Le moral avait repris des couleurs à l'aube, après qu'une étude officielle ait montré que le solde positif de la balance commerciale de la Chine avait augmenté en décembre sans prévenir, confortant les signaux positifs de la part de la seconde économie mondiale.
Les exportations du mois dernier ont ainsi bondi de 14.1% par rapport à l'année précédente et les importations de seulement 6%.
La finance était partagée, les français BNP Paribas et Société Générale perdant respectivement 1.71 et 0.84%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank tiraient leur épingle du jeu avec des avancées de 0.14 et 1.82%.
La périphérie était plus unanimement en berne, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit se rétractant de 0.56 et 0.47%, imités par les espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.78 et 0.16%.
Le constructeur automobile germanique Volkswagen a par contre gagné 0.48% après avoir offert de racheter le reste des parts de son compatriote MAN SE, spécialisé dans les camions, afin d'en prendre le contrôle total.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, trébuché de 0.01%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi fondu de 0.54 et 0.61%, leur rival Evraz s'effondrant même de 1.45%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys nageaient cependant à contre-courant, arrachant 0.45 et 0.18%.
La City était par contre plus nuancée, Lloyds Banking frémissant de 0.26%, HSBC Holdings de 0.3% et la Royal Bank of Scotland de 0.76%, tandis que Barclays décevait en laissant échapper 0.79%.
Marks & Spencer, premier revendeur de vêtements britannique, plongeait de 4.68% suite à l'aveu d'une diminution de 3.8% de ses ventes de marchandises générales au cours des 13 semaines ayant précédé le 29 décembre.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.15% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.14%.
Des chiffres émanant des autorités avaient auparavant fait savoir que la production industrielle de la France avait davantage augmenté en novembre qu'espéré, remontant de 0.5% après avoir glissé de 0.6% le mois précédent.
Les experts n'avaient pourtant pas pensé la voir s'améliorer de plus de 0.3%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.25%, le CAC 40 français de 0.46%, et le DAX 30 allemand de 0.01%.
L'autorité monétaire européenne semblait ne pas devoir modifier son taux directeur lors de son conseil d'orientation d'aujourd'hui, mais d'aucuns estiment qu'elle pourrait cependant évoquer la possibilité de le faire en cours d'année.
Le moral avait repris des couleurs à l'aube, après qu'une étude officielle ait montré que le solde positif de la balance commerciale de la Chine avait augmenté en décembre sans prévenir, confortant les signaux positifs de la part de la seconde économie mondiale.
Les exportations du mois dernier ont ainsi bondi de 14.1% par rapport à l'année précédente et les importations de seulement 6%.
La finance était partagée, les français BNP Paribas et Société Générale perdant respectivement 1.71 et 0.84%, tandis que les allemands Deutsche Bank et Commerzbank tiraient leur épingle du jeu avec des avancées de 0.14 et 1.82%.
La périphérie était plus unanimement en berne, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit se rétractant de 0.56 et 0.47%, imités par les espagnols BBVA et Banco Santander avec 0.78 et 0.16%.
Le constructeur automobile germanique Volkswagen a par contre gagné 0.48% après avoir offert de racheter le reste des parts de son compatriote MAN SE, spécialisé dans les camions, afin d'en prendre le contrôle total.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, trébuché de 0.01%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont ainsi fondu de 0.54 et 0.61%, leur rival Evraz s'effondrant même de 1.45%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys nageaient cependant à contre-courant, arrachant 0.45 et 0.18%.
La City était par contre plus nuancée, Lloyds Banking frémissant de 0.26%, HSBC Holdings de 0.3% et la Royal Bank of Scotland de 0.76%, tandis que Barclays décevait en laissant échapper 0.79%.
Marks & Spencer, premier revendeur de vêtements britannique, plongeait de 4.68% suite à l'aveu d'une diminution de 3.8% de ses ventes de marchandises générales au cours des 13 semaines ayant précédé le 29 décembre.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.13%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.15% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.14%.
Des chiffres émanant des autorités avaient auparavant fait savoir que la production industrielle de la France avait davantage augmenté en novembre qu'espéré, remontant de 0.5% après avoir glissé de 0.6% le mois précédent.
Les experts n'avaient pourtant pas pensé la voir s'améliorer de plus de 0.3%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.