Investing.com - Les bourses s'Asie étaient en berne ce mercredi matin, s'éloignant encore un peu plus de leurs récents sommets pluriannuels, la prudence reprenant ses droits dans le sillage d'ascensions fulgurantes.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0.5%, le Hang Seng de Hong Kong 1.6% et le Nikkei 225 japonais 0.6%.
Les places mondiales ont connu un net regain de popularité des actions ces dernières semaines, le Dow Jones progressant hier une huitièmee fois d'affilée pour battre tous les records, la politique monétaire des banques centrales encourageant les investissements risqués.
Les angoisses à propos des perspectives économiques mondiales restaient cependant présentes après qu'il ait été révélé en fin de semaine que les prix au détail chinois avaient nettement grimpé le mois dernier, tandis que la production industrielle plongeait au plus bas depuis octobre 2009.
Une inflation dépassant de trop les prévisions pourrait entraîner une fermeture des robinets de la part de Pékin.
Le problème des conséquences économiques des mises sous séquestre budgétaires américaines et celui de l'impasse découlant des élections italiennes indécises du mois dernier n'étaient pas non plus à négliger.
Sydney se trouvait sur la défensive pour la seconde fois consécutive, ayant culminé en début de semaine à son plus haut niveau depuis septembre 2008.
La bande des quatre plus grosses banques nationales a perdu pied après que la Deutsche Bank et l'UBS aient revu leurs opinionsz sur le secteur à la baisse, invoquant la crainte de surévaluations.
La Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, plongeait de 1.2%, et la National Australia Bank de 2.3%, tandis que l'ANZ Banking Group et la Commonwealth Bank of Australia limitaient respectivement les dégâts à 0.6% et 0.5%.
Hong Kong faisait pire, suivant le chemin tracé sur le continent, le futur de la seconde économie mondiale restant dans le flou.
La finance était parmi les lanternes rouges, la China Construction Bank fondant de 2.4%, l'Industrial and Commercial Bank of China de 1.8% et la Bank of China de 2.5%.
Les promoteurs immobiliers ne faisaient pas mieux, Sino Land et Sun Hung Kai Properties s'écroulant de 6 et 3.4%.
Tokyo s'est elle aussi encore éloignée de son plus haut piédestal depuis le début de la crise de septembre 2008, sur fond de prises des meilleurs bénéfices dans l'expectative d'une correction imminente.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 18% depuis le début de l'année, le moral reprenant de la vigueur alors que l'attente de mesures plus agressives de la part de la banque centrale nationale battait son plein suite à la récente nomination de Haruhiko Kuroda au poste de gouverneur.
Le spécialiste de l'électronique grand public Panasonic s'effondrait de 2.9%, alors que du côté des appareils photo Canon voyait 2.8% s'évaporer, tandis que le constructeur automobile Toyota dérapait de 1%, les entreprises tournées vers l'extérieur ayant auparavant profité de l'affaiblissement de la monnaie nationale, augmentant la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus des exportateurs.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui sans bouleversements immédiats, à l'approche des enchères de dettes italiennes ayant lieu aujourd'hui.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une stagnation, celles sur le CAC 40 français variant peu, celles sur le DAX 30 allemand restant neutres et celles sur le FTSE 100 britannique tablant sur un faux pas de 0.1%.
Les yeux étaient en effet tournés vers l'émission imminente par Rome d'obligations à trois et quinze ans, constituant un test crucial de l'appétit des investisseurs à leur égard, sur fond de confusion politique découlant des élections incertaines du mois dernier.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien perdait 0.5%, le Hang Seng de Hong Kong 1.6% et le Nikkei 225 japonais 0.6%.
Les places mondiales ont connu un net regain de popularité des actions ces dernières semaines, le Dow Jones progressant hier une huitièmee fois d'affilée pour battre tous les records, la politique monétaire des banques centrales encourageant les investissements risqués.
Les angoisses à propos des perspectives économiques mondiales restaient cependant présentes après qu'il ait été révélé en fin de semaine que les prix au détail chinois avaient nettement grimpé le mois dernier, tandis que la production industrielle plongeait au plus bas depuis octobre 2009.
Une inflation dépassant de trop les prévisions pourrait entraîner une fermeture des robinets de la part de Pékin.
Le problème des conséquences économiques des mises sous séquestre budgétaires américaines et celui de l'impasse découlant des élections italiennes indécises du mois dernier n'étaient pas non plus à négliger.
Sydney se trouvait sur la défensive pour la seconde fois consécutive, ayant culminé en début de semaine à son plus haut niveau depuis septembre 2008.
La bande des quatre plus grosses banques nationales a perdu pied après que la Deutsche Bank et l'UBS aient revu leurs opinionsz sur le secteur à la baisse, invoquant la crainte de surévaluations.
La Commonwealth Bank of Australia, première d'entre elles, plongeait de 1.2%, et la National Australia Bank de 2.3%, tandis que l'ANZ Banking Group et la Commonwealth Bank of Australia limitaient respectivement les dégâts à 0.6% et 0.5%.
Hong Kong faisait pire, suivant le chemin tracé sur le continent, le futur de la seconde économie mondiale restant dans le flou.
La finance était parmi les lanternes rouges, la China Construction Bank fondant de 2.4%, l'Industrial and Commercial Bank of China de 1.8% et la Bank of China de 2.5%.
Les promoteurs immobiliers ne faisaient pas mieux, Sino Land et Sun Hung Kai Properties s'écroulant de 6 et 3.4%.
Tokyo s'est elle aussi encore éloignée de son plus haut piédestal depuis le début de la crise de septembre 2008, sur fond de prises des meilleurs bénéfices dans l'expectative d'une correction imminente.
L'indice vedette nippon a grimpé de près de 18% depuis le début de l'année, le moral reprenant de la vigueur alors que l'attente de mesures plus agressives de la part de la banque centrale nationale battait son plein suite à la récente nomination de Haruhiko Kuroda au poste de gouverneur.
Le spécialiste de l'électronique grand public Panasonic s'effondrait de 2.9%, alors que du côté des appareils photo Canon voyait 2.8% s'évaporer, tandis que le constructeur automobile Toyota dérapait de 1%, les entreprises tournées vers l'extérieur ayant auparavant profité de l'affaiblissement de la monnaie nationale, augmentant la valeur des devises obtenues à l'étranger, et donc les revenus des exportateurs.
Le futur des bourses européennes s'annonçait quand à lui sans bouleversements immédiats, à l'approche des enchères de dettes italiennes ayant lieu aujourd'hui.
Les options sur l'EURO STOXX 50 prévoyaient une stagnation, celles sur le CAC 40 français variant peu, celles sur le DAX 30 allemand restant neutres et celles sur le FTSE 100 britannique tablant sur un faux pas de 0.1%.
Les yeux étaient en effet tournés vers l'émission imminente par Rome d'obligations à trois et quinze ans, constituant un test crucial de l'appétit des investisseurs à leur égard, sur fond de confusion politique découlant des élections incertaines du mois dernier.