Secouée en fin de semaine dernière après l'annonce par la presse d'un incident lié à la sécurité des données dans un centre mexicain de l'opérateur américain AT&T dont le groupe assure la gestion, l'action Teleperformance (PARIS:ROCH) regagne 3,8% ce lundi en début de séance.
Il efface donc plus de la moitié des 7,2% perdus vendredi.
Le groupe a publié en fin de semaine dernière un communiqué dans lequel il a rappelé ne pas être mesure de 'commenter une situation particulière concernant un de ses clients avec lequel il a signé des clauses de confidentialité', ce qui l'empêche de communiquer sur tout incident pouvant se produire dans le cadre de la gestion du contrat de service.
Les attaques ayant trait à la sécurité des données 'se sont multipliées au cours des derniers 18 mois, comme en témoignent les nombreux cas révélés dans la presse économique, et tous les secteurs d'activité sont touchés', a admis Teleperformance, selon lequel 'les data centers et les centres de contacts, aussi bien externalisés que non-externalisés, gérant de larges bases de données constituent des cibles privilégiées pour les malfaiteurs'.
L'entreprise a toutefois précisé avoir pris une série de dispositions pour renforcer ses pratiques sécuritaires et réduire ainsi la matérialité de ce phénomène, ce qui se traduit notamment par des investissements additionnels en ressources humaines, en process, et en outils de détection. 'Ce renforcement des systèmes de sécurité, rendu nécessaire par la croissance des malversations électroniques, représente une charge additionnelle dans le compte d'exploitation du groupe', a prévenu Teleperformance, qui publiera son chiffre d'affaires du premier trimestre ce lundi soir, deux jours avant ce qui était originellement prévu.
Le groupe a d'ores et déjà indiqué que ses prévisions de croissance du chiffre d'affaires et de ses résultats demeurent d'actualité. De quoi rassurer les opérateurs et permettre au titre de signer la deuxième plus forte hausse du SBF 120.
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Il efface donc plus de la moitié des 7,2% perdus vendredi.
Le groupe a publié en fin de semaine dernière un communiqué dans lequel il a rappelé ne pas être mesure de 'commenter une situation particulière concernant un de ses clients avec lequel il a signé des clauses de confidentialité', ce qui l'empêche de communiquer sur tout incident pouvant se produire dans le cadre de la gestion du contrat de service.
Les attaques ayant trait à la sécurité des données 'se sont multipliées au cours des derniers 18 mois, comme en témoignent les nombreux cas révélés dans la presse économique, et tous les secteurs d'activité sont touchés', a admis Teleperformance, selon lequel 'les data centers et les centres de contacts, aussi bien externalisés que non-externalisés, gérant de larges bases de données constituent des cibles privilégiées pour les malfaiteurs'.
L'entreprise a toutefois précisé avoir pris une série de dispositions pour renforcer ses pratiques sécuritaires et réduire ainsi la matérialité de ce phénomène, ce qui se traduit notamment par des investissements additionnels en ressources humaines, en process, et en outils de détection. 'Ce renforcement des systèmes de sécurité, rendu nécessaire par la croissance des malversations électroniques, représente une charge additionnelle dans le compte d'exploitation du groupe', a prévenu Teleperformance, qui publiera son chiffre d'affaires du premier trimestre ce lundi soir, deux jours avant ce qui était originellement prévu.
Le groupe a d'ores et déjà indiqué que ses prévisions de croissance du chiffre d'affaires et de ses résultats demeurent d'actualité. De quoi rassurer les opérateurs et permettre au titre de signer la deuxième plus forte hausse du SBF 120.
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