Le distributeur britannique Tesco (LONDON:TSCO) a publié mercredi une lourde perte au titre de son exercice 2014/2015 et n'a annoncé aucun dividende, mais le titre progresse malgré tout ce matin à la Bourse de Londres.
En milieu de matinée, l'action Tesco affichait un gain modeste de 0,2% à 235,2 pence.
'Les investisseurs semblent se dire que le plan de redressement mis en place par le nouveau patron Dave Lewis va payer', commente Tony Cross, stratège chez Trustnet Direct.
Le groupe a fait état ce matin de charges exceptionnelles d'un montant de sept milliards de livres sur son exercice écoulé, dont 4,7 milliards de provisions pour dépréciation concernant ses actifs fixes sur fond de conditions de marché difficiles et de performances en berne.
Au niveau opérationnel toutefois, le bénéfice du groupe ressort à 1,4 milliard de livres, un chiffre en ligne avec les attentes.
Les analystes de Bernstein y voient une nouvelle preuve du redressement du groupe de distribution.
'Nous préférons nous focaliser sur le déficit du régime de retraite, qui ne s'est pas alourdi autant que prévu, sur l'absence de mauvaises surprises et sur la performance commerciale solide enregistrée au Royaume-Uni (-1% en organique)', souligne Bernstein.
'C'est de bon augure pour le nouvel exercice, même s'il est probable que ces éléments ne se répercuteront pas immédiatement sur les marges', conclut le bureau d'études, qui reste à 'surperformance' sur le titre avec un objectif de cours de 285 pence.
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En milieu de matinée, l'action Tesco affichait un gain modeste de 0,2% à 235,2 pence.
'Les investisseurs semblent se dire que le plan de redressement mis en place par le nouveau patron Dave Lewis va payer', commente Tony Cross, stratège chez Trustnet Direct.
Le groupe a fait état ce matin de charges exceptionnelles d'un montant de sept milliards de livres sur son exercice écoulé, dont 4,7 milliards de provisions pour dépréciation concernant ses actifs fixes sur fond de conditions de marché difficiles et de performances en berne.
Au niveau opérationnel toutefois, le bénéfice du groupe ressort à 1,4 milliard de livres, un chiffre en ligne avec les attentes.
Les analystes de Bernstein y voient une nouvelle preuve du redressement du groupe de distribution.
'Nous préférons nous focaliser sur le déficit du régime de retraite, qui ne s'est pas alourdi autant que prévu, sur l'absence de mauvaises surprises et sur la performance commerciale solide enregistrée au Royaume-Uni (-1% en organique)', souligne Bernstein.
'C'est de bon augure pour le nouvel exercice, même s'il est probable que ces éléments ne se répercuteront pas immédiatement sur les marges', conclut le bureau d'études, qui reste à 'surperformance' sur le titre avec un objectif de cours de 285 pence.
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