Investing.com - Les marchés asiatiques ont terminé la séance sans tendance vendredi, alors qu'une série de statistiques mitigées ont relancé les attentes de mise en oeuvre de nouvelles mesures de soutien à l'économie par les gouvernements de la région. Jeudi soir, le gouvernement espagnol a présenté son budget 2013.
Au Japon, la production industrielle a reculé de 1,3% au mois d'août, alors que la plupart des économistes avaient anticipé une baisse de seulement 0,4%. Sur les cinq derniers mois, cet indice, qui mesure l'activité dans les usines et sur les chantiers du pays, aura été en baisse à quatre reprises.
Par ailleurs, l'agence de notation vient de revoir à la baisse ses perspectives pour les deux géants démographiques d'Asie. Pour la Chine, elle ne table plus que sur 7,8% cette année, contre 8% auparavant. Et pour l'Inde, elle anticipe désormais 6% au lieu de 6,5%. Côté chinois, Fitch souligne le ralentissement des exportations, mais insiste davantgae sur les politiques délibérées des autorités pour lutter contre la poussée d'inflation qu'a connue le pays à la suite de son plan de relance géant de 2009 et 2010.
En fin de séance, le Hang Seng progressait de 0,44%, l'ASX australien grappillait 0,06% et le Nikkei japonais reculait de 0,95%.
Au Etats-Unis, les marchés boursiers ont clôturé en forte hausse, suivant la présentation du nouveau budget espagnol et dans l'attente de nouvelles mesures de soutien par la Chine.
Le titre d'Apple s'est notamment distingué, une fois de plus, en terminant la séance sur un rebond de 2,43%, alors que les valeurs technologiques ont globalement bénéficié d'une tendance haussière pendant la séance de jeudi.
Le Dow Jones Industrial Average a fermé en hausse de 0,54%, le S&P 500 engrangeait 0,96% et le Nasdaq a bondi de 1,44%.
Enfin, les indices européens ont également fermé en hausse, peu de temps avant les déclarations très attendues du gouvernement espagnol.
En fin de séance, le CAC 40 progressait de 0,72% et l'EURO STOXX 50 gagnait 0,30%, tandis que le DAX prenait 0,19% et le Footsie 100 s'appréciait de 0,20%.
Jeudi soir, le gouvernement espagnol a annoncé un calendrier détaillé de réformes économiques, ainsi qu'un projet de budget privilégiant la baisse des dépenses.
Les dépenses des ministères seront réduites de 8,9% l'an prochain et les traitements des fonctionnaires seront gelés pour la troisième année consécutive afin de réduire le déficit budgétaire, l'un des plus élevés de la zone euro rapporté au poids de l'économie.
En France, le projet de loi de Finances 2013, qui sera présenté vendredi matin en Conseil des ministres, prévoit un effort de redressement de 40 milliards pour ramener le déficit public à 3% de PIB, concentré aux deux tiers sur des hausses d'impôts.
Par ailleurs, l'Insee a confirmé la stagnation du PIB français au deuxième trimestre, alors que le pouvoir d'achat progresse légèrement mais alimente l'épargne et non la consommation.
Plus tard dans la journée, l'Espagne rendra publics les résultats de l'audit indépendant sur ses banques et leurs besoins de recapitalisation.
En zone euro, la première estimation de l'inflation en septembre sera publiée, puis les Etats-Unis révéleront les revenus et la consommation des ménages en août, ainsi que la deuxième estimation de l'indice de confiance des consommateurs de l'Université de Michigan pour septembre.
Au Japon, la production industrielle a reculé de 1,3% au mois d'août, alors que la plupart des économistes avaient anticipé une baisse de seulement 0,4%. Sur les cinq derniers mois, cet indice, qui mesure l'activité dans les usines et sur les chantiers du pays, aura été en baisse à quatre reprises.
Par ailleurs, l'agence de notation vient de revoir à la baisse ses perspectives pour les deux géants démographiques d'Asie. Pour la Chine, elle ne table plus que sur 7,8% cette année, contre 8% auparavant. Et pour l'Inde, elle anticipe désormais 6% au lieu de 6,5%. Côté chinois, Fitch souligne le ralentissement des exportations, mais insiste davantgae sur les politiques délibérées des autorités pour lutter contre la poussée d'inflation qu'a connue le pays à la suite de son plan de relance géant de 2009 et 2010.
En fin de séance, le Hang Seng progressait de 0,44%, l'ASX australien grappillait 0,06% et le Nikkei japonais reculait de 0,95%.
Au Etats-Unis, les marchés boursiers ont clôturé en forte hausse, suivant la présentation du nouveau budget espagnol et dans l'attente de nouvelles mesures de soutien par la Chine.
Le titre d'Apple s'est notamment distingué, une fois de plus, en terminant la séance sur un rebond de 2,43%, alors que les valeurs technologiques ont globalement bénéficié d'une tendance haussière pendant la séance de jeudi.
Le Dow Jones Industrial Average a fermé en hausse de 0,54%, le S&P 500 engrangeait 0,96% et le Nasdaq a bondi de 1,44%.
Enfin, les indices européens ont également fermé en hausse, peu de temps avant les déclarations très attendues du gouvernement espagnol.
En fin de séance, le CAC 40 progressait de 0,72% et l'EURO STOXX 50 gagnait 0,30%, tandis que le DAX prenait 0,19% et le Footsie 100 s'appréciait de 0,20%.
Jeudi soir, le gouvernement espagnol a annoncé un calendrier détaillé de réformes économiques, ainsi qu'un projet de budget privilégiant la baisse des dépenses.
Les dépenses des ministères seront réduites de 8,9% l'an prochain et les traitements des fonctionnaires seront gelés pour la troisième année consécutive afin de réduire le déficit budgétaire, l'un des plus élevés de la zone euro rapporté au poids de l'économie.
En France, le projet de loi de Finances 2013, qui sera présenté vendredi matin en Conseil des ministres, prévoit un effort de redressement de 40 milliards pour ramener le déficit public à 3% de PIB, concentré aux deux tiers sur des hausses d'impôts.
Par ailleurs, l'Insee a confirmé la stagnation du PIB français au deuxième trimestre, alors que le pouvoir d'achat progresse légèrement mais alimente l'épargne et non la consommation.
Plus tard dans la journée, l'Espagne rendra publics les résultats de l'audit indépendant sur ses banques et leurs besoins de recapitalisation.
En zone euro, la première estimation de l'inflation en septembre sera publiée, puis les Etats-Unis révéleront les revenus et la consommation des ménages en août, ainsi que la deuxième estimation de l'indice de confiance des consommateurs de l'Université de Michigan pour septembre.