Vivendi (PARIS:VIV) semble toujours croire en Telecom Italia, dont il s'est assuré au début de l'été environ 15% du capital : selon les Echos, le groupe dirigé par Vincent Bolloré cherche à monter à 20%.
Si l'action Vivendi prend 1,9% à Paris à 21,5 euros, surperformant légèrement le CAC 40, celle de Telecom Italia gagne à Milan de 3,4% à 1,11 euro.
Ainsi, détaille le quotidien économique, Vivendi recherche des blocs de titres Telecom Italia à vendre et négocie avec l'Etat italien. Cette seconde opération porterait sur environ un milliard d'euros. Pour autant, Vivendi n'entend pas viser trop haut et n'envisage pas une OPA.
Les Echos avancent plusieurs arguments en faveur l'investissement de Vivendi dans l'opérateur télécom italien : tout d'abord, la fusion de deux opérateurs mobiles locaux (le russe Vimpelcom et le hongkongais Hutchison) pourrait en ramener le nombre à trois. Vivendi peut ensuite essayer de diffuser ses contenus audiovisuels par l'intermédiaire des abonnés fixes de Telecom Italia.
Les Echos rapportent aussi que Vincent Bolloré aurait souhaité garder le contrôle de SFR, mais qu'il n'était plus possible de le faire lorsqu'il a pris la direction de Vivendi.
Par ailleurs, Vivendi détient 1% du capital de l'opérateur espagnol Telefonica (MADRID:TEF).
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Si l'action Vivendi prend 1,9% à Paris à 21,5 euros, surperformant légèrement le CAC 40, celle de Telecom Italia gagne à Milan de 3,4% à 1,11 euro.
Ainsi, détaille le quotidien économique, Vivendi recherche des blocs de titres Telecom Italia à vendre et négocie avec l'Etat italien. Cette seconde opération porterait sur environ un milliard d'euros. Pour autant, Vivendi n'entend pas viser trop haut et n'envisage pas une OPA.
Les Echos avancent plusieurs arguments en faveur l'investissement de Vivendi dans l'opérateur télécom italien : tout d'abord, la fusion de deux opérateurs mobiles locaux (le russe Vimpelcom et le hongkongais Hutchison) pourrait en ramener le nombre à trois. Vivendi peut ensuite essayer de diffuser ses contenus audiovisuels par l'intermédiaire des abonnés fixes de Telecom Italia.
Les Echos rapportent aussi que Vincent Bolloré aurait souhaité garder le contrôle de SFR, mais qu'il n'était plus possible de le faire lorsqu'il a pris la direction de Vivendi.
Par ailleurs, Vivendi détient 1% du capital de l'opérateur espagnol Telefonica (MADRID:TEF).
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