Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce lundi après-midi, les yeux étant fixéssur les résultats américains à venir, sur fond d'espoir que l'Espagne formule incessamment sa demande d'aide complète.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.38%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.5% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.66%.
Le moral était revenu après que l'angoisse d'un atterrissage en catastrophe de la seconde économie mondiale ait été apaisée par la Chine, signalant ces derniers jours que l'excédent de sa balance commerciale avait davantage augmenté en septembre qu'espéré grâce au renforcement de la demande à l'exportation.
La tension restait palpable suite à la déception découlant de l'absence de recours de l'Espagne aux aides financières en fin de semaine passée, une éventualité semblant désormais fortement improbable avant les élections régionales du 21 octobre.
La finance était sous les feux de la rampe, Citigroup s'apprêtant à dévoiler ses résultats aujourd'hui, après que JP Morgan-Chase et Wells & Fargo aient fait de même vendredi, ravivant la crainte d'une diminution des marges des gros établissements bancaires malgré des bénéfices dépassant les espérances.
Du côté de la technologie, l'opérateur de téléphonie mobile américain Sprint a bondi de 2.62% en pré-ouverture suite à la révélation selon laquelle le japonais Softbank aurait trouvé un accord pour en racheter 70% contre une somme de 20.1 milliards d'USD, constituant du coup la plus grosse acquisition étrangère jamais effectuée par une compagnie nippone.
Il se disait par ailleurs qu'Amazon.com serait en pourparlers avancés en vue de racheter la division d'informatique mobile du fabricant de composants électroniques Texas Instruments, permettant du coup à ce dernier d'engranger 1.5% avant les premiers échanges.
Apple était aussi sur le devant de la scène, son ascension de 0.54% d'avant l'ouverture semblant devoir se prolonger, SNS Securities ayant déclaré que la firme à la pomme pourrait améliorer la cartographie défaillante de ses iPhones avec l'aide du spécialiste TomTom, avec lequel elle avait signé un accord de partage d'informations en juin.
Elle a d'autre part interjeté appel après que le tribunal de Tokyo ait estimé que Samsung Electronics n'avait pas enfreint les brevets déposés pour l'iPhone.
Advanced Micro Devices n'était pas à négliger, se hissant de 2.19% dans le même temps, alors qu'il semblerait qu'un plan social concernant 2 340 emplois, soit 20% de ses postes, soit dans les tuyaux.
Le fournisseur de microprocesseurs avait avoué la semaine passée que son chiffre d'affaires du troisième trimestre connaîtrait un recul d'environ 10% par rapport au second, dépassant ainsi le pourcentage redouté.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 1.13%, le CAC 40 français de 1.33%, le DAX 30 allemand de 0.79% et le FTSE 100 britannique de 0.53%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait grignoté 0.06%, et le Nikkei 225 japonais 0.51%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer en fin de journée le volume de leurs ventes au détail, ainsi que des informations concernant l'état officiel des réserves des entreprises.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.38%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.5% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.66%.
Le moral était revenu après que l'angoisse d'un atterrissage en catastrophe de la seconde économie mondiale ait été apaisée par la Chine, signalant ces derniers jours que l'excédent de sa balance commerciale avait davantage augmenté en septembre qu'espéré grâce au renforcement de la demande à l'exportation.
La tension restait palpable suite à la déception découlant de l'absence de recours de l'Espagne aux aides financières en fin de semaine passée, une éventualité semblant désormais fortement improbable avant les élections régionales du 21 octobre.
La finance était sous les feux de la rampe, Citigroup s'apprêtant à dévoiler ses résultats aujourd'hui, après que JP Morgan-Chase et Wells & Fargo aient fait de même vendredi, ravivant la crainte d'une diminution des marges des gros établissements bancaires malgré des bénéfices dépassant les espérances.
Du côté de la technologie, l'opérateur de téléphonie mobile américain Sprint a bondi de 2.62% en pré-ouverture suite à la révélation selon laquelle le japonais Softbank aurait trouvé un accord pour en racheter 70% contre une somme de 20.1 milliards d'USD, constituant du coup la plus grosse acquisition étrangère jamais effectuée par une compagnie nippone.
Il se disait par ailleurs qu'Amazon.com serait en pourparlers avancés en vue de racheter la division d'informatique mobile du fabricant de composants électroniques Texas Instruments, permettant du coup à ce dernier d'engranger 1.5% avant les premiers échanges.
Apple était aussi sur le devant de la scène, son ascension de 0.54% d'avant l'ouverture semblant devoir se prolonger, SNS Securities ayant déclaré que la firme à la pomme pourrait améliorer la cartographie défaillante de ses iPhones avec l'aide du spécialiste TomTom, avec lequel elle avait signé un accord de partage d'informations en juin.
Elle a d'autre part interjeté appel après que le tribunal de Tokyo ait estimé que Samsung Electronics n'avait pas enfreint les brevets déposés pour l'iPhone.
Advanced Micro Devices n'était pas à négliger, se hissant de 2.19% dans le même temps, alors qu'il semblerait qu'un plan social concernant 2 340 emplois, soit 20% de ses postes, soit dans les tuyaux.
Le fournisseur de microprocesseurs avait avoué la semaine passée que son chiffre d'affaires du troisième trimestre connaîtrait un recul d'environ 10% par rapport au second, dépassant ainsi le pourcentage redouté.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 1.13%, le CAC 40 français de 1.33%, le DAX 30 allemand de 0.79% et le FTSE 100 britannique de 0.53%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait grignoté 0.06%, et le Nikkei 225 japonais 0.51%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer en fin de journée le volume de leurs ventes au détail, ainsi que des informations concernant l'état officiel des réserves des entreprises.