Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mardi, à l'approche de la divulgation des résultats du commerce extérieur américain, sur fond d'espoir de nouveaux accomodements destinés à renflouer la croissance que la Réserve Fédérale dévoilerait après sa prochaine prise de cap.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.26% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.24%.
Les conclusions de la prochaine réunion de la Fed, qui seront connues jeudi, restaient en effet au centre des débats, après que les résultats décevants du marché de l'emploi américain dévoilés la semaine passée aient alimenté l'hypothèse d'un coup de fouet supplémentaire de sa part.
La cour constitutionnelle de l'Allemagne a pour sa part confirmé aujourd'hui qu'elle rendrait demain son arrêt concernant la conformité ou non du Mécanisme Européen de Stabilité, alors qu'il avait auparavant été question qu'elle prolonge ses délibérations.
L'optimisme dominait toujours après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait précisé la semaine passée les détails d'un programme d'achats de bons du trésor par cette dernière, destiné à juguler la crise de la dette régionale et dénommé Transactions Monétaires Directes.
Apple semblait une fois de plus devoir monopoliser l'attention, à la veille de la présentation très attendue de son nouvel iPhone, l'agence de presse Reuters ayant précédemment fait savoir que celui-ci pourrait entre un quart et un demi point à sa croissance américaine annualisée pour le quatrième trimestre.
Les éditeurs de logiciels étaient également sur la brèche, après que Palo Alto Networks ait promis à ses actionnaires une poursuite de l'augmentation de ses rentrées après avoir battu les estimations pour les recettes et les bénéfices au quatrième trimestre fiscal, grâce à l'explosion de la demande de protection des réseaux envers les attaques.
La compagnie a malgré cela dégringolé de 9.6% après la fermeture.
Zynga, ayant lancé bon nombre de jeux sur Facebook, parmi lesquels le célèbre Farmville, a laissé échapper 0.71% après la clôture suite à la démission hier de son directeur commercial, prolongeant ainsi la série de hauts responsables à quitter ce navire en détresse.
Pour rester dans l'actualité, le conseil d'administration de General Growth Properties a repoussé le même jour l'appel de l'investisseur activiste Bill Ackman à considérer sa mise en vente, estimant que ses actionnaires tireraient un meilleur parti d'un maintien de son programme d'évolution actuel, fondant de 3.54% du même cup après les dernières transactions.
Du côté de l'industrie pharmaceutique, Navidea s'est effondré de 35.33% danss le même temps, suite à l'aveu du refus par autorités sanitaires américaines de laisser mettre sur le marché son Lymphoseek, un traitement injectable, en raison de problèmes avec ses sous-traitants.
Tout n'était cependant pas désespéré, l'envolée de Green Mountain semblant devoir se poursuivre après les 9% précédents, Lavazza ayant indiqué dans un formulaire déposé après les derniers échanges avoir atteiint 6.8% de parts au sein du fournisseur de café américain.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.44%, le CAC 40 français de 0.51%, le DAX 30 allemand de 0.17% et le FTSE 100 britannique de 0.5%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait avait grignoté 0.15%, et le Nikkei 225 japonais flanché de 0.7%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté faire connaître le solde de leur balance commerciale dans l'après-midi.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.26% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.24%.
Les conclusions de la prochaine réunion de la Fed, qui seront connues jeudi, restaient en effet au centre des débats, après que les résultats décevants du marché de l'emploi américain dévoilés la semaine passée aient alimenté l'hypothèse d'un coup de fouet supplémentaire de sa part.
La cour constitutionnelle de l'Allemagne a pour sa part confirmé aujourd'hui qu'elle rendrait demain son arrêt concernant la conformité ou non du Mécanisme Européen de Stabilité, alors qu'il avait auparavant été question qu'elle prolonge ses délibérations.
L'optimisme dominait toujours après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait précisé la semaine passée les détails d'un programme d'achats de bons du trésor par cette dernière, destiné à juguler la crise de la dette régionale et dénommé Transactions Monétaires Directes.
Apple semblait une fois de plus devoir monopoliser l'attention, à la veille de la présentation très attendue de son nouvel iPhone, l'agence de presse Reuters ayant précédemment fait savoir que celui-ci pourrait entre un quart et un demi point à sa croissance américaine annualisée pour le quatrième trimestre.
Les éditeurs de logiciels étaient également sur la brèche, après que Palo Alto Networks ait promis à ses actionnaires une poursuite de l'augmentation de ses rentrées après avoir battu les estimations pour les recettes et les bénéfices au quatrième trimestre fiscal, grâce à l'explosion de la demande de protection des réseaux envers les attaques.
La compagnie a malgré cela dégringolé de 9.6% après la fermeture.
Zynga, ayant lancé bon nombre de jeux sur Facebook, parmi lesquels le célèbre Farmville, a laissé échapper 0.71% après la clôture suite à la démission hier de son directeur commercial, prolongeant ainsi la série de hauts responsables à quitter ce navire en détresse.
Pour rester dans l'actualité, le conseil d'administration de General Growth Properties a repoussé le même jour l'appel de l'investisseur activiste Bill Ackman à considérer sa mise en vente, estimant que ses actionnaires tireraient un meilleur parti d'un maintien de son programme d'évolution actuel, fondant de 3.54% du même cup après les dernières transactions.
Du côté de l'industrie pharmaceutique, Navidea s'est effondré de 35.33% danss le même temps, suite à l'aveu du refus par autorités sanitaires américaines de laisser mettre sur le marché son Lymphoseek, un traitement injectable, en raison de problèmes avec ses sous-traitants.
Tout n'était cependant pas désespéré, l'envolée de Green Mountain semblant devoir se poursuivre après les 9% précédents, Lavazza ayant indiqué dans un formulaire déposé après les derniers échanges avoir atteiint 6.8% de parts au sein du fournisseur de café américain.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.44%, le CAC 40 français de 0.51%, le DAX 30 allemand de 0.17% et le FTSE 100 britannique de 0.5%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait avait grignoté 0.15%, et le Nikkei 225 japonais flanché de 0.7%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté faire connaître le solde de leur balance commerciale dans l'après-midi.