Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mardi, les observateurs guettant les signes d'un coup de pouce imminent provenant de la Réserve Fédérale, tandis que l'attente de nouveaux accomodement de la part de la Banque Centrale Européenne allégeait l'atmosphère.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.32%.
L'annonce par la Fed de mesures stimulatrices a beau sembler improbable pour cette semaine, certains n'en pensent pas moins qu'elle pourrait en laisser entrevoir des présages pour un futur proche après ses deux jours de réunion.
L'espoir que la BCE prenne des initiatives inédites destinées à endiguer le problème du surendettement régional se faisait de plus en plus grand, après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à défendre l'euro par tous les moyens nécessaires.
Mais la prudence était à l'ordre du jour, dans la crainte qu'une réponse plus timorée de la part de la BCE n'entraîne un repli général.
Le loueur automobile Hertz était attendu sur le devant de la scène, après avoir enregistré des profits trimestriels dépassant les attentes grâce à l'augmentation de ses marges.
La forte demande de la part des voyageurs professionnels et des touristes aurait augmenté les recettes des hôtels et des compagnies aériennes des Etats-Unis, profitant du même coup aux fournisseurs de véhicules, et lui faisant engranger 3.48% après la fermeture.
General Motors a poue sa part gagné 0.57% dans le même temps, sur fond de bruits selon lesquels l'éviction de son directeur commercial Joel Ewanick aurait été dûe à un accord de parrainage désastreux de l'équipe de football anglaise Manchester United, ayant coûté deux fois plus que le précédent, accordé à une concurrent.
L'entreprise avait révélé sa démission hier, à peine plus de deux ans après qu'il ait été engagé afin de diriger une remise à plat de sa stratégie de vente.
Parmi les rivaux, Toyota devrait revoir ses prévisions de ventes mondiales à la hausse, des 8.58 millions envisagés en février vers les 8.8 millions, grâce aux fortes ventes au sein des économies émergentes.
BP, un des poids lourd des hydrocarbures, était aussi sous les feux de l'actualité, dérapant de 3.87% en pré-ouverture, suite à ses pertes du second trimestre, découlant du recul de sa production, de la chute des cours et de près de 5 milliards de dévaluation de ses actifs.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Aetna, Electronic Arts, Goodyear, Pfizer et Valero Energy, dont les performances devraient être proclamées en cours de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 arrachant 0.18%, le CAC 40 français 0.02%, et le DAX 30 allemand 0.43%, tandis que le FTSE 100 britannique dévissait de 0.36%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait rebondi de 1.08%, et le Nikkei 225 japonais de 0.69%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la journée avec des informations établies par des experts sur les variations des coûts des logements, la confiance des particuliers, ainsi que l'activité manufacturière dans la région de Chicago.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.32%.
L'annonce par la Fed de mesures stimulatrices a beau sembler improbable pour cette semaine, certains n'en pensent pas moins qu'elle pourrait en laisser entrevoir des présages pour un futur proche après ses deux jours de réunion.
L'espoir que la BCE prenne des initiatives inédites destinées à endiguer le problème du surendettement régional se faisait de plus en plus grand, après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à défendre l'euro par tous les moyens nécessaires.
Mais la prudence était à l'ordre du jour, dans la crainte qu'une réponse plus timorée de la part de la BCE n'entraîne un repli général.
Le loueur automobile Hertz était attendu sur le devant de la scène, après avoir enregistré des profits trimestriels dépassant les attentes grâce à l'augmentation de ses marges.
La forte demande de la part des voyageurs professionnels et des touristes aurait augmenté les recettes des hôtels et des compagnies aériennes des Etats-Unis, profitant du même coup aux fournisseurs de véhicules, et lui faisant engranger 3.48% après la fermeture.
General Motors a poue sa part gagné 0.57% dans le même temps, sur fond de bruits selon lesquels l'éviction de son directeur commercial Joel Ewanick aurait été dûe à un accord de parrainage désastreux de l'équipe de football anglaise Manchester United, ayant coûté deux fois plus que le précédent, accordé à une concurrent.
L'entreprise avait révélé sa démission hier, à peine plus de deux ans après qu'il ait été engagé afin de diriger une remise à plat de sa stratégie de vente.
Parmi les rivaux, Toyota devrait revoir ses prévisions de ventes mondiales à la hausse, des 8.58 millions envisagés en février vers les 8.8 millions, grâce aux fortes ventes au sein des économies émergentes.
BP, un des poids lourd des hydrocarbures, était aussi sous les feux de l'actualité, dérapant de 3.87% en pré-ouverture, suite à ses pertes du second trimestre, découlant du recul de sa production, de la chute des cours et de près de 5 milliards de dévaluation de ses actifs.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Aetna, Electronic Arts, Goodyear, Pfizer et Valero Energy, dont les performances devraient être proclamées en cours de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 arrachant 0.18%, le CAC 40 français 0.02%, et le DAX 30 allemand 0.43%, tandis que le FTSE 100 britannique dévissait de 0.36%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait rebondi de 1.08%, et le Nikkei 225 japonais de 0.69%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la journée avec des informations établies par des experts sur les variations des coûts des logements, la confiance des particuliers, ainsi que l'activité manufacturière dans la région de Chicago.