Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce lundi, les observateurs guettant la publication d'une avalanche de résultats économiques, alors que flottait toujours l'ombre de la crise de la dette de la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.4%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.36% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.29%.
L'atmosphère s'était légèrement éclaircie après que des informations de source officielle aient montré que la balance commerciale de la zone euro avait réalisé un excédent de 2.8 milliards d'euros en fébrier, après avoir pourtant connu un déficit de la même ampleur pour la même période de l'année dernière, les exportations prenant 11% et les importations seulement 7%.
Les observateurs demeuraient toutefois échaudés après que le coût des assurances contre un éventuel défaut de paiement des dettes espagnoles se soit élevé ce matin vers un nouveau sommet, poussant les taux des bons décennaux du pays à dépasser de nouveau la barre des 6%, alors que flottait l'inquiétude que celui-ci ne parvienne pas à remplir ses objectifs de réduction des déficits.
Ils retenaient aussi leur souffle dans l'expectative de l'émission d'obligations à dix ans devant avoir lieu cette semaine, et constituer un test crucial de la désirabilité des créances sur l'Espagne.
La finance était sur le devant de la scène, après que JP Morgan ait dévoilé la semaine dernière des peformances dépassant les attentes, mais comportant tout de même des diminutions de ses revenus nettes et de ses profits d'une année sur l'autre.
La comparution de la Bank of New York Mellon est d'autre part attendue aujourd'hui devant les tribunaux fiscaux américains, pour le début d'une série de procès concernant l'abattement fiscal dont elle a bénéficié à la suite d'un prêt à hauteur de 1.5 milliards d'USD consenti par la banque britannique Barclays.
Citigroup ne sera pas en reste avec ses bénéfices du premier trimestre, reculant tout de même de 0.6% sur les transactions de pré-ouverture.
Le Carlyle Group, second plus gros fonds d'investissement privé américain, était également sur toutes les lèvres, ayant affirmé espérer lever jusqu'à 762.5 millions d'USD lors de sa première mise sur le marché, ce qui porterait sa valeur totale à 7.6 milliards d'USD.
La technologie était aussi en ébullition, Google et Oracle ayant toutes les chances de se confronter dans la journée devant une cour de San Francisco, en raison de leur conflit crucial que les brevets utilisés par les intelliphones, les tentatives de conciliation entre Larry Page et Larry Ellison, directeurs généraux respectifs des deux protagonistes, ayant échoué jusqu'à maintenant.
Le premier a toutefois grignoté 0.03% sur les échanges d'avant l'ouverture.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter le fabricant de jouets Mattel, l'éditeur de journaux Gannett, M&T Bank et le courtier Charlles Schwab, dont les performances devraient être dévoilées avant les premières opérations d'aujourd'hui.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 bondissant de 0.65%, le CAC 40 français de 0.99%, le DAX 30 allemand de 0.8% et le FTSE 100 britannique de 0.68%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait sombré de 0.5%, et le Nikkei 225 japonais de 1.75%.
Les autorités américaines devraient quand à elles divulguer dans l'après-midi les chiffres des ventes auprès des particuliers, mais aussi un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York, un autre sur le solde des transactions concernant les titres sécurisés et un inventaire des stocks des entreprises.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.4%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.36% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.29%.
L'atmosphère s'était légèrement éclaircie après que des informations de source officielle aient montré que la balance commerciale de la zone euro avait réalisé un excédent de 2.8 milliards d'euros en fébrier, après avoir pourtant connu un déficit de la même ampleur pour la même période de l'année dernière, les exportations prenant 11% et les importations seulement 7%.
Les observateurs demeuraient toutefois échaudés après que le coût des assurances contre un éventuel défaut de paiement des dettes espagnoles se soit élevé ce matin vers un nouveau sommet, poussant les taux des bons décennaux du pays à dépasser de nouveau la barre des 6%, alors que flottait l'inquiétude que celui-ci ne parvienne pas à remplir ses objectifs de réduction des déficits.
Ils retenaient aussi leur souffle dans l'expectative de l'émission d'obligations à dix ans devant avoir lieu cette semaine, et constituer un test crucial de la désirabilité des créances sur l'Espagne.
La finance était sur le devant de la scène, après que JP Morgan ait dévoilé la semaine dernière des peformances dépassant les attentes, mais comportant tout de même des diminutions de ses revenus nettes et de ses profits d'une année sur l'autre.
La comparution de la Bank of New York Mellon est d'autre part attendue aujourd'hui devant les tribunaux fiscaux américains, pour le début d'une série de procès concernant l'abattement fiscal dont elle a bénéficié à la suite d'un prêt à hauteur de 1.5 milliards d'USD consenti par la banque britannique Barclays.
Citigroup ne sera pas en reste avec ses bénéfices du premier trimestre, reculant tout de même de 0.6% sur les transactions de pré-ouverture.
Le Carlyle Group, second plus gros fonds d'investissement privé américain, était également sur toutes les lèvres, ayant affirmé espérer lever jusqu'à 762.5 millions d'USD lors de sa première mise sur le marché, ce qui porterait sa valeur totale à 7.6 milliards d'USD.
La technologie était aussi en ébullition, Google et Oracle ayant toutes les chances de se confronter dans la journée devant une cour de San Francisco, en raison de leur conflit crucial que les brevets utilisés par les intelliphones, les tentatives de conciliation entre Larry Page et Larry Ellison, directeurs généraux respectifs des deux protagonistes, ayant échoué jusqu'à maintenant.
Le premier a toutefois grignoté 0.03% sur les échanges d'avant l'ouverture.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter le fabricant de jouets Mattel, l'éditeur de journaux Gannett, M&T Bank et le courtier Charlles Schwab, dont les performances devraient être dévoilées avant les premières opérations d'aujourd'hui.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 bondissant de 0.65%, le CAC 40 français de 0.99%, le DAX 30 allemand de 0.8% et le FTSE 100 britannique de 0.68%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait sombré de 0.5%, et le Nikkei 225 japonais de 1.75%.
Les autorités américaines devraient quand à elles divulguer dans l'après-midi les chiffres des ventes auprès des particuliers, mais aussi un rapport sur l'activité manufacturière dans la région de New York, un autre sur le solde des transactions concernant les titres sécurisés et un inventaire des stocks des entreprises.