Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce jeudi après-midi, à l'approche des résultats américains de la journée, bien que les problèmes concernant la gsetion de la crise de la dette espagnole continuent à assombrir l'atmosphère.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.39%.
Le moral était pourtant revenu après que Christine Lagarde, directrice du Fonds Monétaire International, ait concédé que les membre du bloc euro en difficulté comme la Grèce et l'Espagnedevaient disposer de davantage de temps afin de diminuer leurs déficits budgétaires.
Mais la prudence restait de mise après que S&P en ait rétrogradé l'appréciation dans la soirée de mercredi de BBB-plus vers BBB-moins, avec une perspective négative, invoquant "les risques grandissants liés à l'état des finances nationales".
Elle a aussi estimé que la capacité de Madrid à faire face aux problèmes posés par crises fiscales et économiques actuelles diminuait.
Coca-Cola, premier pourvoyeur de boissons non alcoolisées du monde, était à l'honneur, en raison des bruits selon lesquels il étudierait un investissement d'environ 10 millions d'USD dans le diffuseur de musique avec abonnement Spotify Ltd.
Les compagnies aériennes n'étaient pas non plus à négliger, alors qu'Alaska Air Group Inc, maison-mère d'Alaska Airlines, s'apprêtait d'après le quotidien Wall Street Journal à commander 50 appareils Boeing 737 à fuselage étroit.
du côté de la technologie, le groupe d'études Gartner a révélé hier que le chinois Lenovo Group avait pris le dessus face au géant américain Hewlett-Packard pour devenir le premier assembleur d'ordinateurs au troisième trimestre, ce qui n'a pas empêché ce dernier de grignoter 0.28% en pré-ouverture.
Les établissements financiers étaient aussi sous les feux de la rampe, alors qu'il se disait que les autorités fédérales utiliseraient des conversations enregistrées dans leurs investigations concernant les pertes de plusieurs milliards de USD résultat d'opérations douteuses de JPMorgan, notamment des appels au cours desquels certains de ses employés discuteraient sans tabous de la manière de présenter des opérations risquées sous un jour favorable.
Dans le même domaine, l'analyste William Wallace de Raymond James Financial a estimé que First Financial Holdings avait réalisé des "performances conformes au marché, soit l'équivalent d'une recommandation de neutralité.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 s'élevant de 0.53%, le CAC 40 français de 0.6%, le DAX 30 allemand de 0.72% et le FTSE 100 britannique de 0.62%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait avancé de 0.38%, mais le Nikkei 225 japonais avait laissé échapper 0.58%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer en fin de journée leurs chiffres officiels portant sur le commerce extérieur, les nouvelles inscriptions au chômage, les prix à l'importation et le volume des réserves pétrolières.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.39%.
Le moral était pourtant revenu après que Christine Lagarde, directrice du Fonds Monétaire International, ait concédé que les membre du bloc euro en difficulté comme la Grèce et l'Espagnedevaient disposer de davantage de temps afin de diminuer leurs déficits budgétaires.
Mais la prudence restait de mise après que S&P en ait rétrogradé l'appréciation dans la soirée de mercredi de BBB-plus vers BBB-moins, avec une perspective négative, invoquant "les risques grandissants liés à l'état des finances nationales".
Elle a aussi estimé que la capacité de Madrid à faire face aux problèmes posés par crises fiscales et économiques actuelles diminuait.
Coca-Cola, premier pourvoyeur de boissons non alcoolisées du monde, était à l'honneur, en raison des bruits selon lesquels il étudierait un investissement d'environ 10 millions d'USD dans le diffuseur de musique avec abonnement Spotify Ltd.
Les compagnies aériennes n'étaient pas non plus à négliger, alors qu'Alaska Air Group Inc, maison-mère d'Alaska Airlines, s'apprêtait d'après le quotidien Wall Street Journal à commander 50 appareils Boeing 737 à fuselage étroit.
du côté de la technologie, le groupe d'études Gartner a révélé hier que le chinois Lenovo Group avait pris le dessus face au géant américain Hewlett-Packard pour devenir le premier assembleur d'ordinateurs au troisième trimestre, ce qui n'a pas empêché ce dernier de grignoter 0.28% en pré-ouverture.
Les établissements financiers étaient aussi sous les feux de la rampe, alors qu'il se disait que les autorités fédérales utiliseraient des conversations enregistrées dans leurs investigations concernant les pertes de plusieurs milliards de USD résultat d'opérations douteuses de JPMorgan, notamment des appels au cours desquels certains de ses employés discuteraient sans tabous de la manière de présenter des opérations risquées sous un jour favorable.
Dans le même domaine, l'analyste William Wallace de Raymond James Financial a estimé que First Financial Holdings avait réalisé des "performances conformes au marché, soit l'équivalent d'une recommandation de neutralité.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 s'élevant de 0.53%, le CAC 40 français de 0.6%, le DAX 30 allemand de 0.72% et le FTSE 100 britannique de 0.62%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait avancé de 0.38%, mais le Nikkei 225 japonais avait laissé échapper 0.58%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer en fin de journée leurs chiffres officiels portant sur le commerce extérieur, les nouvelles inscriptions au chômage, les prix à l'importation et le volume des réserves pétrolières.