Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mercredi, alors que les observateurs attendaient la divulgation des chiffres gouvernementaux concernant les commandes de biens durables, à l'affût de nouveaux signes de relance de l'économie, bien que les craintes concernant la gestion de la crise de la dette espagnole continuent à assombrir l'atmosphère.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.2%.
L'Espagne était sur toutes les lèvres en raison de la peur du haut niveau des coûts de ses emprunts, dans l'attente de la présentation de son budget national prévue vendredi, avec la crainte que les coupes budgétaires draconiennes soient adoucies face à la récession qui menace.
Le moral avait repris des couleurs après que Mario Monti, premier ministre italien, ait déclaré ce matin que la crise de la dette de la zone euro était "presque terminée".
La finance avait toutes les chances de se trouver sur le devant de la scène, la Bank of America cherchant selon des sources bien informées à créer un conseil international qui pourrait aider Brian Moynihan, son directeur général, à établir sa stratégie internationale.
Elle a du coup bondi de 1.15% sur les échanges de pré-ouverture, Citigroup lui emboîtant le pas avec 0.46%.
Wells Fargo & Co a par contre trébuché de 0.06% après la fermeture, se retrouvant à faire face à une action collective en justice à son encontre provenant d'investisseurs du Minnesota, l'ayant accusée de présenter un programme d'investissement comme étant sûr alors qu'il était en fait dangereux.
En ce qui concerne la technologie, Apple a déclaré que tous les acheteurs australiens de son nouvel iPad recevraient un courrier électronique afin de se voir offrir un remboursement après que le service national de protection des consommateurs l'ait accusé de publicité trompeuse concernant un de ses aspects cruciaux, prenant du même coup 0.56% avant l'ouverture.
Le secteur primaire était lui aussi sous les feux de la rampe, l'extracteur d'or Goldcorp étant semble-t'il en train d'acquérir des entreprises aurifères à leurs débuts afin d'augmenter le volume de ses réserves.
Parmi les performances annoncées, PVH Corp a glissé de 0.35% malgré des bénéfices au quatrième trimestre supérieurs aux attentes grâce aux nombreuses ventes de ses marques Tommy Hilfiger et Calvin Klein, l'enthousiasme ayant été refroidi par l'annoonce de projections de profits au premier trimestre inférieures aux espérances en raison de la hausse des coûts de production.
Sealy Corps se situait en tête de peloton en s'envolant de 16.49% après les derniers échanges d'hier après évoir enregistré des bénéfices inattendus au premier tour, la forte demande pour ses matelas haut de gamme compensant en partie le diminution des volumes des entrées et milieu de gamme.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.11%, le CAC 40 français arrachant 0.06%, le DAX 30 allemand se repliant de 0.15% et le FTSE 100 britannique de 0.09%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 1.15%, et le Nikkei 225 japonais 0.7%.
Les autorités américaines comptent quand à elles dévoiler cet après-midi le volume des commandes de biens durables, ainsi que leur inventaire des réserves pétrolières.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.2%.
L'Espagne était sur toutes les lèvres en raison de la peur du haut niveau des coûts de ses emprunts, dans l'attente de la présentation de son budget national prévue vendredi, avec la crainte que les coupes budgétaires draconiennes soient adoucies face à la récession qui menace.
Le moral avait repris des couleurs après que Mario Monti, premier ministre italien, ait déclaré ce matin que la crise de la dette de la zone euro était "presque terminée".
La finance avait toutes les chances de se trouver sur le devant de la scène, la Bank of America cherchant selon des sources bien informées à créer un conseil international qui pourrait aider Brian Moynihan, son directeur général, à établir sa stratégie internationale.
Elle a du coup bondi de 1.15% sur les échanges de pré-ouverture, Citigroup lui emboîtant le pas avec 0.46%.
Wells Fargo & Co a par contre trébuché de 0.06% après la fermeture, se retrouvant à faire face à une action collective en justice à son encontre provenant d'investisseurs du Minnesota, l'ayant accusée de présenter un programme d'investissement comme étant sûr alors qu'il était en fait dangereux.
En ce qui concerne la technologie, Apple a déclaré que tous les acheteurs australiens de son nouvel iPad recevraient un courrier électronique afin de se voir offrir un remboursement après que le service national de protection des consommateurs l'ait accusé de publicité trompeuse concernant un de ses aspects cruciaux, prenant du même coup 0.56% avant l'ouverture.
Le secteur primaire était lui aussi sous les feux de la rampe, l'extracteur d'or Goldcorp étant semble-t'il en train d'acquérir des entreprises aurifères à leurs débuts afin d'augmenter le volume de ses réserves.
Parmi les performances annoncées, PVH Corp a glissé de 0.35% malgré des bénéfices au quatrième trimestre supérieurs aux attentes grâce aux nombreuses ventes de ses marques Tommy Hilfiger et Calvin Klein, l'enthousiasme ayant été refroidi par l'annoonce de projections de profits au premier trimestre inférieures aux espérances en raison de la hausse des coûts de production.
Sealy Corps se situait en tête de peloton en s'envolant de 16.49% après les derniers échanges d'hier après évoir enregistré des bénéfices inattendus au premier tour, la forte demande pour ses matelas haut de gamme compensant en partie le diminution des volumes des entrées et milieu de gamme.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.11%, le CAC 40 français arrachant 0.06%, le DAX 30 allemand se repliant de 0.15% et le FTSE 100 britannique de 0.09%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 1.15%, et le Nikkei 225 japonais 0.7%.
Les autorités américaines comptent quand à elles dévoiler cet après-midi le volume des commandes de biens durables, ainsi que leur inventaire des réserves pétrolières.