Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive dans une ambiance feutrée ce lundi, bien que l'atmosphère demeure assombrie par les incertitudes politiques touchant la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.18%.
La confiance se trouvait affectée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré jeudi que cette dernière surveillerait de près le taux de change de sa monnaie afin de savoir si son renforcement influençait les prévisions d'inflation.
Elle souffrait également des incertitudes causées non seulement par les prochaines élections italiennes, mais aussi par les tensions politiques en Espagne, où le gouvernement se trouve entaché par un scandale tournant autour d'affaire de corruption.
Des chiffres officiels avait d'autre part signalé vendredi que le déficit de la balance commerciale américaine avait fondu depuis 48.6 milliards d'USD jusqu'à 38.5 milliards pour décembre.
Les experts n'avaient pourtant pourtant pas envisagé le voir passer sous les 46 milliards d'USD pour la période considérée.
L'informatique était en effervescence, alors qu'il se dirait qu'Eric Schmidt, président exécutif du conseil d'administration de Google, mettrait en vente environ 42% de ses parts de la compagnie, leur faisant boire un bouillon de 0.87% en pré-ouverture.
Le matériel était aussi sur le devant de la scène, trois des plus gros actionnaires de Dell ayant émis vendredi auprès de Southeastern Asset Management des objections au rachat de l'assembleur d'ordinateurs par une coalition menée par son directeur général et fondateur Michael Dell, entraînant une montée de 0.59% avant l'ouverture des hostilités.
Apple croquait par contre 0.63% dans le même temps, après que le New York Times ait déclaré que la firme à la pomme serait en train d'expérimenter un appareil proche d'une montre bracelet, qui pourrait être compatible avec l'écosystème de l'iPhone, et dont l'écran serait fait de verre courbé.
Sur le front de l'aéronautique, Boeing a effectué samedi un vol qualifié de "sans encombre" afin de tester la fiabilité de son long courrier 787 Dreamliner, le premier depuis qu'il a été maintenu au sol il y a plus de trois semaines en raison de problèmes liés à ses batteries.
Le constructeur a en profité pour grignoter 0.3% avant l'ouverture.
Il était aussi à noter que US Airways Group et AMR Corp seraient sur le point de conclure dans la semaine un accord de fusion à hauteur de 11 milliards d'USD qui entraînerait du coup la création de la plus grosse compagnie aérienne mondiale.
Les bourses européennes évoluaient quand à elles en ordre dispersé, l'EURO STOXX 50 empochant 0.12%, et le CAC 40 français 0.48%, tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0.08% et que le FTSE 100 britannique arrachait 0.2%.
Le Hang Seng de Hong Kong et le Nikkei 225 japonais étaient quand à eux restés inactifs ce matin, en raison des festivités du nouvel an lunaire.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.18%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.18%.
La confiance se trouvait affectée après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait déclaré jeudi que cette dernière surveillerait de près le taux de change de sa monnaie afin de savoir si son renforcement influençait les prévisions d'inflation.
Elle souffrait également des incertitudes causées non seulement par les prochaines élections italiennes, mais aussi par les tensions politiques en Espagne, où le gouvernement se trouve entaché par un scandale tournant autour d'affaire de corruption.
Des chiffres officiels avait d'autre part signalé vendredi que le déficit de la balance commerciale américaine avait fondu depuis 48.6 milliards d'USD jusqu'à 38.5 milliards pour décembre.
Les experts n'avaient pourtant pourtant pas envisagé le voir passer sous les 46 milliards d'USD pour la période considérée.
L'informatique était en effervescence, alors qu'il se dirait qu'Eric Schmidt, président exécutif du conseil d'administration de Google, mettrait en vente environ 42% de ses parts de la compagnie, leur faisant boire un bouillon de 0.87% en pré-ouverture.
Le matériel était aussi sur le devant de la scène, trois des plus gros actionnaires de Dell ayant émis vendredi auprès de Southeastern Asset Management des objections au rachat de l'assembleur d'ordinateurs par une coalition menée par son directeur général et fondateur Michael Dell, entraînant une montée de 0.59% avant l'ouverture des hostilités.
Apple croquait par contre 0.63% dans le même temps, après que le New York Times ait déclaré que la firme à la pomme serait en train d'expérimenter un appareil proche d'une montre bracelet, qui pourrait être compatible avec l'écosystème de l'iPhone, et dont l'écran serait fait de verre courbé.
Sur le front de l'aéronautique, Boeing a effectué samedi un vol qualifié de "sans encombre" afin de tester la fiabilité de son long courrier 787 Dreamliner, le premier depuis qu'il a été maintenu au sol il y a plus de trois semaines en raison de problèmes liés à ses batteries.
Le constructeur a en profité pour grignoter 0.3% avant l'ouverture.
Il était aussi à noter que US Airways Group et AMR Corp seraient sur le point de conclure dans la semaine un accord de fusion à hauteur de 11 milliards d'USD qui entraînerait du coup la création de la plus grosse compagnie aérienne mondiale.
Les bourses européennes évoluaient quand à elles en ordre dispersé, l'EURO STOXX 50 empochant 0.12%, et le CAC 40 français 0.48%, tandis que le DAX 30 allemand laissait échapper 0.08% et que le FTSE 100 britannique arrachait 0.2%.
Le Hang Seng de Hong Kong et le Nikkei 225 japonais étaient quand à eux restés inactifs ce matin, en raison des festivités du nouvel an lunaire.