Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture légèrement positive ce mardi après-midi, à l'approche du coup d'envoi de la saison des résultats, sur fond de persistances des angoisses liées à la fiscalité.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.05% aussi.
Les observateurs restaient sur les nerfs après que les chiffres peu encourageants de l'emploi non-agricole américain aient aient apaisé les rumeursselon lesquelles la Réserve Fédérale pourrait ralentir, voire mettre un terme à ses acquisitions d'actifs nettement plus tôt que prévu, le compte-rendu de sa prise de cap effectuée le mois dernier ayant montré que certains de ses dirigeants envisageaient d'interrompre injections de liquidités avant la fin de l'année.
La nervosité découlant des tractations à Washington visant à établir les futures coupes budgétaires et à relever le plafond d'endettement maximal des Etats-Unis à l'horizon de février restait aussi palpable.
L'aluminier Alcoa était dans la ligne de mire, s'apprêtant à lancer officieusement les proclamations de performances du quatrième trimestre après la cloche de clôture.
La technologie était une fois de plus à l'honneur, après que Samsung Electronics ait fait savoir que ses bénéfices au cours de ce laps de temps devaient être proches des 8.3 milliards d'USD, après avoir écoulé près de 500 appareils à la minute, tandis que la demande pour ses écrans plats tactiles pour intelliphones avait augmenté, notamment de la part de son rival Apple.
La grande distribution n'était pas à négliger, Sears Holdings étant sur les charbons ardents après avoir avoué dans la soirée d'hier que son directeur général Louis d'Ambrosio devrait libérer son poste pour raisons de santé familiales, ainsi qu'un recul de 1.8% de ses ventes sur la même période dans ses magasins ouverts depuis au moins un an.
Yum Brands, propriétaire des chaînes de restauration rapides Taco Bell et KFC a pour sa part dégringolé de 5.14% en pré-ouverture, après avoir déploré une diminution de 6% du chiffre d'affaires au sein de ses enseignes établies en Chine, au lieu des 4% déjà redoutés.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.45%, le CAC 40 français de 0.67%, le DAX 30 allemand de 0.29% et le FTSE 100 britannique de 0.26%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dérapé de 0.94%, et le Nikkei 225 japonais de 0.86%.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.05% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.05% aussi.
Les observateurs restaient sur les nerfs après que les chiffres peu encourageants de l'emploi non-agricole américain aient aient apaisé les rumeursselon lesquelles la Réserve Fédérale pourrait ralentir, voire mettre un terme à ses acquisitions d'actifs nettement plus tôt que prévu, le compte-rendu de sa prise de cap effectuée le mois dernier ayant montré que certains de ses dirigeants envisageaient d'interrompre injections de liquidités avant la fin de l'année.
La nervosité découlant des tractations à Washington visant à établir les futures coupes budgétaires et à relever le plafond d'endettement maximal des Etats-Unis à l'horizon de février restait aussi palpable.
L'aluminier Alcoa était dans la ligne de mire, s'apprêtant à lancer officieusement les proclamations de performances du quatrième trimestre après la cloche de clôture.
La technologie était une fois de plus à l'honneur, après que Samsung Electronics ait fait savoir que ses bénéfices au cours de ce laps de temps devaient être proches des 8.3 milliards d'USD, après avoir écoulé près de 500 appareils à la minute, tandis que la demande pour ses écrans plats tactiles pour intelliphones avait augmenté, notamment de la part de son rival Apple.
La grande distribution n'était pas à négliger, Sears Holdings étant sur les charbons ardents après avoir avoué dans la soirée d'hier que son directeur général Louis d'Ambrosio devrait libérer son poste pour raisons de santé familiales, ainsi qu'un recul de 1.8% de ses ventes sur la même période dans ses magasins ouverts depuis au moins un an.
Yum Brands, propriétaire des chaînes de restauration rapides Taco Bell et KFC a pour sa part dégringolé de 5.14% en pré-ouverture, après avoir déploré une diminution de 6% du chiffre d'affaires au sein de ses enseignes établies en Chine, au lieu des 4% déjà redoutés.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.45%, le CAC 40 français de 0.67%, le DAX 30 allemand de 0.29% et le FTSE 100 britannique de 0.26%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dérapé de 0.94%, et le Nikkei 225 japonais de 0.86%.