Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce vendredi après-midi, dans l'expectative de chiffres provenant des Etats-Unis, après que ceux divulgués hier aient laissé espérer une poursuite de la reprise.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,20% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,22%.
Le billet vert gardait des couleurs après que le département d'état au commerce américain ait constaté que le produit intérieur brut avait bondi de 2,5% annualisés pour le second trimestre, dépassant ainsi les 2,2% anticipés et les 1,7% estimés au préalable.
Son équivalent dévolu à l'emploi a pour sa part dénombré pour la semaine achevée le 24 août dénombré 6.000 inscriptions de demandeurs d'emploi de moins, pour un total hebdomadaire de 331.000 après correction saisonnière, le plus faible depuis octobre 2007, alors qu'une soustraction de seulement 5.000 était espérée.
La prudence restait aussi de mise en raison de la crainte d'une offensive d'initiative américaine contre le gouvernement de la Syrie, après que celui-ci ait été accusé d'avoir employé des armes chimiques.
La Maison Blanche a cependant fait savoir hier que le président Barack Obama déciderait de la marche à suivre en fonction des intérêts de son pays, mais qu'il continuerait à en discuter avec le Royaume-Uni, bien que le parlement de celui-ci se soit prononcé contre une implication militaire.
L'opérateur téléphonique Verizon Communications demeurait sous les feux de l'actualité, après qu'il ait été confirmé hier qu'il parlementait avec son collègue britannique Vodafone, en vue de l'acquisition des 45% de parts de ce dernier dans la coentreprise Verizon Wireless, ce qui constituerait la plus grosse transaction en plus d'une décennie.
Le premier trébuchait cependant de 0,15% après la fin des hostilités.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi sur le devant de la scène, suite aux déconvenues dans le secteur énergétique européen découlant du trou d'air consécutif à la récente flambée des cours du pétrole brut, Chevron et Exxon Mobil trébuchant tous deux de 0,03% après la clôture.
L'actualité était aussi le fait de Krispy Kreme Doughnuts, sombrant de 10,98% en pré-ouverture, subissant des bénéfices inférieurs aux attentes, ses marges ayant été érodées par l'augmentation de ses frais.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,68%, le CAC 40 français de 0,64%, le DAX 30 allemand de 0,62% et le FTSE 100 britannique de 0,49%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,12%, et le Nikkei 225 japonais 0,53%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec un rapport sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, ainsi que le baromètre révisé du moral des consommateurs établi par l'université du Michigan, sans oublier le niveau des revenus et des dépenses des individus.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,20% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,22%.
Le billet vert gardait des couleurs après que le département d'état au commerce américain ait constaté que le produit intérieur brut avait bondi de 2,5% annualisés pour le second trimestre, dépassant ainsi les 2,2% anticipés et les 1,7% estimés au préalable.
Son équivalent dévolu à l'emploi a pour sa part dénombré pour la semaine achevée le 24 août dénombré 6.000 inscriptions de demandeurs d'emploi de moins, pour un total hebdomadaire de 331.000 après correction saisonnière, le plus faible depuis octobre 2007, alors qu'une soustraction de seulement 5.000 était espérée.
La prudence restait aussi de mise en raison de la crainte d'une offensive d'initiative américaine contre le gouvernement de la Syrie, après que celui-ci ait été accusé d'avoir employé des armes chimiques.
La Maison Blanche a cependant fait savoir hier que le président Barack Obama déciderait de la marche à suivre en fonction des intérêts de son pays, mais qu'il continuerait à en discuter avec le Royaume-Uni, bien que le parlement de celui-ci se soit prononcé contre une implication militaire.
L'opérateur téléphonique Verizon Communications demeurait sous les feux de l'actualité, après qu'il ait été confirmé hier qu'il parlementait avec son collègue britannique Vodafone, en vue de l'acquisition des 45% de parts de ce dernier dans la coentreprise Verizon Wireless, ce qui constituerait la plus grosse transaction en plus d'une décennie.
Le premier trébuchait cependant de 0,15% après la fin des hostilités.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient aussi sur le devant de la scène, suite aux déconvenues dans le secteur énergétique européen découlant du trou d'air consécutif à la récente flambée des cours du pétrole brut, Chevron et Exxon Mobil trébuchant tous deux de 0,03% après la clôture.
L'actualité était aussi le fait de Krispy Kreme Doughnuts, sombrant de 10,98% en pré-ouverture, subissant des bénéfices inférieurs aux attentes, ses marges ayant été érodées par l'augmentation de ses frais.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,68%, le CAC 40 français de 0,64%, le DAX 30 allemand de 0,62% et le FTSE 100 britannique de 0,49%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,12%, et le Nikkei 225 japonais 0,53%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec un rapport sur l'activité manufacturière de la région de Chicago, ainsi que le baromètre révisé du moral des consommateurs établi par l'université du Michigan, sans oublier le niveau des revenus et des dépenses des individus.