Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mercredi, dans l'attente des chiffres cruciaux de l'emploi américain, du communiqué sur la politique de la Réserve Fédérale en fin de journée, ainsi que de la réunion de la Banque Centrale Européenne de demain.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.31%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.34%.
La nervosité était palpable à l'approche de la déclaration de la Fed, sur fond de rumeurs selon lesquelles elle pourrait y laisser entrevoir les présages d'une série d'injections de liquidités supplémentaires imminentes.
L'inquiétude que la Banque Centrale Européenne déçoive ceux qui en attendent pour son conseil de jeudi des actions décisives dans la lutte contre la crise de la dette régionale grandissait elle aussi.
Cet espoir de mesures destinées à rabaisser les coûts des emprunts espagnols et italiens se faisait de plus en plus grand, après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à défendre la monnaie unique par tous les moyens nécessaires.
La technologie était sur le devant de la scène, après que le sud-coréen Samsung Electronics ait déclaré au jurés de son procès que ses produits ne copiaient pas l'iPhone, mais qu'ils constituaient au contraire un exemple de concurrence légitime encouragée par les Etats-Unis, n'empêchant pas la firme à la pomme de grignoter 0.28% en pré-ouverture.
La controntation judiciaire pour violation de brevets entre les deux compagnie a en effet été lancée hier, et pourrait entraîner des milliards d'USD en dommages et intérêts.
Le fournisseur finlandais de téléphones Nokia, en grande difficulté, a rebondi de 13.69% avant l'ouverture, grâce aux bruits selon lesquels l'assembleur d'ordinateurs chinois Lenovo serait intéressé.
Digital River, fournisseur de services pour le commerce électronique, a par contre dérapé de 13.66% après la fermeture, ses rentrées trimestrielles se situant au-dessous des attentes des analystes, invoquant la faiblesse des ventes informatiques, revoyant ses prédictions annuelles à la baisse.
Zynga, le géant du jeu social, a aussi laissé échapper 0.34% après la cloche, alors qu'un cabinet d'avocat californien l'attaquait en justice, l'accusant de ne pas avoir divulgué une forte baisse du nombre de ses utilisateurs et de ses revenus.
La compagnie avait déjà avoué hier un bilant trimestriel nettement au-dessosu des attentes, dégradant du même coup ses espérances de profits pour 2012.
Toujours parmi les compagnies faisant l'actualité, l'assureur pour véhicules et logements Allstate a révélé être repassé dans le noir pour le second trimestre, pulvérisant ses objectifs révisés à la baisse, et engrangeant 3.94% après les dernières transactions.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Time Warner, MasterCard et Comcast, dont les performances devraient être proclamées en cours de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 rognant 0.08%, et le CAC 40 français 0.42%, le DAX 30 allemand trébuchant de 0.09% et le FTSE 100 britannique raflant 0.75%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait pris 0.12%, et le Nikkei 225 japonais 0.61%.
Il était toutefois à noter que l'activité manufacturière chinoise avait plongé en juillet à son pire niveau en huit mois, ranimant la peur d'un ralentissement de la seconde économie mondiale.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux dévoiler dans l'après-midi les variations de leur emploi non agricole, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements publiera une étude sur l'activité dans le domaine manufacturier.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.31%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.24% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.34%.
La nervosité était palpable à l'approche de la déclaration de la Fed, sur fond de rumeurs selon lesquelles elle pourrait y laisser entrevoir les présages d'une série d'injections de liquidités supplémentaires imminentes.
L'inquiétude que la Banque Centrale Européenne déçoive ceux qui en attendent pour son conseil de jeudi des actions décisives dans la lutte contre la crise de la dette régionale grandissait elle aussi.
Cet espoir de mesures destinées à rabaisser les coûts des emprunts espagnols et italiens se faisait de plus en plus grand, après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à défendre la monnaie unique par tous les moyens nécessaires.
La technologie était sur le devant de la scène, après que le sud-coréen Samsung Electronics ait déclaré au jurés de son procès que ses produits ne copiaient pas l'iPhone, mais qu'ils constituaient au contraire un exemple de concurrence légitime encouragée par les Etats-Unis, n'empêchant pas la firme à la pomme de grignoter 0.28% en pré-ouverture.
La controntation judiciaire pour violation de brevets entre les deux compagnie a en effet été lancée hier, et pourrait entraîner des milliards d'USD en dommages et intérêts.
Le fournisseur finlandais de téléphones Nokia, en grande difficulté, a rebondi de 13.69% avant l'ouverture, grâce aux bruits selon lesquels l'assembleur d'ordinateurs chinois Lenovo serait intéressé.
Digital River, fournisseur de services pour le commerce électronique, a par contre dérapé de 13.66% après la fermeture, ses rentrées trimestrielles se situant au-dessous des attentes des analystes, invoquant la faiblesse des ventes informatiques, revoyant ses prédictions annuelles à la baisse.
Zynga, le géant du jeu social, a aussi laissé échapper 0.34% après la cloche, alors qu'un cabinet d'avocat californien l'attaquait en justice, l'accusant de ne pas avoir divulgué une forte baisse du nombre de ses utilisateurs et de ses revenus.
La compagnie avait déjà avoué hier un bilant trimestriel nettement au-dessosu des attentes, dégradant du même coup ses espérances de profits pour 2012.
Toujours parmi les compagnies faisant l'actualité, l'assureur pour véhicules et logements Allstate a révélé être repassé dans le noir pour le second trimestre, pulvérisant ses objectifs révisés à la baisse, et engrangeant 3.94% après les dernières transactions.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Time Warner, MasterCard et Comcast, dont les performances devraient être proclamées en cours de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 rognant 0.08%, et le CAC 40 français 0.42%, le DAX 30 allemand trébuchant de 0.09% et le FTSE 100 britannique raflant 0.75%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait pris 0.12%, et le Nikkei 225 japonais 0.61%.
Il était toutefois à noter que l'activité manufacturière chinoise avait plongé en juillet à son pire niveau en huit mois, ranimant la peur d'un ralentissement de la seconde économie mondiale.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux dévoiler dans l'après-midi les variations de leur emploi non agricole, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements publiera une étude sur l'activité dans le domaine manufacturier.