Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mardi, la confiance étant encouragée par la nouvelle du plan de sauvetage espagnol, bien que le mouvement semble devoir être limité par la persistance des interrogations concernant la gestion du problème du surendettement du pays.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.56%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.5% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.54%.
Il a en effet bénéficié d'un affermissement de l'atmosphère, mais la prudence était toujours de mise, jugulant toute flambée tant que la source des aides n'était pas définie, et que le flou demeurait quand à l'aggravation possible par les traites de cette bouée de sauvetage du problème des coûts des emprunts nationaux.
Le taux des obligations décennales espagnoles s'est élevé ce matin jusqu'à 6.65%, se maintenant dangereusement proche du seuil critique des 7% estimés intenables sur le long terme.
La nervosité était exacerbée par l'imminence des élections législatives de dimanche en Grèce, qui pourraient décider de son futur au sein ou non du bloc euro.
La finance était attendue au tournant, Goldman Sachs trébucchant de 0.06% après la fermeture suite à l'annonce de la la réembauche du vétéran Mark Schwarz, en tant que président de sa branche Asie et Pacifique, basée à Pékin, devenant ainsi la première banque d'investissement internationale à placer son président régional unique au sein de la capitale chinoise.
JP Morgan a pur sa part gagné 0.46% en pré-ouverture suite aux bruits selon lesquels un ancien pilier de Goldman Sachs y aurait été engagé afin d'encourager l'arrivée de clients en Asie, sur fond de durcissement de la règlementation sur les transactions propriétaires.
Le Wall Street Journal avait auparavant rapporté qu'un certain nombre de cadres et de directeurs de l'établissement financier étaient au courant des pratiques douteuses adoptées par une équipe de traders basée à Londres deux ans avant que des positions imprudentes lui aient coûté 2 milliards d'USD.
Berkshire Hathaway Inc., le fonds d'investissement du milliardaire Warren Buffet, était aussi sous les feux de la rampe, ayant offert, d'après des documents judiciaires déposés hier, d'acheter la succursale de Residential Capital LLC gérant les prêts.
NetJets, la compagnie de mutualisation d'appareils qu'il a déjà acquise, a pour sa part annoncé l'achat de 425 nouveaux avions à réaction d'affaires à Bombardier Inc. et Cessna, afin de renforcer sa flotte nord-américaine pour 9.6 milliards d'USD.
Parmi les autres entreprises faisant l'actualité, BlackRock Inc. a fait savoir qu'elle avait reçu plusieurs propositions d'achat ou d'aide à la restructuration de son groupe australien détenant 464.75 millions d'USD de biens fonciers mais se trouvant à cours de liquidités pour rembourser ses prêts.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 bondissant de 1.99%, le CAC 40 français de 0.65%, le DAX 30 allemand de 0.61% et le FTSE 100 britannique de 0.41%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.65%, et le Nikkei 225 japonais 1%.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part fournir dans l'après-midi leurs informations concernant les prix à l'importation ainsi qu'un rapport gouvernemental sur l'état du budget fédéral.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.56%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.5% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.54%.
Il a en effet bénéficié d'un affermissement de l'atmosphère, mais la prudence était toujours de mise, jugulant toute flambée tant que la source des aides n'était pas définie, et que le flou demeurait quand à l'aggravation possible par les traites de cette bouée de sauvetage du problème des coûts des emprunts nationaux.
Le taux des obligations décennales espagnoles s'est élevé ce matin jusqu'à 6.65%, se maintenant dangereusement proche du seuil critique des 7% estimés intenables sur le long terme.
La nervosité était exacerbée par l'imminence des élections législatives de dimanche en Grèce, qui pourraient décider de son futur au sein ou non du bloc euro.
La finance était attendue au tournant, Goldman Sachs trébucchant de 0.06% après la fermeture suite à l'annonce de la la réembauche du vétéran Mark Schwarz, en tant que président de sa branche Asie et Pacifique, basée à Pékin, devenant ainsi la première banque d'investissement internationale à placer son président régional unique au sein de la capitale chinoise.
JP Morgan a pur sa part gagné 0.46% en pré-ouverture suite aux bruits selon lesquels un ancien pilier de Goldman Sachs y aurait été engagé afin d'encourager l'arrivée de clients en Asie, sur fond de durcissement de la règlementation sur les transactions propriétaires.
Le Wall Street Journal avait auparavant rapporté qu'un certain nombre de cadres et de directeurs de l'établissement financier étaient au courant des pratiques douteuses adoptées par une équipe de traders basée à Londres deux ans avant que des positions imprudentes lui aient coûté 2 milliards d'USD.
Berkshire Hathaway Inc., le fonds d'investissement du milliardaire Warren Buffet, était aussi sous les feux de la rampe, ayant offert, d'après des documents judiciaires déposés hier, d'acheter la succursale de Residential Capital LLC gérant les prêts.
NetJets, la compagnie de mutualisation d'appareils qu'il a déjà acquise, a pour sa part annoncé l'achat de 425 nouveaux avions à réaction d'affaires à Bombardier Inc. et Cessna, afin de renforcer sa flotte nord-américaine pour 9.6 milliards d'USD.
Parmi les autres entreprises faisant l'actualité, BlackRock Inc. a fait savoir qu'elle avait reçu plusieurs propositions d'achat ou d'aide à la restructuration de son groupe australien détenant 464.75 millions d'USD de biens fonciers mais se trouvant à cours de liquidités pour rembourser ses prêts.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 bondissant de 1.99%, le CAC 40 français de 0.65%, le DAX 30 allemand de 0.61% et le FTSE 100 britannique de 0.41%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.65%, et le Nikkei 225 japonais 1%.
Les Etats-Unis comptaient pour leur part fournir dans l'après-midi leurs informations concernant les prix à l'importation ainsi qu'un rapport gouvernemental sur l'état du budget fédéral.