Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture pessimiste ce lundi, l'angoisse d'un ralentissement de l'économie mondiale ayant ressurgi dans le sillage de résultats chinois décevants, malgré l'espoir d'accomodements supplémentaires de la part de la Réserve Fédérale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.18% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
L'optimisme a aussi pris du plomb dans l'aile après que des chiffres officiels aient montré que les importations de la Chine avaient dérapé dans crier gare de 2.6% d'une année sur l'autre, tandis que les exportations réalisaient une progression de seulement 2.7%, et donc inférieure aux attentes.
Les yeux étaient aussi tournés pour jeudi vers les résultats de la réunion de la Réserve Fédérale, les médiocres performances du marché de l'emploi des Etats-Unis dévoilées vendredi alimentant les rumeurs selon lesquelles elle pourrait donner le coup d'envoi à une troisième série d'injections de liquidités afin de donner un coup de fouet à l'expansion économique.
La nervosité restait de mise, à l'affût de l'arrêt de la cour constitutionnelle de l'Allemagne au sujet du Mécanisme Européen de Stabilité de mercredi.
Les matières premières étaient sous les feux de la rampe, alors qu'il se disait que BP, poids lourd des hydrocarbures, serait en discussions avec Plains Exploration & Production en vue de la revente de certains de ses champs du Golfe du Mexique, en raison de son besoin de liquidités destinées à payer les dommages et intérêts dûs à la marée noire déclenchée par ses installations subie en 2010 par la région, le faisant reculer de 0.33% en pré-ouverture.
Le groupe minier suisse Glencore n'était pas en reste, proposant 36 milliards d'USD après révision à la hausse pour acquérir le cuivrier Xstrata, avertissant que son offre ne pourrait être de nouveau réévaluée, après avoir déjà fait ainsi des concessions à ses actionnaires.
La finance était aussi sur toutes les lèvres, Goldman Sachs et le gestionnaire de fonds privés CVC Capital Partners semblant avoir proposé d'échanger des dettes contre des parts du réseau télévisé australien Nine, appartenant au second.
Sa part serait du coup réduite à néant, confiant du même coup le contrôle de l'entreprise à ses créanciers.
JP Morgan serait de son côté en train d'envisager de réduire le bonus de son directeur général James Dimon et d'autres hauts responsables, tandis que Citigroup serait en train de refondre la hiérarchie des salaires de ses cadres.
Apple était aussi sur toutes les lèvres, à deux jours du lancement présumé de son nouvel iPhone.
Le diffuseur de musique en ligne Pandora avait pour sa part bondi de 16% lors de la dernière journée de cotation après que la firme à la pomme ait déclaré son intention d'y mettre un pied.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.32%, et le CAC 40 français de 0.12%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0.01% et que le FTSE 100 britannique limitait les dégâts à 0.03%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait pris 0.13%, et le Nikkei 225 japonais fléchi de 0.03%.
Les transactions semblaient devoir rester sans éclat aujourd'hui, en l'absence de résultats économiques majeurs.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.11%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.18% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
L'optimisme a aussi pris du plomb dans l'aile après que des chiffres officiels aient montré que les importations de la Chine avaient dérapé dans crier gare de 2.6% d'une année sur l'autre, tandis que les exportations réalisaient une progression de seulement 2.7%, et donc inférieure aux attentes.
Les yeux étaient aussi tournés pour jeudi vers les résultats de la réunion de la Réserve Fédérale, les médiocres performances du marché de l'emploi des Etats-Unis dévoilées vendredi alimentant les rumeurs selon lesquelles elle pourrait donner le coup d'envoi à une troisième série d'injections de liquidités afin de donner un coup de fouet à l'expansion économique.
La nervosité restait de mise, à l'affût de l'arrêt de la cour constitutionnelle de l'Allemagne au sujet du Mécanisme Européen de Stabilité de mercredi.
Les matières premières étaient sous les feux de la rampe, alors qu'il se disait que BP, poids lourd des hydrocarbures, serait en discussions avec Plains Exploration & Production en vue de la revente de certains de ses champs du Golfe du Mexique, en raison de son besoin de liquidités destinées à payer les dommages et intérêts dûs à la marée noire déclenchée par ses installations subie en 2010 par la région, le faisant reculer de 0.33% en pré-ouverture.
Le groupe minier suisse Glencore n'était pas en reste, proposant 36 milliards d'USD après révision à la hausse pour acquérir le cuivrier Xstrata, avertissant que son offre ne pourrait être de nouveau réévaluée, après avoir déjà fait ainsi des concessions à ses actionnaires.
La finance était aussi sur toutes les lèvres, Goldman Sachs et le gestionnaire de fonds privés CVC Capital Partners semblant avoir proposé d'échanger des dettes contre des parts du réseau télévisé australien Nine, appartenant au second.
Sa part serait du coup réduite à néant, confiant du même coup le contrôle de l'entreprise à ses créanciers.
JP Morgan serait de son côté en train d'envisager de réduire le bonus de son directeur général James Dimon et d'autres hauts responsables, tandis que Citigroup serait en train de refondre la hiérarchie des salaires de ses cadres.
Apple était aussi sur toutes les lèvres, à deux jours du lancement présumé de son nouvel iPhone.
Le diffuseur de musique en ligne Pandora avait pour sa part bondi de 16% lors de la dernière journée de cotation après que la firme à la pomme ait déclaré son intention d'y mettre un pied.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.32%, et le CAC 40 français de 0.12%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0.01% et que le FTSE 100 britannique limitait les dégâts à 0.03%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait pris 0.13%, et le Nikkei 225 japonais fléchi de 0.03%.
Les transactions semblaient devoir rester sans éclat aujourd'hui, en l'absence de résultats économiques majeurs.