Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture pessimiste ce mardi, tous les yeux étant tournés vers la situation européenne, les élections en Grèce et en France ayant ravivé le spectre de la gestion de la crise de la dette régionale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.53%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.57% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.66%.
Les observateurs demeuraient focalisés sur la situation de la Grèce, les dirigeants politiques continuant à tenir des négociations entre les formations, le parti de la Nouvelle Démocratie ne réussissant pas hier à former un gouvernement uni après le scrutin de dimanche.
Le flou en découlant laissait redouter que le pays n'ait pas d'autorités en place à temps pour l'attribution le mois prochain de sa prochaine tranche d'aides internationales, de nouvelles élections semblant être de plus en plus probables.
La nervosité restait de mise avec la France en ligne de mire, où le socialiste François Hollande, président nouvellement élu, a déclaré vouloir renégocier le pacte fiscal de la zone euro afin d'y stimuler la croissance.
La finance était sous les feux de la rampe, après que First BanCorp ait enregistré des pertes inférieures aux craintes pur le trimestre, avec moins de liquidités destinées à couvrir les pertes sur les prêts et les locations à terme, la banque de getion de capitaux privés ayant annoncé qu'elle ajouterait des gestionnaires de cartes de crédit à son portefeuille afin d'effectuer son retour sur le secteur, grignotant ainsi 0.06% après la clôture.
HSBC a pour sa part dépassé les espérances avec des bénéfices sous-jacents de près de 7 milliards d'USD sur les trois premiers mois de l'année grâce à un rebond des revenus de sa branche d'investissement et une diminution de ses actifs douteux américains.
Elle avait auparavant déclaré avoir réalisé des avancées solides dans tous les domaines stratégiques, et notamment la baisse des coûts de fonctionnement, ayant procédé à 14 000 licenciements depuis l'année passée, dans le cadre du plan d'augmentation de la rentabilité de Stuart Gulliver, son directeur général.
Yahoo devrait également faire parler de lui, son conseil d'administration s'étant réuni hier afin d'évoquer le scandale menaçaant Scott Thompson, son premier responsable, qui a dû présenter ses excuses aux employés après avoir été accusé par l'investisseur activiste Daniel Loeb d'avoir menti dans son curriculum vitae.
Pour rester dans la vie des entreprises, General Electrics a pris 0.1% après la fin des échanges de lundi après avoir annoncé l'achat de 15% du China XD Electric Group, coté à Shanghaï, pour environ 535 millions d'USD, s'offrant ainsi une tête de pont pour envahir le juteux marché des infrastructures chinoises, et acquérir les technologies développées par XD.
Wynn Resorts a pour sa part fait l'aveu de performances trimestrielles décevantes, la forte croissance réalisée à Macao n'ayant pu compenser les difficultés éprouvées à Las Vegas, encourageant Steve Wynn, son directeur général, à accentuer le développement dans la bouillonante enclave chinoise, glissant ainsi de 1.53% après les derniers échanges.
Mark Zuckerberg, chef de Facebook, était lui aussi sur le devant de la scène, devant répondre aux question concernant le fléchissement des rentrées du premier réseau social, et de son achat d'Instagram pour un milliard d'USD, donnant le coup d'envoi d'une tournée destinée à promouvoir son introduction en bourse pour 10 milliards d'USD.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1.16%, le DAX 30 allemand de 1.05% et le FTSE 100 britannique de 0.32%, le CAC 40 français demeurant clos en raison d'un jour férié.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong s'était replié de 0.1%, et le Nikkei 225 japonais de 0.7%.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.53%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.57% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.66%.
Les observateurs demeuraient focalisés sur la situation de la Grèce, les dirigeants politiques continuant à tenir des négociations entre les formations, le parti de la Nouvelle Démocratie ne réussissant pas hier à former un gouvernement uni après le scrutin de dimanche.
Le flou en découlant laissait redouter que le pays n'ait pas d'autorités en place à temps pour l'attribution le mois prochain de sa prochaine tranche d'aides internationales, de nouvelles élections semblant être de plus en plus probables.
La nervosité restait de mise avec la France en ligne de mire, où le socialiste François Hollande, président nouvellement élu, a déclaré vouloir renégocier le pacte fiscal de la zone euro afin d'y stimuler la croissance.
La finance était sous les feux de la rampe, après que First BanCorp ait enregistré des pertes inférieures aux craintes pur le trimestre, avec moins de liquidités destinées à couvrir les pertes sur les prêts et les locations à terme, la banque de getion de capitaux privés ayant annoncé qu'elle ajouterait des gestionnaires de cartes de crédit à son portefeuille afin d'effectuer son retour sur le secteur, grignotant ainsi 0.06% après la clôture.
HSBC a pour sa part dépassé les espérances avec des bénéfices sous-jacents de près de 7 milliards d'USD sur les trois premiers mois de l'année grâce à un rebond des revenus de sa branche d'investissement et une diminution de ses actifs douteux américains.
Elle avait auparavant déclaré avoir réalisé des avancées solides dans tous les domaines stratégiques, et notamment la baisse des coûts de fonctionnement, ayant procédé à 14 000 licenciements depuis l'année passée, dans le cadre du plan d'augmentation de la rentabilité de Stuart Gulliver, son directeur général.
Yahoo devrait également faire parler de lui, son conseil d'administration s'étant réuni hier afin d'évoquer le scandale menaçaant Scott Thompson, son premier responsable, qui a dû présenter ses excuses aux employés après avoir été accusé par l'investisseur activiste Daniel Loeb d'avoir menti dans son curriculum vitae.
Pour rester dans la vie des entreprises, General Electrics a pris 0.1% après la fin des échanges de lundi après avoir annoncé l'achat de 15% du China XD Electric Group, coté à Shanghaï, pour environ 535 millions d'USD, s'offrant ainsi une tête de pont pour envahir le juteux marché des infrastructures chinoises, et acquérir les technologies développées par XD.
Wynn Resorts a pour sa part fait l'aveu de performances trimestrielles décevantes, la forte croissance réalisée à Macao n'ayant pu compenser les difficultés éprouvées à Las Vegas, encourageant Steve Wynn, son directeur général, à accentuer le développement dans la bouillonante enclave chinoise, glissant ainsi de 1.53% après les derniers échanges.
Mark Zuckerberg, chef de Facebook, était lui aussi sur le devant de la scène, devant répondre aux question concernant le fléchissement des rentrées du premier réseau social, et de son achat d'Instagram pour un milliard d'USD, donnant le coup d'envoi d'une tournée destinée à promouvoir son introduction en bourse pour 10 milliards d'USD.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1.16%, le DAX 30 allemand de 1.05% et le FTSE 100 britannique de 0.32%, le CAC 40 français demeurant clos en raison d'un jour férié.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong s'était replié de 0.1%, et le Nikkei 225 japonais de 0.7%.