Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sans grands bouleversements ce vendredi après-midi, guettant les résultats des Etats-Unis que seront bientôt dévoilés, les précédents ayant alimenté l'espoir d'une accélération de la reprise de la première éconoie mondiale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.01%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.04%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur une sursaut de 0.06%.
Le département d'état au travail américain avait dénombré hier 10 000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 9 mars, pour un total hebdomadaire de 332 000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 8 000 pour les amener à 350 000 était redoutée.
Cette performance inattendue est venue s'ajouter à celles de l'emploi et des ventes au détail récemment révélées pour alimenter l'espoir d'une relance durable de la première économie mondiale.
La technologie était sous les feux de l'actualité, après que le sud-coréen Samsung Electronics ait défié son rival Apple sur son terrain en dévoilant son nouvel intelliphone Galaxy S4, comportant un écran encore plus grand que celui du modèle précédent, ainsi que des contrôles gestuels innovants.
La firme à la pomme n'en prenait pas moins 0.73% en pré-ouverture.
Il se disait par ailleurs qu'IBM et EMC seraient parmi les parties en négociations visant le rachat privé de l'hébergeur de bases de données en ligne SoftLayer Technologies, qui pourrait se monter à 2 milliards d'USD.
Le constructeur aérien Boeing était ausssi à l'honneur, après avoir exprimé sa confiance dans la remise en service de ses appareils 787 Dreamliner, actuellement maintenus au sol pour causes d'avaries, d'ici quelques semaines.
Il a aussi dévoilé le moyen selon lequel il compte résoudre ses problèmes de batterie afin d'éliminer le risque d'incendie.
Sur le front financier, l'agence de presse Bloomberg avait rapporté que JP Morgan avait payé Achilles Macris, au cours des deux années au cours desquelles le portefeuille dont il devait assurer la gestion creusait un trou de 6.2 milliards d'USD, pas moins de 31.8 millions d'USD, dépassant le salaire d'Ina Drew, qui le supervisait, et se situant parmi les plus importants de la première banque d'affaires américaine.
Un rapport sénatorial a aussi souligné les efforts de cette dernière pour dissimuler les pertes sur ses opérations, ce qui pourrait ranimer le débat sur la possibilité qu'elle soit trop grosse pour être dirigée, augmentant ainsi la pression pour que son directeur général James Dimon abandonne son poste de président.
Ses actions ont du coup plongé de 1.49% avant le lancement des hostilités.
Il était aussi à noter que Morgan Stanley pourrait se trouver attaqué en justice à New York par Hong Leong Finance, basé à Singapour, accusé de lui avoir vendu des produits financiers mis au point de manière à entraîner des pertes.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.46%, le CAC 40 français de 0.6%, le DAX 30 allemand de 0.08% et le FTSE 100 britannique de 0.42%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0.38%, tandis que le Nikkei 225 japonais engrangeait 1.45%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec leurs chiffres de l'inflation à la consommation, tandis que l'université du Michigan fournira sa première évaluation du moral des particuliers, laquelle sera suivie des informations officielles sur le volume de la production industrielle, le taux d'utilisation des capacités et l'activité manufacturière dans la région de New York.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.01%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.04%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur une sursaut de 0.06%.
Le département d'état au travail américain avait dénombré hier 10 000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 9 mars, pour un total hebdomadaire de 332 000 après correction saisonnière, alors qu'une addition de 8 000 pour les amener à 350 000 était redoutée.
Cette performance inattendue est venue s'ajouter à celles de l'emploi et des ventes au détail récemment révélées pour alimenter l'espoir d'une relance durable de la première économie mondiale.
La technologie était sous les feux de l'actualité, après que le sud-coréen Samsung Electronics ait défié son rival Apple sur son terrain en dévoilant son nouvel intelliphone Galaxy S4, comportant un écran encore plus grand que celui du modèle précédent, ainsi que des contrôles gestuels innovants.
La firme à la pomme n'en prenait pas moins 0.73% en pré-ouverture.
Il se disait par ailleurs qu'IBM et EMC seraient parmi les parties en négociations visant le rachat privé de l'hébergeur de bases de données en ligne SoftLayer Technologies, qui pourrait se monter à 2 milliards d'USD.
Le constructeur aérien Boeing était ausssi à l'honneur, après avoir exprimé sa confiance dans la remise en service de ses appareils 787 Dreamliner, actuellement maintenus au sol pour causes d'avaries, d'ici quelques semaines.
Il a aussi dévoilé le moyen selon lequel il compte résoudre ses problèmes de batterie afin d'éliminer le risque d'incendie.
Sur le front financier, l'agence de presse Bloomberg avait rapporté que JP Morgan avait payé Achilles Macris, au cours des deux années au cours desquelles le portefeuille dont il devait assurer la gestion creusait un trou de 6.2 milliards d'USD, pas moins de 31.8 millions d'USD, dépassant le salaire d'Ina Drew, qui le supervisait, et se situant parmi les plus importants de la première banque d'affaires américaine.
Un rapport sénatorial a aussi souligné les efforts de cette dernière pour dissimuler les pertes sur ses opérations, ce qui pourrait ranimer le débat sur la possibilité qu'elle soit trop grosse pour être dirigée, augmentant ainsi la pression pour que son directeur général James Dimon abandonne son poste de président.
Ses actions ont du coup plongé de 1.49% avant le lancement des hostilités.
Il était aussi à noter que Morgan Stanley pourrait se trouver attaqué en justice à New York par Hong Leong Finance, basé à Singapour, accusé de lui avoir vendu des produits financiers mis au point de manière à entraîner des pertes.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.46%, le CAC 40 français de 0.6%, le DAX 30 allemand de 0.08% et le FTSE 100 britannique de 0.42%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong laissait échapper 0.38%, tandis que le Nikkei 225 japonais engrangeait 1.45%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec leurs chiffres de l'inflation à la consommation, tandis que l'université du Michigan fournira sa première évaluation du moral des particuliers, laquelle sera suivie des informations officielles sur le volume de la production industrielle, le taux d'utilisation des capacités et l'activité manufacturière dans la région de New York.