Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce mardi, tirées vers le haut par l'espoir de progrès dans la lutte contre la crise de la dette de la zone euro, les observateurs gardant toutefois les yeux sur les informations que les Etats-Unis publieront dans la semaine afin d'évaluer la vigueur de la relance natioanle.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.23% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.26%.
Le journal britannique The Telegraph avait assuré ce matin pouvoir confirmer les rumeurs de fin de semaine selon lesquelles la BCE pourrait établir un plafond pour les taux des dettes des membres de la périphérie du bloc ayant adopté la monnaie unique lors de son conseil directeur de septembre.
Celle-ci les avait pourtant démenties hier, qualifiant d'"absolument trompeurs" les articles rapportant des décisions n'ayant pas encore été prises.
La possibilité d'une telle manoeuvre a du coup allégé le fardeau des intérêts de l'Espagne, celle-ci ayant émis à la mi-journée des bons du trésor à court terme, pour un total de 4.5 milliards d'euros, atteignant ainsi la fourchette supérieure de ses objectifs.
L'attention se concentrera également demain sur la publication procès-verbal du conseil de la Réserve Fédérale tenu en août, en quête d'éclaircissements sur l'hypothèse d'un coup de pouce supplémentaire de sa part.
Facebook était encore attendu sur le devant de la scène, après que des documents légaux aient souligné que son directeur Peter Thiel avaient vendu la semaine dernière pour environ 400 millions d'USD de ses actions du géant des réseaux sociaux, débouclant ainsi la plupart de sa participations, tandis qu'il trébuchait de 0.15% en pré-ouverture.
La technologie était aussi sous les feux de l'actualité, Apple étant devenu l'entreprise publiquement cotée à la valeur la plus élevée de tous les temps après avoir culminé hier à 665.15 USD, représentant ainsi un total de 623.52 milliards.
Ilsemblerait d'autre part que les directeurs généraux de la firme à la pomme et de Samsung Electronics n'aient pas réussi à trouver un terrain d'entente dans le cadre de leur procès portant sur des violations de brevets alléguées, confiant ainsi la décision finale aux mains des jurés.
Du côté financier, Vikram Pandit, chef de l'exécutif de citigroup, aurait repoussé l'idée d'une division des plus grandes banques, faisant du me coup gagner 0.4% avant l'ouverture des transactions.
La grande distribution n'était pas à négliger, le Wall Street Journal ayant annoncé que Nike comptait modifier les règles régissant les magasins écoulant ses chaussures suite à des mouvements de foule incontrôlés à l'extérieur de ceux-ci.
Le revendeur d'appareils électroniquues Best Buy devait quand à lui publier ses résultats en ifn de journée, ayant reculé hier après avoir fait savoir que son fondateur Richard Schulze avait refusé la proposition de mener l'audit découlant de son idée de rendre la compagnie privée avec une évaluation à plus de 8 milliards d'USD.
Celle-ci a aussi nommé ce jour-là Hubert Joly en tant que nouveau directeur général, rebondissant de 1.27% après la clôture.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Barnes & Noble, Medtronic et Dell, dont les résultats devraient être révélés dans l'après-midi.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.62%, le CAC 40 français de 0.67%, le DAX 30 allemand de 0.47% et le FTSE 100 britannique de 0.34%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.02%, et le Nikkei 225 japonais arraché 0.16%.
L'ambiance semblait devoir demeurer calme, en l'absence de résultats économiques majeurs pour aujourd'hui, et le volume des échanges faible, nombre d'opérateurs se trouvant encore en vacances d'été.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.23% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.26%.
Le journal britannique The Telegraph avait assuré ce matin pouvoir confirmer les rumeurs de fin de semaine selon lesquelles la BCE pourrait établir un plafond pour les taux des dettes des membres de la périphérie du bloc ayant adopté la monnaie unique lors de son conseil directeur de septembre.
Celle-ci les avait pourtant démenties hier, qualifiant d'"absolument trompeurs" les articles rapportant des décisions n'ayant pas encore été prises.
La possibilité d'une telle manoeuvre a du coup allégé le fardeau des intérêts de l'Espagne, celle-ci ayant émis à la mi-journée des bons du trésor à court terme, pour un total de 4.5 milliards d'euros, atteignant ainsi la fourchette supérieure de ses objectifs.
L'attention se concentrera également demain sur la publication procès-verbal du conseil de la Réserve Fédérale tenu en août, en quête d'éclaircissements sur l'hypothèse d'un coup de pouce supplémentaire de sa part.
Facebook était encore attendu sur le devant de la scène, après que des documents légaux aient souligné que son directeur Peter Thiel avaient vendu la semaine dernière pour environ 400 millions d'USD de ses actions du géant des réseaux sociaux, débouclant ainsi la plupart de sa participations, tandis qu'il trébuchait de 0.15% en pré-ouverture.
La technologie était aussi sous les feux de l'actualité, Apple étant devenu l'entreprise publiquement cotée à la valeur la plus élevée de tous les temps après avoir culminé hier à 665.15 USD, représentant ainsi un total de 623.52 milliards.
Ilsemblerait d'autre part que les directeurs généraux de la firme à la pomme et de Samsung Electronics n'aient pas réussi à trouver un terrain d'entente dans le cadre de leur procès portant sur des violations de brevets alléguées, confiant ainsi la décision finale aux mains des jurés.
Du côté financier, Vikram Pandit, chef de l'exécutif de citigroup, aurait repoussé l'idée d'une division des plus grandes banques, faisant du me coup gagner 0.4% avant l'ouverture des transactions.
La grande distribution n'était pas à négliger, le Wall Street Journal ayant annoncé que Nike comptait modifier les règles régissant les magasins écoulant ses chaussures suite à des mouvements de foule incontrôlés à l'extérieur de ceux-ci.
Le revendeur d'appareils électroniquues Best Buy devait quand à lui publier ses résultats en ifn de journée, ayant reculé hier après avoir fait savoir que son fondateur Richard Schulze avait refusé la proposition de mener l'audit découlant de son idée de rendre la compagnie privée avec une évaluation à plus de 8 milliards d'USD.
Celle-ci a aussi nommé ce jour-là Hubert Joly en tant que nouveau directeur général, rebondissant de 1.27% après la clôture.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Barnes & Noble, Medtronic et Dell, dont les résultats devraient être révélés dans l'après-midi.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement en hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0.62%, le CAC 40 français de 0.67%, le DAX 30 allemand de 0.47% et le FTSE 100 britannique de 0.34%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.02%, et le Nikkei 225 japonais arraché 0.16%.
L'ambiance semblait devoir demeurer calme, en l'absence de résultats économiques majeurs pour aujourd'hui, et le volume des échanges faible, nombre d'opérateurs se trouvant encore en vacances d'été.