Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce lundi après-midi, dans l'expectative des résultats des Etats-Unis, sur fond d'incertitude sur les orientations de leur banque centrale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,51%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,42% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,60%.
La nervosité était palpable en raison des attentes de réduction des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale, les yeux sur les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, qui pourraient accentuer le mouvement ascendant du billet vert en cas de belles performances.
La prudence restait aussi de mise devant l'angoisse d'un essoufflement de l'essor des usines de la Chine.
Une étude officielle a en effet signalé à l'aube que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine s'était rétracté depuis 50,8 vers 50,1 pour juin, limitant les dégâts par rapport aux 50,0 redoutés.
Il a ensuite été noté que son équivalent établi par la banque HSBC subissait dans le même temps une érosion partant d'une évaluation préalable à 48,3 jusqu'à 48,2, s'enfonçant davantage sous la barre des 50 dénotant une croissance du secteur, et constituant son pire niveau en neuf mois.
L'industrie pharmaceutique était en ébullition, après qu'Onyx Pharmaceuticals ait cnofirmé hier avoir rejeté une offre d'achat d'Amgen, la plus grosse compagnie de biotechnologie au monde.
Ses actions ont du coup explosé de 47,43% en pré-ouverture.
Les gestionnaires de capitaux Blackstone et Lion Capital étaient aussi au premier plan, alors qu'il se disaient qu'ils avaient uni leurs forces afin de présenter une offre formelle s'élevant à plus de 1 milliard de GBP pour Lucozade et Ribena, deux boissons non alcoolisées mises en vente par le fabricant de médicaments GlaxoSmithKline.
Dans le secteur technologique, le fabricant des intelliphones Blackberry était attendu au tournant, plongeant de 3,82% suite à l'aveu d'une demande décevante pour son appareil à écran tactile estimé indispensable pour attirer une clientèle plus jeune.
Sony a pour sa part déclaré avoir vendu pour 13 millions d'USD d'équipements vidéo et médicaux à des revendeurs de Dubaï, qui l'ont ensuite écoulé vers l'Iran, où des groupes sous embargo américain en auraient pris livraison.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,57%, le CAC 40 français de 0,61%, le DAX 30 allemand de 0,35% et le FTSE 100 britannique de 0,85%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 1,78%, et le Nikkei 225 japonais de 1,28%.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec son état des lieux de l'activité industrielle des Etats-Unis.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,51%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,42% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,60%.
La nervosité était palpable en raison des attentes de réduction des 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels de la Réserve Fédérale, les yeux sur les chiffres de la masse salariale américaine de vendredi, qui pourraient accentuer le mouvement ascendant du billet vert en cas de belles performances.
La prudence restait aussi de mise devant l'angoisse d'un essoufflement de l'essor des usines de la Chine.
Une étude officielle a en effet signalé à l'aube que l'indice des directeurs des achats du secteur secondaire de la Chine s'était rétracté depuis 50,8 vers 50,1 pour juin, limitant les dégâts par rapport aux 50,0 redoutés.
Il a ensuite été noté que son équivalent établi par la banque HSBC subissait dans le même temps une érosion partant d'une évaluation préalable à 48,3 jusqu'à 48,2, s'enfonçant davantage sous la barre des 50 dénotant une croissance du secteur, et constituant son pire niveau en neuf mois.
L'industrie pharmaceutique était en ébullition, après qu'Onyx Pharmaceuticals ait cnofirmé hier avoir rejeté une offre d'achat d'Amgen, la plus grosse compagnie de biotechnologie au monde.
Ses actions ont du coup explosé de 47,43% en pré-ouverture.
Les gestionnaires de capitaux Blackstone et Lion Capital étaient aussi au premier plan, alors qu'il se disaient qu'ils avaient uni leurs forces afin de présenter une offre formelle s'élevant à plus de 1 milliard de GBP pour Lucozade et Ribena, deux boissons non alcoolisées mises en vente par le fabricant de médicaments GlaxoSmithKline.
Dans le secteur technologique, le fabricant des intelliphones Blackberry était attendu au tournant, plongeant de 3,82% suite à l'aveu d'une demande décevante pour son appareil à écran tactile estimé indispensable pour attirer une clientèle plus jeune.
Sony a pour sa part déclaré avoir vendu pour 13 millions d'USD d'équipements vidéo et médicaux à des revendeurs de Dubaï, qui l'ont ensuite écoulé vers l'Iran, où des groupes sous embargo américain en auraient pris livraison.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 grimpant de 0,57%, le CAC 40 français de 0,61%, le DAX 30 allemand de 0,35% et le FTSE 100 britannique de 0,85%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 1,78%, et le Nikkei 225 japonais de 1,28%.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté conclure la journée avec son état des lieux de l'activité industrielle des Etats-Unis.