Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en berne ce mercredi, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait brossé un tableau morose des perspectives économiques, tout en se retenant de donner des indices probants d'accomodements imminents.
Les performances de poids lourds tels que la Bank of America, American Express, IBM, eBay et Qualcomm étaient d'autre part à l'ordre du jour.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.3%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.4% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.35%.
M. Bernanke a en effet déclaré lors de son rapport d'hier sur l'économie et la politique monétaire devant le comité bancaire sénatorial que la croissance avait perdu son élan au premier semestre, ajoutant que les avancées du programme visant la diminution du chômage étaient d'une lenteur "frustrante".
Il s'est toutefois gardé de faire savoir si la banque centrale américaine procèderait à une troisième série d'assouplissements quantitatifs afin de donner un coup de fouet à l'économie, rappelant cependant qu'elle se tenait prête à agir pour soutenir cette dernière si besoin était.
Tous les yeux seront tournés en fin de journée vers son retour sur la colline du Capitole afin de prendre la parole devant le comité parlementaire des services financiers.
Les angoisses concernant la santé économique du pays ont donné le ton des échanges ces dernières semaines, sur fond de crise de la dette de la zone euro et de mollissement de l'expansion chinoise.
Les Etats-Unis divulgueront aussi le nombre des permis de construire qu'ils ont accordés et celui des lancements de chantiers.
Parmi les entreprises faisant l'actualité, la Bank of America engrangeait 0.9% en pré-ouverture après avoir révélé des profits d'élevant à 2.46 milliards d'USD au second trimestre, dépassant ainsi les 2.35 milliards espérés, après avoir subi un hémorrhagie de 8.83 milliards au cours du premier.
Les recettes se sont toutefois limitées à 21.97 milliards d'USD, au lieu des 22.71 milliards envisagés par les analystes.
Les parts de la banque helvète Crédit Suisse cotées aux Etats-Unis ont quand à elles engrangé 4% après avoir enregistré une avancée de 3.6% des bénéfices nets pour le second trimestre, alors qu'elle annonçait compter augmenter son capital de 15.3 milliards de CHF, soit 15.6 milliards d'USD, avant la fin de l'année.
Abbot Laboratories et Honeywell International comptaient aussi dévoiler leurs performances avant le lancement de la session, tandis qu'American Express, IBM, eBay et Qualcomm en attendront la fin.
Intel, le mastodonte des microprocesseurs, avait avoué après la clôture des transactions d'hier que ses prévisions de ventes annuelles avaient été revues vers le bas, arguant de la faiblesse de la demande de la part des consommateurs américains et européens, reculant de 1% du même coup.
Les bourses européennes étaient quand à elles modérément en forme, l'EURO STOXX 50 arrachant 0.1%, le CAC 40 français 0.5%, et le DAX 30 allemand 0.1%, alors que le FTSE 100 britannique demeurait neutre.
Les valeurs eurropéennes sont retombées de leurs pics journaliers après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, ait regretté lors d'un entretien ne pouvoir assurer que le projet européen serait un succès, bien qu'elle ait rappelé la persistance de son optimisme face aux difficultés actuelles.
Berlin avait auparaavant mis aux enchères plus de 4 milliards d'euros en bons du trésor à deux ans, avec les premiers taux négatifs pour ce type de vente, reflétant l'inquiétude des investisseurs au vu de l'état du reste de la région.
Le compte-rendu de la dernière réunion de la Banque d'Angleterre avait révélé à la mi-journée que sept des neuf membres du comité d'orientation de la politique monétaire, parmi lesquels le gouverneur Mervyn King, avaient voté l'ajout de 50 milliards de GBP au fonds de stimulation, invoquant les "risques très concrets" que l'évolution de la situation du bloc euro risquait de faire subir à l'économie nationale.
Mais une étude officielle signalait que le taux de chômage du pays était descendu sans crier gare de 8.2 vers 8.1% pour juin, les jeux olympiques de Londres aidant à la création de postes supplémentaires.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dérapé de 1.3%, et le Nikkei 225 japonais de 0.25%.
During the Asian trading session, Hong Kong's Hang Seng Index tumbled 1.3%, while Japan’s Nikkei 225 retreated 0.25%.
Les performances de poids lourds tels que la Bank of America, American Express, IBM, eBay et Qualcomm étaient d'autre part à l'ordre du jour.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.3%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.4% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.35%.
M. Bernanke a en effet déclaré lors de son rapport d'hier sur l'économie et la politique monétaire devant le comité bancaire sénatorial que la croissance avait perdu son élan au premier semestre, ajoutant que les avancées du programme visant la diminution du chômage étaient d'une lenteur "frustrante".
Il s'est toutefois gardé de faire savoir si la banque centrale américaine procèderait à une troisième série d'assouplissements quantitatifs afin de donner un coup de fouet à l'économie, rappelant cependant qu'elle se tenait prête à agir pour soutenir cette dernière si besoin était.
Tous les yeux seront tournés en fin de journée vers son retour sur la colline du Capitole afin de prendre la parole devant le comité parlementaire des services financiers.
Les angoisses concernant la santé économique du pays ont donné le ton des échanges ces dernières semaines, sur fond de crise de la dette de la zone euro et de mollissement de l'expansion chinoise.
Les Etats-Unis divulgueront aussi le nombre des permis de construire qu'ils ont accordés et celui des lancements de chantiers.
Parmi les entreprises faisant l'actualité, la Bank of America engrangeait 0.9% en pré-ouverture après avoir révélé des profits d'élevant à 2.46 milliards d'USD au second trimestre, dépassant ainsi les 2.35 milliards espérés, après avoir subi un hémorrhagie de 8.83 milliards au cours du premier.
Les recettes se sont toutefois limitées à 21.97 milliards d'USD, au lieu des 22.71 milliards envisagés par les analystes.
Les parts de la banque helvète Crédit Suisse cotées aux Etats-Unis ont quand à elles engrangé 4% après avoir enregistré une avancée de 3.6% des bénéfices nets pour le second trimestre, alors qu'elle annonçait compter augmenter son capital de 15.3 milliards de CHF, soit 15.6 milliards d'USD, avant la fin de l'année.
Abbot Laboratories et Honeywell International comptaient aussi dévoiler leurs performances avant le lancement de la session, tandis qu'American Express, IBM, eBay et Qualcomm en attendront la fin.
Intel, le mastodonte des microprocesseurs, avait avoué après la clôture des transactions d'hier que ses prévisions de ventes annuelles avaient été revues vers le bas, arguant de la faiblesse de la demande de la part des consommateurs américains et européens, reculant de 1% du même coup.
Les bourses européennes étaient quand à elles modérément en forme, l'EURO STOXX 50 arrachant 0.1%, le CAC 40 français 0.5%, et le DAX 30 allemand 0.1%, alors que le FTSE 100 britannique demeurait neutre.
Les valeurs eurropéennes sont retombées de leurs pics journaliers après qu'Angela Merkel, la chancelière allemande, ait regretté lors d'un entretien ne pouvoir assurer que le projet européen serait un succès, bien qu'elle ait rappelé la persistance de son optimisme face aux difficultés actuelles.
Berlin avait auparaavant mis aux enchères plus de 4 milliards d'euros en bons du trésor à deux ans, avec les premiers taux négatifs pour ce type de vente, reflétant l'inquiétude des investisseurs au vu de l'état du reste de la région.
Le compte-rendu de la dernière réunion de la Banque d'Angleterre avait révélé à la mi-journée que sept des neuf membres du comité d'orientation de la politique monétaire, parmi lesquels le gouverneur Mervyn King, avaient voté l'ajout de 50 milliards de GBP au fonds de stimulation, invoquant les "risques très concrets" que l'évolution de la situation du bloc euro risquait de faire subir à l'économie nationale.
Mais une étude officielle signalait que le taux de chômage du pays était descendu sans crier gare de 8.2 vers 8.1% pour juin, les jeux olympiques de Londres aidant à la création de postes supplémentaires.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dérapé de 1.3%, et le Nikkei 225 japonais de 0.25%.
During the Asian trading session, Hong Kong's Hang Seng Index tumbled 1.3%, while Japan’s Nikkei 225 retreated 0.25%.