Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture mitigée ce lundi, les observateurs attendant une réunion entre les dirigeants français et allemands tandis que flottait encore le spectre de la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.07%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.08%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 envisageaient 0.13% d'amélioration.
Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français devaient se rencontrer dans la journée afin d'élaborer des propositions visant à améliorer la coordination fiscale régionale.
L'atmosphère se trouvait assombrie par l'angoisse de la capacité des pays d'Europe à trouver des financements, dans l'expectative des ventes aux enchères de dettes espagnoles et italiennes devant avoir lieu en cours de semaine.
Les valeurs énergétiques étaient sous les feux de la rampe après qu'Hugo Chavez, le président du Venezuela, ait assuré dimanche que son pays le reconnaîtrait aucune décision prise par la cour de la Banque Mondiale dans son arbitrage pour une somme de plusieurs milliards de dollar U.S. face à Exxon Mobil Corp.
L'aluminier Alcoa engrangeait 0.89% de son côté, après avoir annoncé vouloir réduire sa production générale de 12%, se retrouvant ainsi le premier de la branche à prendre des mesures directes pour réduire ses frais face à un effondrement des cours des métaux.
L'automobile était aussi à surveiller, après que General Motors et ses partenaires aient déclaré avoir vendu 2.55 millinos de véhicules sur le marché chinois en 2011, soit 8.3% de mieux que l'année précédente.
La finance n'était pas en reste, après quue Goldman Sachs ait été dégradé de "dépassant les attentes" à "neutre" par Wells Fargo, tandis que Citigroup échouait dans sa quête d'un acheteur pour OneMain, sa branche ccentrée sur les prêts aux particuliers, trébuchant ainsi de 0.18%.
Boeing néchappait pas à l'attention, après avoir largement perdu la course aux appels d'offres en 2011, et se retrouvant derrière son éternel concurrent Airbus au niveau des livraisons pour la neuvième année d'affilée.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.36%, le CAC 40 français de 0.21%, le DAX 30 allemand de 0.35% et le FTSE 100 britannique de 0.21%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.2%, et le Nikkei 225 japonais était demeuré inactif pour cause de jour férié.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.07%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.08%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 envisageaient 0.13% d'amélioration.
Angela Merkel, la chancelière allemande, et son homologue français devaient se rencontrer dans la journée afin d'élaborer des propositions visant à améliorer la coordination fiscale régionale.
L'atmosphère se trouvait assombrie par l'angoisse de la capacité des pays d'Europe à trouver des financements, dans l'expectative des ventes aux enchères de dettes espagnoles et italiennes devant avoir lieu en cours de semaine.
Les valeurs énergétiques étaient sous les feux de la rampe après qu'Hugo Chavez, le président du Venezuela, ait assuré dimanche que son pays le reconnaîtrait aucune décision prise par la cour de la Banque Mondiale dans son arbitrage pour une somme de plusieurs milliards de dollar U.S. face à Exxon Mobil Corp.
L'aluminier Alcoa engrangeait 0.89% de son côté, après avoir annoncé vouloir réduire sa production générale de 12%, se retrouvant ainsi le premier de la branche à prendre des mesures directes pour réduire ses frais face à un effondrement des cours des métaux.
L'automobile était aussi à surveiller, après que General Motors et ses partenaires aient déclaré avoir vendu 2.55 millinos de véhicules sur le marché chinois en 2011, soit 8.3% de mieux que l'année précédente.
La finance n'était pas en reste, après quue Goldman Sachs ait été dégradé de "dépassant les attentes" à "neutre" par Wells Fargo, tandis que Citigroup échouait dans sa quête d'un acheteur pour OneMain, sa branche ccentrée sur les prêts aux particuliers, trébuchant ainsi de 0.18%.
Boeing néchappait pas à l'attention, après avoir largement perdu la course aux appels d'offres en 2011, et se retrouvant derrière son éternel concurrent Airbus au niveau des livraisons pour la neuvième année d'affilée.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.36%, le CAC 40 français de 0.21%, le DAX 30 allemand de 0.35% et le FTSE 100 britannique de 0.21%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait laissé échapper 0.2%, et le Nikkei 225 japonais était demeuré inactif pour cause de jour férié.