Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture mitigée ce mercredi après-midi, dans l'attente des nouvelles proclamations de performances, tandis que l'ambiance se trouvait de nouveau plombée par des perspectives d'expansion économique moroses.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.14% tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0.07%.
Le moral est en effet retombé après que la Banque Mondiale ait revu hier en nette baisse ses prévisions de croissance planétaire, passant des 3% espérés en juin à seulement 2.4%, justifiés par une relance plus lente que prévu de la part des pays développés.
Les incertitudes découlant de l'impasse politique au sujet du relèvement les 16.4 billions d'USD du plafond d'endettement des Etats-Unis continuaient aussi à peser, le président Barack Obama ayant exhorté les élus républicains à ne pas chercher à monnayer leur approbation contre des concessions budgétaires.
La finance était sur la devant de la scène, Goldman Sachs, JP Morgan et Bank of New York Mellon devant dévoiler leur bilan avant l'ouverture des hostilités.
Le premier avait grignoté 0.04% après la fermeture, et le second 0.15%.
Dans l'aéronautique, Boeing était aussi sur la brèche, les deux plus grosses compagnies aériennes japonaises ayant décidé de ne plus faire voler leurs 787 Dreamliners après qu'un exemplaire ait dû recourir à un atterrissage d'urgence.
Cette nouvelle l'a fait dégringoler de 4.38% en pré-ouverture.
La technologie n'était pas en reste, l'assembleur d'ordinateurs Dell dérapant de 2.38% avant les premières transactions, après deux jours d'avancées dûes aux rumeurs de rachat avec effet de levier de la part des gestionnaires de fonds privés TPG Capital et de Silver Lake.
Apple a de son côté présenté des plans d'achat à crédit sur ses iPhones et ses ordinateurs portables MacBook pour la Chine, afin de damer le pion à ses concurrents aux plrix plus bas, engrangeant 0.8% avant la cloche.
Le constructeur automobile General Motors a par contre dérapé de 0.65% après les ultimes transactions, suite à l'aveu de prévisions d'une hausse "modeste" de ses profits opérationnels annuels.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter eBay, dont les résultats devraient être communiqués après la fermeture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.39%, le CAC 40 français de 0.14%, le DAX 30 allemand de 0.27% et le FTSE 100 britannique de 0.46%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait glissé de 0.1%, et le Nikkei 225 japonais de 2.56%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer aujourd'hui l'évolution de leurs prix à la consommation, ainsi que l'état de leur production industrielle, et la Réserve Fédérale publiera son livre beige.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.22%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.14% tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0.07%.
Le moral est en effet retombé après que la Banque Mondiale ait revu hier en nette baisse ses prévisions de croissance planétaire, passant des 3% espérés en juin à seulement 2.4%, justifiés par une relance plus lente que prévu de la part des pays développés.
Les incertitudes découlant de l'impasse politique au sujet du relèvement les 16.4 billions d'USD du plafond d'endettement des Etats-Unis continuaient aussi à peser, le président Barack Obama ayant exhorté les élus républicains à ne pas chercher à monnayer leur approbation contre des concessions budgétaires.
La finance était sur la devant de la scène, Goldman Sachs, JP Morgan et Bank of New York Mellon devant dévoiler leur bilan avant l'ouverture des hostilités.
Le premier avait grignoté 0.04% après la fermeture, et le second 0.15%.
Dans l'aéronautique, Boeing était aussi sur la brèche, les deux plus grosses compagnies aériennes japonaises ayant décidé de ne plus faire voler leurs 787 Dreamliners après qu'un exemplaire ait dû recourir à un atterrissage d'urgence.
Cette nouvelle l'a fait dégringoler de 4.38% en pré-ouverture.
La technologie n'était pas en reste, l'assembleur d'ordinateurs Dell dérapant de 2.38% avant les premières transactions, après deux jours d'avancées dûes aux rumeurs de rachat avec effet de levier de la part des gestionnaires de fonds privés TPG Capital et de Silver Lake.
Apple a de son côté présenté des plans d'achat à crédit sur ses iPhones et ses ordinateurs portables MacBook pour la Chine, afin de damer le pion à ses concurrents aux plrix plus bas, engrangeant 0.8% avant la cloche.
Le constructeur automobile General Motors a par contre dérapé de 0.65% après les ultimes transactions, suite à l'aveu de prévisions d'une hausse "modeste" de ses profits opérationnels annuels.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter eBay, dont les résultats devraient être communiqués après la fermeture.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.39%, le CAC 40 français de 0.14%, le DAX 30 allemand de 0.27% et le FTSE 100 britannique de 0.46%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait glissé de 0.1%, et le Nikkei 225 japonais de 2.56%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté divulguer aujourd'hui l'évolution de leurs prix à la consommation, ainsi que l'état de leur production industrielle, et la Réserve Fédérale publiera son livre beige.