Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture mitigée ce jeudi, la prudence restant de mise face à l'attente persistante de nouveaux coups de pouce de la part des principales banques centrales de la planète.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.04%, celles sur le S&P 500 tablantsur un faux pas de 0.09% et celles sur le Nasdaq 100 envisageant 0.19% d'amélioration.
L'optimisme se trouvait encouragé par la chute de l'inflation à la consommation de la Chine à son plus bas niveau en trente mois, confortant l'hypothèse d'un assouplissement monétaire de plus.
La Banque Centrale Européenne demeurait au centre des débats, avec l'espoir d'une initiative de sa part destinée à réduire les coûts des emprunts de l'Espagne et de l'Italie, après qu'elle ait laissé entendre la semaine dernière qu'elle pourrait relancer son programme d'achats de bons du trésor.
Un représentant de la banque centrale américaine avait laissé ouverte en début de semaine la possibilité que la Réserve Fédérale injecte des capitaux supplémentaires, en déclarant qu'elle devrait procéder des achats importants de bons du trésor jusqu'à ce que le chômage diminue.
News Corp, l'empire médiatique de Rupert Murdoch, se trouvait sous les feux de l'actualité, ayant déploré hier des pertes trimestrielles, en raison de 2.85 milliards d'USD de coûts de restructuration et d'immobilisation non liquides, éclipsant la croissance de son réseau câblé.
Il a du coup bu un bouillon de 3.46% après la clôture.
Pour rester sur le front des proclamations, SunPower Corp a plongé de 12.58% dans le même temps, malgré des résultats dépassant les attentes pour le second trimestre dévoilées hier, en raison du trou qu'elle redoute pour le troisième.
Le revendeur de matériel électronique Best Buy a pour sa part reculé de 0.3% à ce moment-là, après qu'il ait été révélé que plusieurs gestionnaires de capitaux hésitaient encore à participer à son rachat, invoquant le manque d'un tangible de redressement de la part de son fondateur, Richard Schulze.
Research in Motion, le fabricant canadien du Blackberry, était aussi attendu sur le devant de la scène, après qu'un juge américain ait estimé qu'il n'avait pas enfreint les droits protégeant les brevets de Mformation Technologies Inc, lui épargnant ainsi de payer les 147.2 millions de pénalités auparavant infligés par des jurés.
Zynga faisait par ailleurs des gorges chaudes, au lendemain de la démission de John Schappert, son directeur des opérations, dérapant de 1.97% en pré-ouverture.
Il était également question de Boeing, le mastodonte de l'aéronautique, en perte de vitesse de 0.47% avant les premières transactions, après qu'il ait été révélé que des enquêteurs travaillant aux Etats-Unis sur un problème rencontré par son 787 Deamliner lors d'essais auraient décelé des dégâts subits par un axe de son moteur General Electric.
Le problème avait eu lieu lors des préparations de son premier vol en vue d'une livraison à la compagnie aérienne Air India, le 20 juillet, près de l'usine du constructeur, à Charleston, en Caroline du Sud.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.34%, le CAC 40 français de 0.18%, le DAX 30 allemand de 0.6% et le FTSE 100 britannique de 0.07%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait bondi de 1.02%, et le Nikkei 225 japonais de 1.1%.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux rendre dans l'après-midi un rapport sur l'état de leur balance commerciale et le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.04%, celles sur le S&P 500 tablantsur un faux pas de 0.09% et celles sur le Nasdaq 100 envisageant 0.19% d'amélioration.
L'optimisme se trouvait encouragé par la chute de l'inflation à la consommation de la Chine à son plus bas niveau en trente mois, confortant l'hypothèse d'un assouplissement monétaire de plus.
La Banque Centrale Européenne demeurait au centre des débats, avec l'espoir d'une initiative de sa part destinée à réduire les coûts des emprunts de l'Espagne et de l'Italie, après qu'elle ait laissé entendre la semaine dernière qu'elle pourrait relancer son programme d'achats de bons du trésor.
Un représentant de la banque centrale américaine avait laissé ouverte en début de semaine la possibilité que la Réserve Fédérale injecte des capitaux supplémentaires, en déclarant qu'elle devrait procéder des achats importants de bons du trésor jusqu'à ce que le chômage diminue.
News Corp, l'empire médiatique de Rupert Murdoch, se trouvait sous les feux de l'actualité, ayant déploré hier des pertes trimestrielles, en raison de 2.85 milliards d'USD de coûts de restructuration et d'immobilisation non liquides, éclipsant la croissance de son réseau câblé.
Il a du coup bu un bouillon de 3.46% après la clôture.
Pour rester sur le front des proclamations, SunPower Corp a plongé de 12.58% dans le même temps, malgré des résultats dépassant les attentes pour le second trimestre dévoilées hier, en raison du trou qu'elle redoute pour le troisième.
Le revendeur de matériel électronique Best Buy a pour sa part reculé de 0.3% à ce moment-là, après qu'il ait été révélé que plusieurs gestionnaires de capitaux hésitaient encore à participer à son rachat, invoquant le manque d'un tangible de redressement de la part de son fondateur, Richard Schulze.
Research in Motion, le fabricant canadien du Blackberry, était aussi attendu sur le devant de la scène, après qu'un juge américain ait estimé qu'il n'avait pas enfreint les droits protégeant les brevets de Mformation Technologies Inc, lui épargnant ainsi de payer les 147.2 millions de pénalités auparavant infligés par des jurés.
Zynga faisait par ailleurs des gorges chaudes, au lendemain de la démission de John Schappert, son directeur des opérations, dérapant de 1.97% en pré-ouverture.
Il était également question de Boeing, le mastodonte de l'aéronautique, en perte de vitesse de 0.47% avant les premières transactions, après qu'il ait été révélé que des enquêteurs travaillant aux Etats-Unis sur un problème rencontré par son 787 Deamliner lors d'essais auraient décelé des dégâts subits par un axe de son moteur General Electric.
Le problème avait eu lieu lors des préparations de son premier vol en vue d'une livraison à la compagnie aérienne Air India, le 20 juillet, près de l'usine du constructeur, à Charleston, en Caroline du Sud.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.34%, le CAC 40 français de 0.18%, le DAX 30 allemand de 0.6% et le FTSE 100 britannique de 0.07%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait bondi de 1.02%, et le Nikkei 225 japonais de 1.1%.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux rendre dans l'après-midi un rapport sur l'état de leur balance commerciale et le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage.