Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture mitigée ce lundi, tirées vers le bas par la poussée de fièvre des taux des emprunts espagnols, alors que s'amenuisait l'optimisme découlant des résultats des élections grecques de fin de semaine.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.03%.
Le moral avait auparavant repris du poil de la bête, alors que les formations en faveur du programme d'aide international devaient commencer aujourd'hui à constituer un gouvernement, la défaite subie par la gauche radicale ayant éloigné le spectre d'une éventuelle sortie du pays, perclus de dettes, hors du bloc ayant l'adoptée.
Antonis Samaras, chef du parti conservateur de la Nouvelle Démocratie, a appelé à un soutien au-delà des clivages après avoir devancé hier le parti Syriza, qui menaçait d'annuler l'accord de secours, prenant à revers les bailleurs de fonds.
Toute velléité d'euphorie demeurait toutefois jugulée par la persistance des craintes concernant la gestion de la crise de la dette nationale, le ministre des affaires étrangères germaniques ayant déclaré ce matin que l'essence du programme de réformes imposé n'était pas sujet à négociations.
Le taux des obligations décennales espagnoles s'était pour sa part envolé ce matin jusqu'à 7.13%, du jamais vu depuis l'adoption de la devise européenne, passant ainsi le seuil fatidique des 7% ayant forcé la Grèce, l'Irlande et le Portugal à recourir à des bouées de sauvetage.
Les fournisseurs de métaux étaient sous les feux de l'actualité, notamment Steel Dynamics, qui a avoué s'attendre à des "revenus quelque peu ramollis" au second trimestre, précisant que la demande pour la tôle d'acier avait été "relativement stable", mais à des prix diminués, invoquant l'augmentation des importations et l'augmentation de la capacité sidérurgique nationale.
Le groupe minier Cliff Natural Resources, basé à Cleveland, se trouvait lui aussi sur le devant de la scène, après avoir annoncé la suppression de 59 postes à Toney Fork No. 2, son exploitation à ciel ouvert située à Man, en Virginie de l'Ouest, ayant auparavant revu à la baisse ses prévisions de production et de ventes de charbon de chauffage pour 2012.
La technologie n'était pas en reste, Microsoft comptant dévoiler en avant-première une tablette de sa conception lors d'une présentation à Los Angeles en fin de journée, grignotant du coup 0.1% en pré-ouverture.
Du côté d'Internet, LinkedIn Corp. a reculé de 0.99% avant les premières transactions, ayant déclaré la semaine passée dans un communiqué être "profondément désolée" pour le vol d'environ 6.5 millions de mots de passe de ses utilisateurs, qui se sont ensuite retrouvés publiés sur un site de pirates informatiques.
Les bourses européennes étaient elles aussi en demi-teinte, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.22%, le CAC 40 français gagnant 0.18%, le DAX 30 allemand 0.79% et le FTSE 100 britannique de 0.48%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait bondi de 1%, et le Nikkei 225 japonais de 1.8%.
L'attention des observateurs se trouvait par ailleurs focalisée sur le nouveau sommet du groupe des 20 pays les plus développés devant débuter aujourd'hui à Mexico.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.26%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.03%.
Le moral avait auparavant repris du poil de la bête, alors que les formations en faveur du programme d'aide international devaient commencer aujourd'hui à constituer un gouvernement, la défaite subie par la gauche radicale ayant éloigné le spectre d'une éventuelle sortie du pays, perclus de dettes, hors du bloc ayant l'adoptée.
Antonis Samaras, chef du parti conservateur de la Nouvelle Démocratie, a appelé à un soutien au-delà des clivages après avoir devancé hier le parti Syriza, qui menaçait d'annuler l'accord de secours, prenant à revers les bailleurs de fonds.
Toute velléité d'euphorie demeurait toutefois jugulée par la persistance des craintes concernant la gestion de la crise de la dette nationale, le ministre des affaires étrangères germaniques ayant déclaré ce matin que l'essence du programme de réformes imposé n'était pas sujet à négociations.
Le taux des obligations décennales espagnoles s'était pour sa part envolé ce matin jusqu'à 7.13%, du jamais vu depuis l'adoption de la devise européenne, passant ainsi le seuil fatidique des 7% ayant forcé la Grèce, l'Irlande et le Portugal à recourir à des bouées de sauvetage.
Les fournisseurs de métaux étaient sous les feux de l'actualité, notamment Steel Dynamics, qui a avoué s'attendre à des "revenus quelque peu ramollis" au second trimestre, précisant que la demande pour la tôle d'acier avait été "relativement stable", mais à des prix diminués, invoquant l'augmentation des importations et l'augmentation de la capacité sidérurgique nationale.
Le groupe minier Cliff Natural Resources, basé à Cleveland, se trouvait lui aussi sur le devant de la scène, après avoir annoncé la suppression de 59 postes à Toney Fork No. 2, son exploitation à ciel ouvert située à Man, en Virginie de l'Ouest, ayant auparavant revu à la baisse ses prévisions de production et de ventes de charbon de chauffage pour 2012.
La technologie n'était pas en reste, Microsoft comptant dévoiler en avant-première une tablette de sa conception lors d'une présentation à Los Angeles en fin de journée, grignotant du coup 0.1% en pré-ouverture.
Du côté d'Internet, LinkedIn Corp. a reculé de 0.99% avant les premières transactions, ayant déclaré la semaine passée dans un communiqué être "profondément désolée" pour le vol d'environ 6.5 millions de mots de passe de ses utilisateurs, qui se sont ensuite retrouvés publiés sur un site de pirates informatiques.
Les bourses européennes étaient elles aussi en demi-teinte, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.22%, le CAC 40 français gagnant 0.18%, le DAX 30 allemand 0.79% et le FTSE 100 britannique de 0.48%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait bondi de 1%, et le Nikkei 225 japonais de 1.8%.
L'attention des observateurs se trouvait par ailleurs focalisée sur le nouveau sommet du groupe des 20 pays les plus développés devant débuter aujourd'hui à Mexico.