Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture négative ce mardi, la confiance des investisseurs ayant flanché avec la résurgence des angoisses espagnoles et la série de performances économiques médiocres de la zone euro.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.26% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.24%.
La monnaie unique a vu fondre son avance après que Cristobal Montoro, ministre du trésor espagnol, ait avoué que les marchés financiers étaient actuellement inaccessibles au pays, en raison du haut niveau des taux lui étant imposés.
Des informations révisées montraient pour leur part que le domaine des services du bloc euro avait subi un mai une contraction légèrement inférieure aux prédictions, tout en demeurant la plus rapide depuis juin 2009, tandis qu'il était par ailleurs signalé que les ventes au détail de la zone euro avaient subi en avril une plongée de 1%.
L'atmosphère avait pourtant entamé la journée sur une bonne note, dans l'optique de la téléconférence des ministres des finances du groupe des 7 pays les plus développés prévue aujourd'hui et devant porter sur la crise de la dette de la zone euro.
La finance était attendue sur le devant de la scène après que le New York Times ait rapporté hier que Goldman Sachs avait procédé à moins de 50 licenciements la semaien passée afin de réduire ses dépenses, ses perspectives de bénéfices étant en berne.
Certains des postes en questions concernaient des directeurs de gestion, le second grade le plus élevé après celui de partenaire.
JP Morgan a par contre cédé 0.32% après la fermeture, sur fond de rumeurs selon lesquelles la banque pourrait avouer 4.2 milliards d'USD de pertes au second trimestre de la part de sa branche d'investissement principale, ce qui réduirait ses bénéfices à 65 cents par action, contre 93 auparavant.
Le géant postal FedEx Corp. était également attendu au tournant après avoir annoncé la mise à la retraite de 24 de ses avions afin de réduire la capacité de sa division Express américaine, le ralentissement de l'économie ayant entraîné une fonte des volumes de fret du premier transporteur aérien au monde.
Rex Tillierson, directeur général d'Exxon Mobil, a auparavant déclaré que celui-ci comptait exporter du gaz naturel liquéfié depuis les Etats-Unis, grignotant 0.04% avant l'ouverture.
L'Agence Internationale de l'Energie avait estimé aujourd'hui que les Etats-Unis dépasseraient la Russie pour devenir premier producteur de gaz naturel en 2017, mais qu'ils devraient toujours avoir recours à des importations afin de combler leur gloutonnerie.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter United Natural Foods, dont les recettes seront communiquées avant la cloche de fermeture, et le promoteur Hovnanian Enterprises, qui fera de même après.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.29%, le CAC 40 français gagnant 0.32%, le DAX 30 allemand laissant échapper 0.9% tandis que les places bournières britanniques demeuraient closes pour cause de jour férié.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.4%, et le Nikkei 225 japonais bondi de 1.04%.
Les autorités allemandes avaient signalé ce matin un effondrement de 1.9% des commandes auprès des usines pour avril, alors qu'un recul de 1% était déjà redouté, alimentant l'angoisse des effets de la crise de la dette de la région sur sa plus grosse économie.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté rendre dans l'après-midi un rapport sur l'activité non manufacturière.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.26% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.24%.
La monnaie unique a vu fondre son avance après que Cristobal Montoro, ministre du trésor espagnol, ait avoué que les marchés financiers étaient actuellement inaccessibles au pays, en raison du haut niveau des taux lui étant imposés.
Des informations révisées montraient pour leur part que le domaine des services du bloc euro avait subi un mai une contraction légèrement inférieure aux prédictions, tout en demeurant la plus rapide depuis juin 2009, tandis qu'il était par ailleurs signalé que les ventes au détail de la zone euro avaient subi en avril une plongée de 1%.
L'atmosphère avait pourtant entamé la journée sur une bonne note, dans l'optique de la téléconférence des ministres des finances du groupe des 7 pays les plus développés prévue aujourd'hui et devant porter sur la crise de la dette de la zone euro.
La finance était attendue sur le devant de la scène après que le New York Times ait rapporté hier que Goldman Sachs avait procédé à moins de 50 licenciements la semaien passée afin de réduire ses dépenses, ses perspectives de bénéfices étant en berne.
Certains des postes en questions concernaient des directeurs de gestion, le second grade le plus élevé après celui de partenaire.
JP Morgan a par contre cédé 0.32% après la fermeture, sur fond de rumeurs selon lesquelles la banque pourrait avouer 4.2 milliards d'USD de pertes au second trimestre de la part de sa branche d'investissement principale, ce qui réduirait ses bénéfices à 65 cents par action, contre 93 auparavant.
Le géant postal FedEx Corp. était également attendu au tournant après avoir annoncé la mise à la retraite de 24 de ses avions afin de réduire la capacité de sa division Express américaine, le ralentissement de l'économie ayant entraîné une fonte des volumes de fret du premier transporteur aérien au monde.
Rex Tillierson, directeur général d'Exxon Mobil, a auparavant déclaré que celui-ci comptait exporter du gaz naturel liquéfié depuis les Etats-Unis, grignotant 0.04% avant l'ouverture.
L'Agence Internationale de l'Energie avait estimé aujourd'hui que les Etats-Unis dépasseraient la Russie pour devenir premier producteur de gaz naturel en 2017, mais qu'ils devraient toujours avoir recours à des importations afin de combler leur gloutonnerie.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter United Natural Foods, dont les recettes seront communiquées avant la cloche de fermeture, et le promoteur Hovnanian Enterprises, qui fera de même après.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.29%, le CAC 40 français gagnant 0.32%, le DAX 30 allemand laissant échapper 0.9% tandis que les places bournières britanniques demeuraient closes pour cause de jour férié.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0.4%, et le Nikkei 225 japonais bondi de 1.04%.
Les autorités allemandes avaient signalé ce matin un effondrement de 1.9% des commandes auprès des usines pour avril, alors qu'un recul de 1% était déjà redouté, alimentant l'angoisse des effets de la crise de la dette de la région sur sa plus grosse économie.
Aux Etats-Unis, l'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté rendre dans l'après-midi un rapport sur l'activité non manufacturière.