Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en berne ce jeudi, les investisseurs demeurant prudents dans l'expectative de la décision sur la politique monétaire de la Banque Centrale Européenne et du sommet crucial de l'Union Européenne.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.12%.
La BCE a de fortes chances d'annoncer une réduction de 0.25 points de son taux d'intérêt directeur, pour le ramener à 1%, sa plus faible valeur de tous les temps, dans l'espoir de donner un coup de fouet à la croissance chancelante de la zone euro.
Les incertitudes demeuraient toutefois, à l'approche du sommet des dirigeants de l'Union Européenne débutant dans l'après-midi, pesant sur l'humeur des observateurs après que l'Allemagne ait modéré l'attente d'une avancée décisive.
McGraw-Hill Companies a reculé de 0.12% après avoir lancé un prograe de rachat d'actions accéléré à hauteur de 500 millions d'USD et annoncé la suppression de 550 emplois dans sa branche de production de manuels scolaires, se préparant à se scinder en deux compagnies distinctes.
Le fabricant de matériel médical Boston Scientific a pour sa part dégringolé de 5.25% après que les services fiscaux américains lui aient présenté une facture de 581 millions d'USD d'impayés, avec intérêts et pénalités.
Boeing a aussi dérapé de 0.38%, se rapprochant pourtant de la conclusion de deux contrats, l'un avec FedEx, second transporteur mondial, et l'autre avec la compagnie aérienne à prix cassés Southwest Airlines.
Google a limité les dégâts à 0.06% après avoir fait connaître son projet d'investissement de 300 millions d'USD dans un centre de traitement informatique à Hong Kong qui ne devrait être opérationnel qu'en 2013.
Tout n'était cependant pas désespéré, Chevron Corp. grignotant 0.15%, étant sur le point d'augmenter d'environ un sixième ses investissements, notamment dans les forages en eaux profondes et deux projets énormes d'extraction de gaz naturel liquéfié en Australie.
La finance se trouvait quand à elle en large forme, Goldman Sachs bondissant de 3.92%, JP Morgan de 2.32%, la Bank of America et Citigroup se contentant respectivement de 1.9 et 0.27%.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.34%, et le CAC 40 français de 0.49%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0.08% et le FTSE 100 britannique 0.24%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong s'était replié de 0.8%, et le Nikkei 225 japonais de 0.7%.
Les Etats-Unis ont de leur côté prévu de rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.31% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.12%.
La BCE a de fortes chances d'annoncer une réduction de 0.25 points de son taux d'intérêt directeur, pour le ramener à 1%, sa plus faible valeur de tous les temps, dans l'espoir de donner un coup de fouet à la croissance chancelante de la zone euro.
Les incertitudes demeuraient toutefois, à l'approche du sommet des dirigeants de l'Union Européenne débutant dans l'après-midi, pesant sur l'humeur des observateurs après que l'Allemagne ait modéré l'attente d'une avancée décisive.
McGraw-Hill Companies a reculé de 0.12% après avoir lancé un prograe de rachat d'actions accéléré à hauteur de 500 millions d'USD et annoncé la suppression de 550 emplois dans sa branche de production de manuels scolaires, se préparant à se scinder en deux compagnies distinctes.
Le fabricant de matériel médical Boston Scientific a pour sa part dégringolé de 5.25% après que les services fiscaux américains lui aient présenté une facture de 581 millions d'USD d'impayés, avec intérêts et pénalités.
Boeing a aussi dérapé de 0.38%, se rapprochant pourtant de la conclusion de deux contrats, l'un avec FedEx, second transporteur mondial, et l'autre avec la compagnie aérienne à prix cassés Southwest Airlines.
Google a limité les dégâts à 0.06% après avoir fait connaître son projet d'investissement de 300 millions d'USD dans un centre de traitement informatique à Hong Kong qui ne devrait être opérationnel qu'en 2013.
Tout n'était cependant pas désespéré, Chevron Corp. grignotant 0.15%, étant sur le point d'augmenter d'environ un sixième ses investissements, notamment dans les forages en eaux profondes et deux projets énormes d'extraction de gaz naturel liquéfié en Australie.
La finance se trouvait quand à elle en large forme, Goldman Sachs bondissant de 3.92%, JP Morgan de 2.32%, la Bank of America et Citigroup se contentant respectivement de 1.9 et 0.27%.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.34%, et le CAC 40 français de 0.49%, tandis que le DAX 30 allemand arrachait 0.08% et le FTSE 100 britannique 0.24%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong s'était replié de 0.8%, et le Nikkei 225 japonais de 0.7%.
Les Etats-Unis ont de leur côté prévu de rendre dans l'après-midi leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage