Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sansdirection claire ce lundi, les signes d'avancées dans la résolution de la crise de la zone euro rengonflant le moral, tandis que la prudence restait de mise sur fond de pourparlers budgétaires américains.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.15%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21%, mais celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur 0.17% de pertes.
La moral était revenu la semaine dernière après que les ministres des finances de la zone euro aient trouvé un accord sur les règles de supervision des banques régionales.
Ils ont aussi entériné l'octroi de 49.1 milliards d'euros d'aides à la Grèce, celle-ci ayant alors mené à bien son processus de rachat de dettes à ses créanciers privés.
Les yeux se sont alors de nouveau braqués sur les négociations visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet au premier janvier risquant de faire dérailler la relance économique nationale.
L'informatique était sur le devant de la scène, alors qu'il se disait que Google ne devrait pas subir de conséquences graves découlant de l'enquête de la commission fédérale de la concurrence concernant son moteur de recherche.
La technologie était aussi à l'honneur, après que Citigroup ait rabaissé son appréciation d'Apple depui l'achat vers la neutralité, estimant que la diminution des commandes auprès de ses vendeurs laissaient douter de la popularité de l'iPhone 5.
Cisco Systems, spécialiste des infrastructures de réseaux, a pour sa part déclaré avoir engagé Barclays pour la vente de Linksys, sa succursale spécialisée dans les routeurs grand public.
Parmi les autres entreprises faisant l'actualité, l'assureur American International Group pourrait lever jusqu'à 6.5 milliards d'USD avec la cession de ses parts restantes de l'AIA Group, constituant ainsi la seconde plus grosse vente en bloc d'Asie de tous les temps.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.29%, le CAC 40 français de 0.36%, le DAX 30 allemand de 0.01% et le FTSE 100 britannique de 0.44%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dérapé de 0.41%, et le Nikkei 225 japonais engrangé 0.94%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le volume officiel de l'activité manufacturière dans la région de New York, ainsi qu'avec le solde des investissements nationaux et internationaux dans les valeurs nationales.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.15%, et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.21%, mais celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur 0.17% de pertes.
La moral était revenu la semaine dernière après que les ministres des finances de la zone euro aient trouvé un accord sur les règles de supervision des banques régionales.
Ils ont aussi entériné l'octroi de 49.1 milliards d'euros d'aides à la Grèce, celle-ci ayant alors mené à bien son processus de rachat de dettes à ses créanciers privés.
Les yeux se sont alors de nouveau braqués sur les négociations visant à contourner le mur fiscal menaçant les Etats-Unis, la fin de réductions d'impôts et les coupes budgétaires devant prendre effet au premier janvier risquant de faire dérailler la relance économique nationale.
L'informatique était sur le devant de la scène, alors qu'il se disait que Google ne devrait pas subir de conséquences graves découlant de l'enquête de la commission fédérale de la concurrence concernant son moteur de recherche.
La technologie était aussi à l'honneur, après que Citigroup ait rabaissé son appréciation d'Apple depui l'achat vers la neutralité, estimant que la diminution des commandes auprès de ses vendeurs laissaient douter de la popularité de l'iPhone 5.
Cisco Systems, spécialiste des infrastructures de réseaux, a pour sa part déclaré avoir engagé Barclays pour la vente de Linksys, sa succursale spécialisée dans les routeurs grand public.
Parmi les autres entreprises faisant l'actualité, l'assureur American International Group pourrait lever jusqu'à 6.5 milliards d'USD avec la cession de ses parts restantes de l'AIA Group, constituant ainsi la seconde plus grosse vente en bloc d'Asie de tous les temps.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.29%, le CAC 40 français de 0.36%, le DAX 30 allemand de 0.01% et le FTSE 100 britannique de 0.44%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait dérapé de 0.41%, et le Nikkei 225 japonais engrangé 0.94%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le volume officiel de l'activité manufacturière dans la région de New York, ainsi qu'avec le solde des investissements nationaux et internationaux dans les valeurs nationales.