Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sans éclat ce mercredi, reprenant leur souffle après avoir battu hier des records de plusieurs années, les actions Citigroup se retrouvant en porte-à-faux suite à la publication des résultats des tests d'effort passés par les principaux acteurs du secteur financier américain.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une légère progression de 0.05%, celles sur le S&P 500 prévoyant un déclin de 0.05% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur 0.1% de régression.
Elles avaient bondi mardi, le Nasdaq clôturant à plus de 3 000 pour la première fois depuis décembre 2000, l'époque de la bulle d'Internet, le Dow Jones se retrouvant à sa mailleure valeur depuis décembre 2007 et le S&P n'ayant pas fait mieux depios le 5 juin 2008.
Cette bonne humeur a contaminé aujourd'hui les places asiatiques et européennes, après que la Réserve Fédérale ait déclaré voir des signes d'amélioration de l'économie, s'attendre à voir le taux de chômage continuer à baisser, et constater un apaisement des pressions touchant la finance mondiale.
Elle a encore encouragé l'euphorie avec son annonce surprise dans la soirée d'hier des résultats des tests annuels de la capacité des banques à faire face aux épreuves.
Ceux-ci montraient que JP Morgan-Chase et 14 autres pouvaient les surmonter, maintenant des liquidités adéquates, continuant à payer les dividendes et à racheter des actions même en cas de récession, tandis que quatre autres, notamment Citigroup, avaient échoué.
Cette dernière a plongé de 3.4% après que la banque centrale américaine ait déclaré qu'elle devrait lui soumettre des plans de capitalisation révisés.
Les trois autres recalés n'étaient autres qu'Ally Financial, MetLife et SunTrust Banks, les deux derniers perdant respectivement 3.5 et 3.6% avant l'ouverture.
La Fed avait prévu de ne révéler ces résultats que jeudi après-midi, mais elle a décidé de les avancer après que JP Morgan ait fait connaître l'augmentation de son dividende, précisant que la manoeuvre avait son aval.
Chemiere Energy s'est pour sa part effondré de 4.1% après avoir annoncé la vente de 17 millions d'actions ordinaires lors d'une offre publique souscrite.
L'éditeur de jeux pour réseaux sociaux Zynga a quand à lui reculé de 1.5% après qu'il ait été révélé qu'il comptait proposer des actions secondaires, dont l'arrivée pourrait se dérouler dès aujourd'hui.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, les avancées se prolongeant après que les ministres des finances de la zone euro aient donné leur consentement formel au second plan de secours pour la Grèce.
L'EURO STOXX 50 s'envolait de 1.2%, le CAC 40 français de 0.8%, le DAX 30 allemand de 1.15% et le FTSE 100 britannique de 0.35%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait cédé 0.15%, et le Nikkei 225 japonais engrangé 1.55% pour dépasser la barre des 10 000 poru la première fois depuis juillet.
La bourse de Hong Kong avait par contre vu fondre ses 1.1% de gains après que Wen Jiabao, premier ministre chinois, ait déçu l'attente d'assouplissement à court terme des mesures visant à contrer l'explosion de l'immobilier.
Il a rappelé que le relâchement des contrôles risquerait d'entraîner "le chaos dans le domaine du logement chinois" et averti que l'économie subirait les conséquences du développement d'une bulle immobilière.
Les Etats-Unis divulgueront quand à eux cet l'après-midi le solde officiel du compte courant du pays, ainsi que des informations sur les prix à l'importation et l'inventaire des réserves de pétrole brut, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, prononcera un discours très attendu.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une légère progression de 0.05%, celles sur le S&P 500 prévoyant un déclin de 0.05% et celles sur le Nasdaq 100 tablant sur 0.1% de régression.
Elles avaient bondi mardi, le Nasdaq clôturant à plus de 3 000 pour la première fois depuis décembre 2000, l'époque de la bulle d'Internet, le Dow Jones se retrouvant à sa mailleure valeur depuis décembre 2007 et le S&P n'ayant pas fait mieux depios le 5 juin 2008.
Cette bonne humeur a contaminé aujourd'hui les places asiatiques et européennes, après que la Réserve Fédérale ait déclaré voir des signes d'amélioration de l'économie, s'attendre à voir le taux de chômage continuer à baisser, et constater un apaisement des pressions touchant la finance mondiale.
Elle a encore encouragé l'euphorie avec son annonce surprise dans la soirée d'hier des résultats des tests annuels de la capacité des banques à faire face aux épreuves.
Ceux-ci montraient que JP Morgan-Chase et 14 autres pouvaient les surmonter, maintenant des liquidités adéquates, continuant à payer les dividendes et à racheter des actions même en cas de récession, tandis que quatre autres, notamment Citigroup, avaient échoué.
Cette dernière a plongé de 3.4% après que la banque centrale américaine ait déclaré qu'elle devrait lui soumettre des plans de capitalisation révisés.
Les trois autres recalés n'étaient autres qu'Ally Financial, MetLife et SunTrust Banks, les deux derniers perdant respectivement 3.5 et 3.6% avant l'ouverture.
La Fed avait prévu de ne révéler ces résultats que jeudi après-midi, mais elle a décidé de les avancer après que JP Morgan ait fait connaître l'augmentation de son dividende, précisant que la manoeuvre avait son aval.
Chemiere Energy s'est pour sa part effondré de 4.1% après avoir annoncé la vente de 17 millions d'actions ordinaires lors d'une offre publique souscrite.
L'éditeur de jeux pour réseaux sociaux Zynga a quand à lui reculé de 1.5% après qu'il ait été révélé qu'il comptait proposer des actions secondaires, dont l'arrivée pourrait se dérouler dès aujourd'hui.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, les avancées se prolongeant après que les ministres des finances de la zone euro aient donné leur consentement formel au second plan de secours pour la Grèce.
L'EURO STOXX 50 s'envolait de 1.2%, le CAC 40 français de 0.8%, le DAX 30 allemand de 1.15% et le FTSE 100 britannique de 0.35%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait cédé 0.15%, et le Nikkei 225 japonais engrangé 1.55% pour dépasser la barre des 10 000 poru la première fois depuis juillet.
La bourse de Hong Kong avait par contre vu fondre ses 1.1% de gains après que Wen Jiabao, premier ministre chinois, ait déçu l'attente d'assouplissement à court terme des mesures visant à contrer l'explosion de l'immobilier.
Il a rappelé que le relâchement des contrôles risquerait d'entraîner "le chaos dans le domaine du logement chinois" et averti que l'économie subirait les conséquences du développement d'une bulle immobilière.
Les Etats-Unis divulgueront quand à eux cet l'après-midi le solde officiel du compte courant du pays, ainsi que des informations sur les prix à l'importation et l'inventaire des réserves de pétrole brut, tandis que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, prononcera un discours très attendu.