Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture sans bouleversements ce mercredi, malgré le poids de l'instabilité politique grecque, tandis que les observateurs guettaient le compte-rendu de la dernière réunino d'orientation de la Réserve Fédérale, ainsi qu'une série de résultats économiques.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.02%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 laissaient envisager une avancée de 0.06%.
Les bruits parlant d'un éventuel départ de la Grèce hors de la zone euro allaient bon train, après que les dirigeants politiques du pays aient avoué hier que les négociations entre partis n'avaient pas réussi à dégager d'équipe gouvernementale consensuelle, les élections du 6 mai n'ayant accordé la majorité à aucun d'entre eux.
Ils devraient se rencontrer à nouveau aujourd'hui afin de mettre en place des autorités intérimaires dans l'attente d'un nouvel appel aux urnes, prévu pour juin.
Les valeurs minières étaient attendues au tournant, après que BHP Billiton ait déclaré s'attendre à une prolongation de la descente aux enfers des matières premières, et que lees investisseurs avaient perdu confiance dans l'économie mondiale sur le long terme, lui faisant dégringoler de 2.16% avant l'ouverture.
General Electrics a pour sa part gagné 0.22% après les dernières transactions, suite à la divulgation par l'agence de presse Reuters de son achat de deux compagnies minières, à savoir l'australien Industrea, pour 700 millions d'USD, ainsi qu'une entreprise privée américaine, cherchant ainsi à renforcer sa présence sur un marché pesantt 61 milliards d'USD.
JP Morgan restait sur le devant de la scène financière, suite à son aveu la semaine passée de 2 milliards d'USD de pertes, le FBI ayant annoncé hier avoir lancé une enquête, augmentant la pression pesant sur la banque d'affaires, après que les principales autorités américaines aient déclaré qu'elles procèderaient à des investigations portant sur les opérations à hauts risques leur ayant déjà mis la puce à l'oreille le mois dernier.
Elle a cependant bondi de 1.57% avant les premières transactions.
La grande distribution était aussi sous les feux de la rampe, J.C. Penney ayant sombré de 12.15% après les derniers échanges d'hier, ayant enregistré hier une chute du volume de ses ventes au premier trimestre dépassant les craintes.
Facebook était aussi sur toutes les lèvres, après qu'il ait été annoncé qu'elle augmentait de 25% le montant de son offre publique initiale, qui pourrait atteindre 12 milliards d'USD, en raison de la forte demande de la part des investisseurs, éclipsant le débat concernant ses revenus potentiels à long terme.
General Motors avait renoncé de son côté à utiliser les publicités sur le réseau social, en raison de la faiblesse de leur impact mesuré.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter le constructeur d'équipements agricoles John Deere, Limited Brands, maison-mère de Victoria's Secret, ainsi que le distributeur de fournitures de bureau Staples, dont les résultats devraient être connus en cours de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.15%, le CAC 40 français arrachant 0.33%, le DAX 30 allemand plongeant de 0.83% et le FTSE 100 britannique de 0.9%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong s'était effondré de 3.1%, et le Nikkei 225 japonais de 1.2%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler dans l'après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés ainsi que celui des lancements de chantiers, suivi par des études sur le taux d'utilisation des capacités et la production industrielle, puis la Réserve Fédérale publiera le compte-rendu détaillé de sa dernière réunion.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.01%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.02%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 laissaient envisager une avancée de 0.06%.
Les bruits parlant d'un éventuel départ de la Grèce hors de la zone euro allaient bon train, après que les dirigeants politiques du pays aient avoué hier que les négociations entre partis n'avaient pas réussi à dégager d'équipe gouvernementale consensuelle, les élections du 6 mai n'ayant accordé la majorité à aucun d'entre eux.
Ils devraient se rencontrer à nouveau aujourd'hui afin de mettre en place des autorités intérimaires dans l'attente d'un nouvel appel aux urnes, prévu pour juin.
Les valeurs minières étaient attendues au tournant, après que BHP Billiton ait déclaré s'attendre à une prolongation de la descente aux enfers des matières premières, et que lees investisseurs avaient perdu confiance dans l'économie mondiale sur le long terme, lui faisant dégringoler de 2.16% avant l'ouverture.
General Electrics a pour sa part gagné 0.22% après les dernières transactions, suite à la divulgation par l'agence de presse Reuters de son achat de deux compagnies minières, à savoir l'australien Industrea, pour 700 millions d'USD, ainsi qu'une entreprise privée américaine, cherchant ainsi à renforcer sa présence sur un marché pesantt 61 milliards d'USD.
JP Morgan restait sur le devant de la scène financière, suite à son aveu la semaine passée de 2 milliards d'USD de pertes, le FBI ayant annoncé hier avoir lancé une enquête, augmentant la pression pesant sur la banque d'affaires, après que les principales autorités américaines aient déclaré qu'elles procèderaient à des investigations portant sur les opérations à hauts risques leur ayant déjà mis la puce à l'oreille le mois dernier.
Elle a cependant bondi de 1.57% avant les premières transactions.
La grande distribution était aussi sous les feux de la rampe, J.C. Penney ayant sombré de 12.15% après les derniers échanges d'hier, ayant enregistré hier une chute du volume de ses ventes au premier trimestre dépassant les craintes.
Facebook était aussi sur toutes les lèvres, après qu'il ait été annoncé qu'elle augmentait de 25% le montant de son offre publique initiale, qui pourrait atteindre 12 milliards d'USD, en raison de la forte demande de la part des investisseurs, éclipsant le débat concernant ses revenus potentiels à long terme.
General Motors avait renoncé de son côté à utiliser les publicités sur le réseau social, en raison de la faiblesse de leur impact mesuré.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter le constructeur d'équipements agricoles John Deere, Limited Brands, maison-mère de Victoria's Secret, ainsi que le distributeur de fournitures de bureau Staples, dont les résultats devraient être connus en cours de journée.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.15%, le CAC 40 français arrachant 0.33%, le DAX 30 allemand plongeant de 0.83% et le FTSE 100 britannique de 0.9%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong s'était effondré de 3.1%, et le Nikkei 225 japonais de 1.2%.
Les autorités des Etats-Unis comptaient pour leur part dévoiler dans l'après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés ainsi que celui des lancements de chantiers, suivi par des études sur le taux d'utilisation des capacités et la production industrielle, puis la Réserve Fédérale publiera le compte-rendu détaillé de sa dernière réunion.