Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture positive ce jeudi après-midi, à l'approche des statistiques du chômage des Etats-Unis, dans l'expectative des conclusions de la prise de cap de la Banque Centrale Européenne.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,31%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,33% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,35%.
Les bourses mondiales ont bénéficié d'un coup de fouet dès l'aube, la Banque du Japon ayant déclaré, sous la férule de son nouveau gouverneur Haruhiko Kuroda, vouloir doubler le volume de ses acquisitions d'actifs au cours des deux années à venir et s'autoriser le rachat d'obligations à la durée de vie plus longue.
Mais la circonspection était à l'ordre du jour, les yeux tournés vers la conférence de presse d'après réunion de Mario Draghi, président de la BCE, sur fond de perspectives de croissances régionales peu réjouissantes et de crainte des conséquences du plan de sauvetage de Chypre.
La technologie était sur le dents, après que Samsung Electronics ait déclaré que ses employés procèdraient à des démonstrations dans les magasins américains Best Buy sur la synergie de fonctionnement entre ses intelliphones, ses tablettes électroniques et ses téléviseurs.
Son rival Apple a néanmoins arraché 0,47% en pré-ouverture.
Sur le front informatique, Google, mastodonte des moteurs de recherche, trébuchait de 0,04% après la clôture alors qu'il semblait prêt à aller à l'encontre des exigences des autorités nationales, désireuses de consulter des informations privées dans le cadre d'une enquête touchant à la sûreté de l'état.
La finance n'était pas non plus à négliger, après qu'il ait été révélé que Matthew Taylor, ancien opérateur chez Goldman Sachs, ait paidé coupable au sujet de la dissumulation d'un prise de position se montant à 8,3 milliards d'USD en 2007, lui en faisant perdre 118 millions.
La nouvelle l'a du coup fait glisser de 0,18% après la cessation des hostilités.
La Bank of America et Citigroup auraient de leur côté choisi de nouveaux directeurs de leurs divisions s'occupant des taux de transactions, la première grimpant de 0,68% avant l'ouverture, et la seconde de 0,94%.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,93%, le CAC 40 français de 0,83%, et le DAX 30 allemand de 0,41%, tandis que le FTSE 100 britannique laissait échapper 0,03%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong et les bourses chinoises continentales demeurant closes pour cause de jour férié et le Nikkei 225 japonais bondissait de 3,23%.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait prendre la parole.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,31%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,33% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,35%.
Les bourses mondiales ont bénéficié d'un coup de fouet dès l'aube, la Banque du Japon ayant déclaré, sous la férule de son nouveau gouverneur Haruhiko Kuroda, vouloir doubler le volume de ses acquisitions d'actifs au cours des deux années à venir et s'autoriser le rachat d'obligations à la durée de vie plus longue.
Mais la circonspection était à l'ordre du jour, les yeux tournés vers la conférence de presse d'après réunion de Mario Draghi, président de la BCE, sur fond de perspectives de croissances régionales peu réjouissantes et de crainte des conséquences du plan de sauvetage de Chypre.
La technologie était sur le dents, après que Samsung Electronics ait déclaré que ses employés procèdraient à des démonstrations dans les magasins américains Best Buy sur la synergie de fonctionnement entre ses intelliphones, ses tablettes électroniques et ses téléviseurs.
Son rival Apple a néanmoins arraché 0,47% en pré-ouverture.
Sur le front informatique, Google, mastodonte des moteurs de recherche, trébuchait de 0,04% après la clôture alors qu'il semblait prêt à aller à l'encontre des exigences des autorités nationales, désireuses de consulter des informations privées dans le cadre d'une enquête touchant à la sûreté de l'état.
La finance n'était pas non plus à négliger, après qu'il ait été révélé que Matthew Taylor, ancien opérateur chez Goldman Sachs, ait paidé coupable au sujet de la dissumulation d'un prise de position se montant à 8,3 milliards d'USD en 2007, lui en faisant perdre 118 millions.
La nouvelle l'a du coup fait glisser de 0,18% après la cessation des hostilités.
La Bank of America et Citigroup auraient de leur côté choisi de nouveaux directeurs de leurs divisions s'occupant des taux de transactions, la première grimpant de 0,68% avant l'ouverture, et la seconde de 0,94%.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,93%, le CAC 40 français de 0,83%, et le DAX 30 allemand de 0,41%, tandis que le FTSE 100 britannique laissait échapper 0,03%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong et les bourses chinoises continentales demeurant closes pour cause de jour férié et le Nikkei 225 japonais bondissait de 3,23%.
Les Etats-Unis comptaient quand à eux conclure la journée avec leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, alors que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, devrait prendre la parole.