Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture modérément positive ce lundi, à l'approche d'une nouvelle série de rapports de performances d'entreprises très attendus, afin de juger de l'état de l'économie mondiale.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.4%.
Les valeurs américaines avaient bu la tasse vendredi suite aux performances décevantes des rentrées de General Electric, Microsoft et McDonald's pour le troisième trimestre, nuisant à la popularité des valeurs risquées.
Le moral est toutefois revenu après que le Parti Populaire de centre droit du premier ministre Mariano Rajoy ait renforcé hier sa majorité dans son fief de Galice, éliminant du même coup un obstacle possible à son appel à l'aide auprès de ses partenaires de la zone euro.
Une telle décision permettrait du coup à la Banque Centrale Européenne de racheter de ses bons du trésor, faisant ainsi diminuer les coûts de ses emprunts.
Il avait cependant déclaré vendredi ne toujours pas avoir décidé si il était résigné à accepter la main tendue ou non.
Ces propos étaient survenue après que les deux jours du sommet très attendu de l'Union Européenne aient pris fin ce jour-là sans fournir d'avancées majeures permettant de renforcer la confiance dans la gestion du problème de surendettement régional.
Les transactions avaient toutes les chances de demeurer sans éclat dans l'expectative de la révélation en cours de semaine de chiffres américains portant sur les ventes de logements neufs, les commandes de biens durables et le produit intérieur brut du troisième trimestre.
L'attention sera égalemment attirée par les conclusions de la prochaine réunion de la Réserve Fédérale, se déroulant mardi et mercredi, la première depuis l'annonce en septembre d'une troisième série d'injections de liquidités.
Le poids lourd mondial Caterpillar était quand à lui sous les feux de l'actualité, plongeant de 1.5% en pré-ouverture suite à l'aveu de bénéfices inférieurs aux espérances pour le troisièmee trimestre, invoquant une ralentissement de ses ventes en Chine, entraînant aussi un rabotage de ses espoirs de profits annuels.
La fabricant de jouets Hasbro avait par coontre le sourire, grimpant de 1.8% bien que ses rentrées aient reculé de 2.2% pour se situer à 1.35 milliards d'USD dans le même temps, l'impact des variations des taux de change les faisant en fait augmenter de 1% sur la période considérée.
Les géants technologiques Yahoo! et Texas Instruments n'étaient pas à négliger, leurs performances devant être dévoilées après la cloche de fermeture.
Concernant les fusions et acquisitions, BP, mastodonte des hydrocarbures, a avancé de 0.5% suite à la confirmation de la vente de ses 50% de parts du producteur de pétrole russe TNK-BP à OAO Rosneft, pour un total estimé à 17.1 milliards d'USD de liquidités et 12.84% d'actions Rosneft.
Les bourses européennes étaient quand à elles en rang dispersé, les incertitudes concernant une éventuelle bouée de sauvetage attribuée à l'Espagne et les annonces des rentrées décevantes des grandes compagnies nuisaient à la popularité des investissements audacieux.
L'EURO STOXX 50 a grignoté 0.2%, tandis que le CAC 40 français stagnait, et que le DAX 30 allemand laissait échapper 0.15% et que le FTSE 100 britannique n'évoluait guère.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 0.7%, et le Nikkei 225 japonais 0.1%, les acteurs des marchés prenant acte des nouvelles proclamation de résultats des entreprises et des conséquences de la réunion des chefs de l'UE.
En l'absence d'informations économiques marquantes prévues pour la journée, les yeux seront tournés sur la scène politique américaine, le troisième et dernier débat présidentiel avant les élections du 6 novembre ayant lieu ce soir.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0.4%.
Les valeurs américaines avaient bu la tasse vendredi suite aux performances décevantes des rentrées de General Electric, Microsoft et McDonald's pour le troisième trimestre, nuisant à la popularité des valeurs risquées.
Le moral est toutefois revenu après que le Parti Populaire de centre droit du premier ministre Mariano Rajoy ait renforcé hier sa majorité dans son fief de Galice, éliminant du même coup un obstacle possible à son appel à l'aide auprès de ses partenaires de la zone euro.
Une telle décision permettrait du coup à la Banque Centrale Européenne de racheter de ses bons du trésor, faisant ainsi diminuer les coûts de ses emprunts.
Il avait cependant déclaré vendredi ne toujours pas avoir décidé si il était résigné à accepter la main tendue ou non.
Ces propos étaient survenue après que les deux jours du sommet très attendu de l'Union Européenne aient pris fin ce jour-là sans fournir d'avancées majeures permettant de renforcer la confiance dans la gestion du problème de surendettement régional.
Les transactions avaient toutes les chances de demeurer sans éclat dans l'expectative de la révélation en cours de semaine de chiffres américains portant sur les ventes de logements neufs, les commandes de biens durables et le produit intérieur brut du troisième trimestre.
L'attention sera égalemment attirée par les conclusions de la prochaine réunion de la Réserve Fédérale, se déroulant mardi et mercredi, la première depuis l'annonce en septembre d'une troisième série d'injections de liquidités.
Le poids lourd mondial Caterpillar était quand à lui sous les feux de l'actualité, plongeant de 1.5% en pré-ouverture suite à l'aveu de bénéfices inférieurs aux espérances pour le troisièmee trimestre, invoquant une ralentissement de ses ventes en Chine, entraînant aussi un rabotage de ses espoirs de profits annuels.
La fabricant de jouets Hasbro avait par coontre le sourire, grimpant de 1.8% bien que ses rentrées aient reculé de 2.2% pour se situer à 1.35 milliards d'USD dans le même temps, l'impact des variations des taux de change les faisant en fait augmenter de 1% sur la période considérée.
Les géants technologiques Yahoo! et Texas Instruments n'étaient pas à négliger, leurs performances devant être dévoilées après la cloche de fermeture.
Concernant les fusions et acquisitions, BP, mastodonte des hydrocarbures, a avancé de 0.5% suite à la confirmation de la vente de ses 50% de parts du producteur de pétrole russe TNK-BP à OAO Rosneft, pour un total estimé à 17.1 milliards d'USD de liquidités et 12.84% d'actions Rosneft.
Les bourses européennes étaient quand à elles en rang dispersé, les incertitudes concernant une éventuelle bouée de sauvetage attribuée à l'Espagne et les annonces des rentrées décevantes des grandes compagnies nuisaient à la popularité des investissements audacieux.
L'EURO STOXX 50 a grignoté 0.2%, tandis que le CAC 40 français stagnait, et que le DAX 30 allemand laissait échapper 0.15% et que le FTSE 100 britannique n'évoluait guère.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait engrangé 0.7%, et le Nikkei 225 japonais 0.1%, les acteurs des marchés prenant acte des nouvelles proclamation de résultats des entreprises et des conséquences de la réunion des chefs de l'UE.
En l'absence d'informations économiques marquantes prévues pour la journée, les yeux seront tournés sur la scène politique américaine, le troisième et dernier débat présidentiel avant les élections du 6 novembre ayant lieu ce soir.