Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en forme ce lundi, malgré la crainte d'une destabilisation asiatique pouvant découler du décès de Kim Jong Il, qui dirigeait de la Corée du Nord.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.42%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.53% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.68%.
La nouvelle de la mort de Kim Jong Il a en effet déclenché la crainte de turbulences géopolitiques au nord-est de l'Asie, en raison des incertitudes concernant la future direction du pays, asombrissant ainsi l'humeur des investisseurs.
L'angoisse d'une dégradation de masse de la zone euro a également miné le moral des investisseurs après que l'agence Fitch ait annoncé vendredi qu'elle plaçait six de ses états membres sous surveillance en vue d'un rabaissement, estimant qu'une "solution totale" au dilemme de la région était "techniquement et politiquement hors de portée".
AT&T a pris 0.21% sur fond de rumeurs de ventes d'actifs, une partie des efforts de la compagnie visant à obtenir l'autorisation d'effectuer l'acquisition de T-Mobile USA pour 39 milliards d'USD ayant été éventés, d'après le Wall Street Journal.
Le secteur énergétique était également en bonne position, Chevron bondissant de 1.19%, et Exxon Mobil de 0.16%, la compagnie inière 3M Co devant se contenter de 0.01%.
La finance se trouvait plus mitigée, JP Morgan prenant 0.41% et Citigroup 0.44%, tandis que la Bank of America et Goldman Sachs plongeaient respectivement de 1.14 et 1.96%.
Parmi les moins bonnes nouvelles, Procter & Gamble, premier producteur mondial de produits de ménage, s'est effondré de 1.75%, ayant mis fin aux embauches à plein temps pour cette année fiscale.
Les bourses européennes étaient elles aussi contrastées, l'EURO STOXX 50 arrachant 0.81%, le CAC 40 français 0.55%, et le DAX 30 allemand de 0.92%, tandis que le FTSE 100 britannique se repliait de 0.28%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait reculé de 1.5%, et le Nikkei 225 japonais de 1.25%.
Les chefs des pays faisant partie de l'Union Européenne devaient quand à eux débattre en cours de journée des mesures de lutte contre la crise de la dette, et notamment d'un prêt de 200 milliards d'euros au Fonds Monétaire International par les états européens.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0.42%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.53% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.68%.
La nouvelle de la mort de Kim Jong Il a en effet déclenché la crainte de turbulences géopolitiques au nord-est de l'Asie, en raison des incertitudes concernant la future direction du pays, asombrissant ainsi l'humeur des investisseurs.
L'angoisse d'une dégradation de masse de la zone euro a également miné le moral des investisseurs après que l'agence Fitch ait annoncé vendredi qu'elle plaçait six de ses états membres sous surveillance en vue d'un rabaissement, estimant qu'une "solution totale" au dilemme de la région était "techniquement et politiquement hors de portée".
AT&T a pris 0.21% sur fond de rumeurs de ventes d'actifs, une partie des efforts de la compagnie visant à obtenir l'autorisation d'effectuer l'acquisition de T-Mobile USA pour 39 milliards d'USD ayant été éventés, d'après le Wall Street Journal.
Le secteur énergétique était également en bonne position, Chevron bondissant de 1.19%, et Exxon Mobil de 0.16%, la compagnie inière 3M Co devant se contenter de 0.01%.
La finance se trouvait plus mitigée, JP Morgan prenant 0.41% et Citigroup 0.44%, tandis que la Bank of America et Goldman Sachs plongeaient respectivement de 1.14 et 1.96%.
Parmi les moins bonnes nouvelles, Procter & Gamble, premier producteur mondial de produits de ménage, s'est effondré de 1.75%, ayant mis fin aux embauches à plein temps pour cette année fiscale.
Les bourses européennes étaient elles aussi contrastées, l'EURO STOXX 50 arrachant 0.81%, le CAC 40 français 0.55%, et le DAX 30 allemand de 0.92%, tandis que le FTSE 100 britannique se repliait de 0.28%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong avait reculé de 1.5%, et le Nikkei 225 japonais de 1.25%.
Les chefs des pays faisant partie de l'Union Européenne devaient quand à eux débattre en cours de journée des mesures de lutte contre la crise de la dette, et notamment d'un prêt de 200 milliards d'euros au Fonds Monétaire International par les états européens.